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Un point rouge se balade sur mon front. Cela fait huit heures que mon corps se fait martyriser. Et là, c'est la fin. J'attends  le coup de feu qui partira en ma direction. Je n'ai plus  la force de me battre. Et là,  je repense à Lili. Elle qui n'avait que douze ans et qui avait pourtant supporté ses blessures pendant vingt-six jours ! Putain, c'est  ma petite sœur et elle s'en était tirée ! On a le même sang mais je ne peux pas supporter un millième de ce qu'elle a endurée ! Je relève la tête et scrute la pièce. C'est une petite salle vide sans fenêtres. Sur les murs, des dizaines d'armes sont accrochées. Je remarque le couteau qui a été le premier planté dans ma chère et tendre peau. Bon, on s'en fout, il me faut un plan. Je sais me battre, c'est déjà ça. La seule porte de la salle est bloquée de l'extérieur grâce à un de leurs gardes alias poids lourds. Je l'entends ronfler. Donc c'est ok pour moi. Je m'élance contre la porte mais celle ci ne bouge pas d'un poil. Ça fait mal à l'épaule ! J'y tape dedans avec mon pied. A part me nique* le pied, ça n'a aucun effet. Bon, on sait jamais, je tente d'ouvrir la porte avec la POIGNÉE ! ET ÇA MARCHE  ! J'ai réussi de sauver ma vie en ouvrant une porte ! Bon, faut pas que je m'enjay parce que je suis pas encore hors de leur foutu camp. Je marche le long d'un couloir. De nombreuses portes se dessinent à ma droite comme à ma gauche. Toutes sont silencieuses et menaçantes. Soudain, des pas se rapprochent de moi. Je rentre dans une des pièces. Un léger "Hum,hum" se fit entendre. Alors, je vis un couple en plutôt mauvaise posture si vous voyez ce que je veux dire.
Alors l'homme pris la parole <<-S'il vous plaît, vous ne nous avez jamais vu. Cela pourrai compromettre mon poste et je n'en n'ai aucune envie.>> il me tends une liasse de billets bien fournies que j'ai vite fait de ranger dans ma poche
<< Alors, motus et bouche cousues. Voys ne m'avez pas vu, je ne vous ai pas vu. Ok ?
-Merci. Au revoir>>
Un peu nul comme discour mais j'avais récolté quasiment  quatre cents euros alors ça valait le coup d'user de salive. Je sort par la fenêtre car on est au premier étage. Je longe le grand  bâtiment en esperant qu'on ne me trouve pas.

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Coucou mes esquimaux  ! J'espère que ce roman d'aventure vous plaira parce que là il est 4 h du mat et je suis exténuée...
Au fait, trop contente, 😃 440 mots au 1 er chapitre +49 avec mon mot ça fait 449 mot😄
Gros bizous mes amours 💕

alerte rougeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant