Un amour de jeunesse

Tout a commencé quand j'étais au collège, je devais avoir 12 ans (j'étais en 6e) J'avais bousculé une fille, car j'allais arriver en retard en cours. Depuis ce moment, je ne fais que penser à elle, mais je ne sais pas comment lui avouer. C'était ma voisine.1er jourComme tous les matins je me réveillai, pressé d'aller en cours juste pour voir cette fille que j'aime. Je me fais beau et mets du parfum. Il était 8h, je me précipite pour prendre mon bus. Je me mets tout le temps à côté d'elle. Après 10 min de trajets nous descendons du bus et nous allons dans la cour de récréation.Léa ( la personne que j'aime) : salut !
Valentin : euh... salut
Léa: ça te dirait d'aller au parc avec moi après les cours?
Valentin : pourquoi pas !
Léa: je viendrais te chercher devant la grille.
Valentin: ok.
On était le soir. Comme l'avait promit Léa, nous sommes aller au parc après les cours. Nous avons parlé un peu de tout et Léa me dit
Il faut que je te dise quelque chose...
Valentin : oui, quoi ?
Léa : non laisse tomber j'ai déjà oublié
Valentin: euh... OkayNous avons repris le trajet du retour pour rentrer chez nous. J'essaye de demander à Léa ce quelle a voulu me dire. Elle resta muette.
Nous sommes arrivées devant nos maisons et nous sommes rentrés chacun notre tour. Toute la nuit je n'arrête pas de penser à ce qu'elle voulait me dire...
Je vais aller toquer chez elle pour aller lui demander ce qu'elle voulait me dire...mais voila et ce que s'est-ce une bonne idée? Non il est tard, je verrai demain.
Le lendemain matin, je me réveille. Comme tous les matins, je prends ma douche, m'habille, me parfume, prend mon petit déjeuner et prend mon bus. Mais en montant, je remarque que Léa n'est pas là. Je me demande pourquoi et moi qui avais hâte de lui reposer cette question. Peut-être elle a eu peur que je l'embête avec ça.Valentin ( en murmurant) : tout est de ma faute voilà pourquoi elle n'est pas là
Matthieu ( mon meilleur pote) : tu parles à qui ?
Valentin : non rien ne laisse
Matthieu : bah non-dit tu n'es pas dans ton état normal, c'est à cause de Léa .
Valentin : comment tu sais ?
Matthieu: bah, tu n'es plus comme avant depuis ta rencontre avec elle. C'est pourquoi je me suis douté que c'était par rapport à elle. ..
Mais t'inquiète elle doit être malade...
Valentin : je ne sais pasNous allons en cours, je n'ai pas travaillé de la matinée, j'étais mal et triste parce que Léa n'était pas là...
Le soir même, je rentre chez moi. Je vais dans ma chambre et me connecte à Facebook. Je vois des messages.
Message N° :
1) tu es moche, vas te pendre
2) tu as pleuré, tapette
3) tu n'es qu'une merde
J'en passe encore des messages...
Je me dis dans ma tête ceci et un début de harcèlement. Comment je vais m'en débarrasser. ?
Le lendemain matin, je fais mon rituel du matin. Je monte dans le car et on commence à m'insulter de tapette, de pleurnichard...
J'encaissai ces insultes pendant tout le trajet...
Arriver dans la cour, on me pousse, me tape et me crache dessus.
En classe, c'était la même chose. Je suis même partis de la cour sans pleurer, sinon cela montrera ma faiblesse. J'appelle ma mère, puis je rentre chez moi. En arrivant, je vois Léa devant ma maison.
Je descends de la voiture puis me dirige vers elle.
Léa : j'ai appris que tu te fais harceler
Valentin : malheureusement oui
Léa : c'est à cause de quoi .Valentin : non, rien laisse tomber je n'ai pas envie que tu sois dedans.
Léa: bah d'accord sympa la confiance chez toi.
Valentin: Bon ok c'est à cause. Quand tu n'étais pas là, j'avais pleuré et depuis on m'insulte, me tape etc.
Léa : ne t'inquiète pas je suis avec toi, qu'ils te touchent je les castres 
Valentin : viens chez moi tu verras les insultes que j'ai reçues en messages privés sur Facebook...
Léa et monte avec moi dans ma chambre. Je me connecte à mon compte Facebook pour lui montrer ces horribles messages. Il y avait encore 100 messages que je n'avais pas lus. Nous prenons le temps de lire avec Léa.
1 heure plus tard
Léa : oui en effet, c'est vraiment des enfoirés. Un conseil ne te laisse pas faire. Ensemble toi et moi nous allons rester fort et ne pas écouter les autres.
Léa était partie de chez moi. Je préfère fermer mon ordinateur, par peur d'en recevoir d'autre.
Je me mets dans mon lit puis-je pleure. Je pense à la journée de demain,.
Ma mère : Valentin à table!
Valentin : je n'ai pas faim !
Je n'avais plus d'appétit, je restai enfermer dans ma chambre même les jours fériés.
Comme tous les matins, j'avais peur et je tremblais.
Je prends mon déjeuner vite fait et prends mon sac. Je monte dans le bus et je me mets à côté de Léa.

Matthieu( mon meilleur ami): tapette!

Léa: toi ferme ta gueule, tu veux que je sorte des dossiers sur toi !

Ps : ce chapitre aura quelques insultes.

Matthieu: tu veux quoi toi ! Retourne chez ta mère et cassent pas les couilles

Léa : bref vas-y, ne vient pas me parler

Le chauffeur de bus : vous allez vous calmer ! Assis toi !

Nous avons terminé le trajet, je descends du bus. Matthieu arrive derrière moi et me baisse le pantalon devant tout le monde. Je ne dis rien. Je continue ma route .
Dans la cour on me tape ENCORE une fois, on met mes affaires par terre.

C'était la fin de la récréation, nous rentrons en classe, la prof me voit avec tous ces bleus sur le visage

La prof : qu'est-ce qui t'est arrivée Valentin?

Valentin : rien madames laissée
Je vais m'asseoir à ma place, on me balance une boule de papier.
Sur le papier c'était marquer:
dans le vestiaire tu es finis mon gars, vaut mieux que tu ailles te pendre avant. Signé inconnu
On était le midi, nous devons aller au self. Je me range dans le rang puis attend mon tour, 10 minutes plus tard je me sers.
Puis je vais m'asseoir à une place très loin des autres, l'assistance sociale vienne me voir et me dit de venir dans son bureau après avoir mangé.
Je n'avais pas mangé. Je demande à Léa de venir avec moi puisqu'elle sait ce qui se passe...
Nous nous dirigeons vers l'assistante sociale et je vois Matthieu qui arrive et me dit :
Matthieu: tu balances tous tes morts au vestiaire puis dehors
Léa voulait m'emmener à l'assistante sociale, met moi je suis repartis dehors en pleurs.
Léa a décidé d'aller voir l'assistante sociale
Assistante : bonjour Léa, j'ai rendez-vous avec toi .
Léa : non, mets vous devez voir Valentin, mets il est partit en pleurs
Assistante : Ha bon pourquoi?
Léa explique tout le problème, l'assistante appelle directement la principale nous comprenons mieux pourquoi il a tous ces bleus...
Le chef d'établissement arrive en panique
Chef d'établissement: