Je viens d'arrivé au lycée, je descend de ma moto puis me dirige vers ma meute, oui oui j'ai une meute donc je suis l'alpha et je m'appelle Ava Luna. Il y a Eve et Math qui sont des bêtas, il y a aussi Luk, Ana et Tim puis il y a un (petit) nouveau dans le groupe Antoine.
Vous pensez peut être que nous sommes au lycée car nous avons
cours. Mais non malheureusement il y a une meute sous le nom des Famtômes
Ils ont attaqués plusieurs innocents. Ils veulent maintenant nous tués pour une raison que je ne connais pas.
Ont se séparent : Moi et Antoine on rentre
Luk et Eve ils surveillent l'entré principal
Math et Ana surveillent l'arrière du batiment
et Tim il reste dehors.
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Nous sommes dans un des nombreux couloirs de notre merveilleux lycée.
Antoine: C'est encore plus gloque que d'habitude. Dit il peu rassuré.
Moi: Tu as peur? Dit je en ricanant.
Antoine: Non pourquoi.
On entend plusieurs bruit de pas et de griffes éfleurant les casiers métallique derrière nous. Nous nous arrêtons et retournons pour découvrir le chef des Famtômes.
Chef: Je vois que vous êtes venus il nous regarda de haut en bat puis dit vous êtes que deux.
Non, non ont est trente mille ducon. Se n'est pas grave je vais m'occuper de vous deux en premier.
Moi: Alors la tu rêve mon vieux. Dit-je en fesant briller mes yeux rouge. Ils me regardent tous les deux comme si ils n'avaient jamais vue des yeux d'alpha.
Antoine: Ava
Moi: Oui! Le regardant puis me tournant vers lui.
Antoine: Ta vue tes yeux? La question la plus bête du monde en se moment là.
Ava: Euh... Oui ils sont rouges. Dit je en comprenant pas.
Antoine: Euh........ Non.
Ava: On s'occupe de lui puis après on en parlera non?
Antoine: Ouai.
Puis nous nous sommes jetés sur lui malgré qui soit un alpha comme moi, je suis aparamant plus forte que lui. Antoine se fit éjécté, donc maintenant c'est entre lui et moi.
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Il se retrouve à terre puis je lui porte le coup de grasse. Il est allongé, j'entend encore son coeur battre. Il ouvre soudain les yeux alors que j'été en train de lever Antoine.
Chef: Vous n'aurais pas du vous séparez.
Puis il ferma les yeux.
PUTAIN....
Je laisse tombé Antoine puis court jusqu'a les groupes séparé de la meute et les trouves tous à terre. Ils ne bougent plus, leurs cœurs ne bat plus.
Je commence à pleurer puis crie de toute mes forces.
