Chapitre I.
Assise dans son lit, un livre a la main, Marine compté les minutes sur la pendule de sa chambre, trop nerveuse pour continuer son livre, et trop dans les nuages pour penser correctement. Ses dernières temps la nervosité, et le stresse était devenue son quotidien, elle se sentait tout le temps nerveuse. Et sans même s'avoir pourquoi. Désorienter, toute le temps fatiguée, et incapable de prendre des décisions, elle qui était de nature tranquille et avec l'esprit tranquille, depuis quelque temps ses capacités, de raisonnement l'avait tout bonnement quitté. Elle ne faisait que prendre des mauvaises décisions, tellement que même ses notes en cours avait elle aussi chuter. Agitée comme elle était, elle avait décidé d'en parler d'abord à sa professeur principale Madame Leroy, elle était sa prof préférer, les deux s'entendait à merveille. Une femme douce et aimante, toute ses élèves l'aimer, et dans sa classe personne n'avait de mauvaise note. Elle était pleine de bonté et de bon sens. Mais celle-ci avait mis cette attitude sur le compte du développement pré adolescence. Et bien sur sa mère en avait fait pareille. Un jour, ou elle faisait la cuisine, Marine avait abordé le sujet avec elle, et cette dernier tout comme la prof de français avait elle aussi dit, que c'était des hormones. Et que cette attitude était normale à son âge.
- Mais non ma puce tu vas bien c'est comme ça quand les femmes commence a ce développer. Avait-elle dis, pendant qu'elle touait en même temps ça soupe au carotte ;
- Mais maman je t'explique que hier j'ai même oublié de rendre mon devoir de math
- Ça par contre tu devrais éviter de l'oublier.
- Et bien c'est les hormones comme tu le dis.
- Tu t'inquiètes trop ma belle. Écoute-moi quand j'avais ton âge, je ne me souciais de rien. Alors ma chérie arrête de te tracasser pour rien tu deviens une femme alors c'est normal que tu te sentes perturber. Avait-elle ajoutée en regardant droit devant elle, comme pour se rappeler ses moments ou elle aussi avait état une adolescente. Alors arrête de te faire du mourant, pour rien. Moi à ton âge j'ai eu les mêmes symptômes. avait-elle ajouté en reprenant l'épluchage de ses tomates.
Pour Marine les explications qu'on lui avait donnée, n'avait pas de sens, elle s'avait que c'était la plus logique des explications. Mais quelque chose ne tourner pas rond chez elle. Elle ne se l'expliquais vraiment pas. Ses derniers temps s'était comme si quelque chose l'empêcher de pensée correctement. Comme quand, quelque chose, ou quelqu'un s'immisce dans votre tête, vous empêchans de réfléchir.
Son portable se mie a vibrer, la tira de ses pensées. Sur l'appareille était afficher Maya. Elle le prix et se mit à regarder le mobile en se demandant si elle devait répondre. Sa cousine était une fille formidable, elle était non seulement sa cousine mais aussi sa meilleur amie. Celle-ci vivait avec son père et ses grands-parents à Nice. A chaque fois qu'elle y aller en vacances elle avait hâte de la voire. Ça ne lui déranger pas de parler à sa cousine mais le problème était que, dès qu'elle ouvrait la bouche il était impossible de la suivre. Sa cousine ne savait pas respirer.
- Allos ! répondit-elle tout sourire aux lèvres.
- Salut ma femme a moi, ça va, bientôt les vacances de noël prête pour le soleil ? je me demande comment tu fais pour vivre sous la pluie, peut-être parce que tu y es habitué, moi je ne pourrais pas. Et mon père qui veut que cette fois sa sois nous qui venions pour noël. Rien de d'y pensée j'ai froid. Pas que je n'aime pas ta ville, mais il pleut toute l'année et en plus les mecs ils sont froid, et pâle on dirait de la craie. Il y a des moments où je me demande si ton père et ton frère ne sont pas des vampires, sérieux.
- Doucement ma belle, calme toi, respire Maya, il y a pas le feu tu sais, le monde ne vas pas finir demain, parle doucement. Je me demande si tu respires des fois.
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Les couleurs d'ORION
Science FictionMarine Passionnée de musique, vie une vie normal. Des parents aimants un frère adorable. Et des amies super. A l'âge de 12 ans, elle ne rêve que d'une chose vivre, et sans se soucier de rien. Mais a quelques semaine de la fête la plus attendu au mon...