la mort ?

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Rosalie avait toujours rêvé d'être journaliste, mais depuis cinq ans elle s'est rendu compte que le plus beau métier du monde était celui de mère aujourd'hui Lydia a cinq , elle a un sourire radieux , les yeux de son père , sa fille est la plus belle chose qui est arrivé dans sa vie et celle de Ben , faut l'avouer l'avenue d'un enfant est toujours une source de bonheur , non ?

- maman maman, hurle Lydia avec son grand sourire dans la maison.

- chéri je suis là , dit elle en prenant sa fille dans ses bras.

- Myriam m'a dit que tu étais malade, c'est vrai maman, demande Lydia naïvement.

Rosalie tourna son visage vers Myriam qui avait immédiatement compris qu'elle avait fait une erreur de parler à Lydia de la maladie de sa mère , mais la pauvre pensai qu'un enfant de cinq ans ne pouvait pas garder une information plus de trois jours , mais Lydia n'était pas qu'une petite fille de cinq ans .

- maman, essaye Lydia de capter l'attention de sa mère .

- oui ma chérie ... ah oui ouii, je suis malade j'ai mal à mon petit boup , plaisante Rosalie , alors tu veux bien aller chercher tes équipements pour me soigner ?

Aussitôt que Rosalie termina sa phrase sa fille courra et alla chercher son équipement de médecine offerte à ses cinq ans.

-madame je suis affreusement désolé, s'excuse Myriam.

Rosalie la coupa par un geste de main et lui demanda de s'assoir.

- je vais mourir, je sens la mort m'approcher c'est affreux, je la vois ...

- madame ne ..

Myriam ne pu pas terminé sa phrase, car le Rosalie la fu coupé de nouveau par un geste de la main .

- vous avez été ma domestiques la plus fidèles, le faite de veiller sur ma fille, de m'avoir soutenu et autres, vous êtes loyal, belle et j'aimerais que si cette peste m'emporte protéger Lydia prenez la comme votre fille au point où vous pourriez la prendre quand vous quitterez cette maison promet moi cela, demande Rosalie avec un air épuisé.

- madame je voudrais vous le promettre , mais votre mari ne me laissera jamais partir avec votre fille , depuis le jour de vitre accouchement il ne me supporte plus ... et qu'est ce que je dis là ! Vous n'allez pas mourir.

- ne soyez pas modeste vous voyer bien que j'ai les yeux qui resorte , je commence même à devenir pâle au niveau de tient, pour mon mari ne vous inquiétez pas j'ai fait rédigé une lettre après ma mort , deux jour après ma mort vous partirez avec elle et quant à Ben il recevra une lettre de ma part lui expliquant mon choix, promettez juste que vous partirez deux jour après ma mort et qu'après moi elle aura comme mère vous , juste vous.

- oui , mais comment vous voulez que votre fille vive avec moi , personne ne croira que je suis sa mère par la couleur de peau et vous avez pensez à sa vie je ne suis qu'une domestiques et votre fille mérite la plus belle vie possible.

- certainement mais je vous ai choisi, votre couleur de peau n'aurais aucune importance ou j'ai prévu que vous allez ... je ne peux pas vous donner plus d'information pour l'instant mais n'en parler à personne .

- n'en parler à personne de quoi , demande Ben dès son arrivée à la maison .

- en parler à personne que tu es un époux formidable, le discrèt Rosalie.

- Papa , hurle Lydia en voyant son père.

Ben laissa ses affaires et pris sa fille dans ses bras, c'était là une vraie images d'une relation père / fille.

Myriam admira la scène et se demandais pourquoi Rosalie tenait tant à séparé Ben de sa fille, elle commençais même à trouvé que Rosalie n'était si parfaite qu'elle l'avait pensé .

2 ans plus tard.

Rosalie c'était remis de sa maladie , elle vivait bien , elle songeait même encore d'avoir un autre enfant , un garçon, elle voulait un garçon.

Au cour d'une soirée, elle s'effondra, personne ne compris rien, elle allait pourtant bien , mais qu'est ce qui s'est passé ?

Myriam se précipita pris Rosalie dans ses bras et la fît coucher dans sa chambre .

Deux jours plus tard Rosalie se réveilla, elle était tellement affeblir , sa peau était vraiment pâle , on ne voyait plus que ses grand yeux vert , c'était la seule partie de son corps qui avait encore leur couleur normal .

- Myriam ... Myriam ... Myri , essaye t-elle d'appeler Myriam.

- oui madame , acoure Myriam .

- prometez moi ... prometez moi , se fut les dernières parole de celle ci.

Myriam l'a vu fermer les yeux, elle se mit à pleurer, et hurla le plus rapidement possible :
- Rosalie ... Madame réveiller vous je vous en prie madame hurle t-elle en pleurant.

Tout les employés se précipitèrent voir Rosalie, Lydia les suivi, quand elle arriva devant la porte un des employés l'empêcha d'entrer.

- laisser la entre, dit Myriam dès qu'elle vu la scène.

- cela va lui perturber, elle ne pourrai pas sans remettre, argumente l'autre domestiques .

Myriam alla ouvrir la porte et dis ceci :
- chérie ta maman est parti pour un certain temps ... tu ne l'a reverra peut être plus jamais , écoute attentivement ce que je vais te dire , tu es sa plus grande fierté , elle aurait été très très heureuse de te voir grandir, okey ?

- okay, mais qu'es ce que je vais devenir maintenant, demande Lydia en pleurant.

- pourquoi tu dis ça ... tu vas rester ici avec nous, dit un autre domestiques au fond de la pièce.

- oui , dit Myriam avec un air pas aussi convaincu .

- mais cela veut dire que je suis maintenant orpheline ?

- non ... tu nous a nous, dit tout les domestique presque à la seconde près ensemble.

Lydia sorti , Myriam l'a suivi .

- alors Lydia qu'est ce qui se passe ? ... tu sais très bien que je ne t'abonnerai jamais, la rassure Myriam .

- Papa va plus vouloir que tu reste, maman t'aime bien mais mon père non et tu en ira , je resterais seul ici avec personnes à qui parler ... tu dois faire ce que maman t'as fait promettre.

Myriam étonné que Lydia puisse être au courant de cette promesse prononça juste un léger ;
- Quoi ?

- je sais alors quand on pars , demande Lydia impatiente.

Myriam ne dit rien , car Rosalie l'avait promis se départ , mais ne elle ne lui avait jamais donné les moyens de partir le plus loin possible .

- attend il te faut sûrement ça , dit elle en courant en direction de sa chambre, maman m'a dit que je devrais te donner après sa mort , elle sorti deux passeports , et deux billet pour l'Afrique du Sud .

Sur le passeport Lydia ne portais pas le nom de famille de Ben , mais celui de Rosalie .

Myriam portait le même nom que sa fille et elle remarqua que la famille " Laden " dont Rosalie avait pris pour leurs nom était une famille mixte et prestigieuse , c'était parfait.

Elles firent les bagages et pris l'envol pour un pays dont elles ne connaissaient pas .

Rosalie : Les Cinq Visages [ EN ÉCRITURE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant