Sans

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Papyrus viendra bientôt me chercher . Il le fait tout le temps quand je met trop de temps pour rentrer à la maison. Je vais encore avoir des ennuis .

J'étais si pathétique. Comment ai-je pu être si naïf et penser que l'humain serait mort en une seule attaque ? Il l'a esquiver ... si facilement .ensuite  ...il m'a attaqué , je me suis fait toucher ? Je pensais avoir de meilleurs réflexes que ça.

Et me voilà maintenant, assis par terre.

Il arrive, il est là.

Papyrus.

«Sort de ta cachette , espèce de ...» sa voix c'est arrêté lorsqu'il a vu le manteau.

J'ai cru, pour un instant, qu'il me voyait.

Je courus vers lui. Et lui passa au travers .Papyrus s'agenouilla, ramassa la veste, vu la déchirure, puis la poussière.

Il se tenait là . Son visage vide d'émotion. Les émotion sont dangereuses donc ça ne me blesse pas plus que sa . Je n'ai donc pas été blessé , mais tué ?

Heh, quelle blague.

Alors qu'il se tourna, ma veste sur son épaule, je courus pour le suivre. Je n'ai pas l'intention de le laisser derrière moi, je déteste ça. Malgré toute la haine que l'on s'envoie a la figure , à longueur de journée , je l'aime encore.

Maintenant que je suis mort, Il ne frappera plus son poing dans mon crâne ,Je n'aurai plus à faire semblant de le haïr . Il ne sera même pas capable de dire que je suis là.

Merde ... il me manque déjà . Ce qui est injuste,c'est que je peux toujours le voir, alors qu'il ne sait même pas que je suis toujours là , à le regarder. Mais tout de même, j'avais vécu pour avoir un peu de son attention. Les petites disputes qui m'ont fait paraître médiocre, ils étaient juste notre façon d'être proche , même en publique .

Je suivi mon frère alors qu'il venait d'arrivé devant la maison. Il c'est alors arrêté à la porte.

Et mit le manteau .

Ça m'a déchiré le cœur, parce que à ce moment là je savais. Il ne se contenterai pas de passer à autre chose . Et en même temps ça me réconforte de voir qu'il n'est pas indifférent à ma mort. Sa me glace les os, car que je connais mon frère, Il cherchera l'humain.

Et il me vengera.

Il monta l'escalier, passa devant sa chambre,et s'assit contre ma porte.

Papyrus se mit à pleurer.

"Non, non ... Ne pleure pas ma mort." Mais bien sûr, il ne m'a pas entendu.

Il a l'air si confus, si perdu.

"rentre à la maison."

Ses mots me traversent comme le couteau qui a causé cela. Je ne peut plus le supporter, mes sanglots se joignent aux siens .Je m'assis à côté de lui, ma main sur la sienne. J'espère que, d'une façon ou d'une autre, il le sentira.

Nous sommes restés longtemps comme ça .

Puis,nous sommes allez à la salle du jugement. Papyrus attendit. Je le l'observa dans l'ombre, l'expression sombre.

L'humain est arrivé. Papyrus convoqua une vague d'os tranchants, tenant l'un d'eux comme une épée.

L'humain se déplaça avec une vitesse folle, traversant la salle en quelques instants.

Mon regard se figea sous le choc. Comment cela est-ce possible ? Papyrus est si fort, et pourtant , à présent ces armes partir en fumé . Et il avait l'air si ... résigné.

Je courus vers lui alors que sa forme physique se transforma en poussière. Il tomba dans le même sommeil que celui ou j'avais été piégé . j'ai serra sa forme fantomatique dans mes bras.

J'eu une larme à l'œil en le regardant . Le monde a brisé sous mes pieds, mais cela n'a pas d'importance.

"petit frère , reviens à la maison." Ma voix cassée appelée

Ce qui arrive n'est pas grave, parce qu'il ouvrit les yeux à mon appel. Parce que pour la première fois depuis trop longtemps, il m'a vue.

Et c'est tout ce qui importe.

Manteau noir  [Terminer]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant