Vous regretterez de l'avoir jugé.

Chapitre 5

  En rentrant en classe le lendemain, Alice se mit à coté de moi, mais elle ne dit pas un mot, et bizarrement, personne ne dit un mot sur moi non plus, je ne lui ais pourtant pas encore émit ma réponse quand à sa proposition, j'éspère qu'elle n'a pas prise de décisions trop attives. A l'interclasse,n'ayant plus cours pendant deux heures, je décide d'aller en salle de révison, et j'ai lasoudaine impression de quelqu'un me suivait, bien évidemment, je ne me suis pas retourné car certaines personnes ont déjà eu un mouvement de recul au moment ou je m'étais complétement retourné.
Je me poses alors sur une table, commence à sortir mes cahiers, et une personne vient s'assoir à coté de moi, c'était Alice. Je l'ai observé pendant quelques secondes, et maintenant, j'ai la possiblité de vous l'a décrire : elle est chatain clair, les cheveux lisses d'origines, mais elle se les boucles fréquemment , elle a les yeux marrons clairs, qui tirent légérement vers le orange, elle a des lunettes noir, et puis elle met souvent des talons car elle doit se sentir assez petite certainement.
Elle sortit également ses cahiers de son sac, puis elle se mit à travailler, toujours dans un profond silence . J'ai quand meme voulus lui poser une question, au risque de casser cette ambiance paisible :" Tu as fais quoi ? Je veux dire, pourquoi, d'un coup, plus personne ne me regarde mal, je ne reçois plus aucune boulette de papiers, plus aucunes insultes, et je ne me suis pas fait fraper de toute la journée." Elle me regarda, puis me dit :" Je n'ai absolument rien fait, je n'ai ren dit, et je n'ai parlé à personne de notre discussion d'hier, je te l'ai dit, c'est mon influence sur les personnes, toutes les personnes à qui je parle sont instinctivement changer de "panier", maintenant, plus personne ne te déteste." Alors là, je suis rester bouche bée durant quelques minutes... Pour enfin dire :" Je ne comprends rien, c'est impossible, à t'entendre parler, on dirait que tu as des pouvoirs magiques, tu ne peux pas changer l'avis des personnes qui t'entourent juste comme ça, c'est carrément impossible, je ne sais pas si tu te fous de ma gueule, mais en tous cas, je ne comprends rien de ce que tu es en train de faire."
" C'est bon, tu as finis ton monologue ? " Me dit-elle sur un ton assez ironique. " Comment expliques-tu que personnes ne t'ai infliger de mauvais traitement aujourd'hui ? Que tous le monde te laisse tranquille dés que tu es à coté de moi ? "
" Mais ça n'a pas de sens, tu ne peux pas changer le comportement des gens rien quand leur parlant gentillement ou encore rien qu'en étant seulement dans la piéce ! "
" Et bien , tu vois bien que si, et tu ne vas pas t'en plaindre, si ?"
" Non c'est clair... Mais permet moi de trouver ça légérement bizarre, tu arrives dans ma vie, et subitement, presque tous va bien dans ma vie"
" Pourquoi "presque" tous ? Je n'ai pas résolus tous tes problemes ? "
" Mais arrete de faire genre que c'est grace à toi tous ce qui m'arrive !! Et bien il reste mon principal probleme, c'est à dire "
Et là, elle me coupa la parole et dit : " Kévin"
Je m'écria " Mais comment tu sais tout ça ? Tu es au courant de toute ma vie ? Bon vas-y dis moi ce que tu sais d'autres"
" Je sais juste ce qu'il faut savoir sur toi, c'est a dire je sais le nom et le prénom de toutes les personnes qui te ménent la vie dure tous les jours, Quentin, Kévin, Jennyfer, je sais qu'ils n'ont rien fait pour te rendre la vie plus facile ."
" Alors là, je ne sais pas quoi dire, en réalité, tu m'espionnes c'est ça ? "
" Non, je ne t'espionnes pas, je veille sur toi, c'est différent."
" Tu veilles sur moi... Et depuis combien de temps ? "
" Depuis la première fois que je t'ai vus, c'est à dire le premier jour de la rentrée, dés que j'ai vus que tu n'étais pas trés en forme à cause des gens qui te fesaient subir ce genre de choses dont on a parler."
Je n'ai plus répondu, car je trouvais ça vachement bizarre qu'une fille s'interresse à moi comme cela, et depuis aussi longtemps.
Aprés les deux heures passées en sa compagnie, je décida de retourner chez moi pour vaquer à mes occupations.