10H30 guillaume rejoint Antoine dans le garage, il savait qu'il le retrouverait là, caché pour éviter de ranger, comme tout les ans. Antoine est assis sur une chaise qui est en plein milieu de la pièce, une clope à la main et une bouteille de bière à coté de lui. Il a le tient verdâtre, de grosse cerne sous les yeux, les cheveux en pagaille, un peu sal, une tache de onnesaitquoi sur son tee-shirt blanc. Mais malgré tout guillaume le trouvé beau. Comme pour ne pas effrayer un animal sauvage, Guillaume s'approche tout doucement, et avec une tendresse infinie il pris le menton de son meilleur ami, et lui redressa la tête. Ils se fixent, chacun essayant de faire passer son message à l'autre. Guillaume veut lui dire, je suis là, je ne t'abandonne pas, je ne t'en veux pas, je vais t'aider. Antoine a juste envi de lui dire je t'aime. Sans crier gare, Antoine lâche un sanglot, qui n'arrive pas a étouffer, cachant sa tête dans le tissus de la chemise de son ami, il a honte et il veut que quelqu'un l'aime mais il a peur , tout se mélange dans sa tête c'est le bordel totale il a juste besoin qu'on l'aide il appelle au secours. Guillaume, pris au dépourvu, encercle ses épaules de ses bras, le ressert contre lui, passe une main dans ses cheveux, il est impuissant face à la douleur de la personne qu'il aime le plus au monde et sa lui fait mal de voir Antoine. Une fois qu'Antoine s'est calmé, Guillaume s'agenouille devant Antoine pour qu'il soit obligé de le regarder, en prenant appuis sur les genoux de son ami, il le regarde, il a les joues mouillées de larmes, les yeux et ses mains qui ont récupérés la cigarette qui était tombée, tremblent comme des feuilles. Guillaume attrappe ces mains tremblante, lui retirant le mégot et l'écrasant dans le cendrier à ses cotés. "qu'est ce qui ne va pas Tonio? " le concerné répond d'un simple haussement d'épaules . " Je déteste te voir comme ca, tu sais que je... que... bordel... Tu sais que je t'aime?" Guillaume souffle comme si ces mots étaient présent depuis toujours et qu'ils arrivaient à sortir après des années. Antoine ne réagis pas, il baisse la tête un peu plus, alors Guillaume prend l'initiative de continuer. " Je t'aime, j'ai mal de te voir te détruire comme tu le fais, tu nous a toujours habitué a te voir te prendre des murges monumentales, mais cette nuit c'était différent, ce n'était pas pour t'amuser que tu t'es rend malade... je vois bien que ca ne va pas, mais je sais pas pourquoi et surtout quoi faire pour t'aider... " toujours pas de réponse de la par d'Antoine, Guillaume poursuit. " j'ai vu les coupures sur ton torse , et ca me terrifie, j'ai peur que tu fasse une connerie, j'ai peur, tu comprend? " le ton monte, sa voix tremble, il est sur le point de craquer lui aussi, il se sent tellement impuissant, il voudrait le secouer, l'obliger de lui parler de lui expliquer mais il ne peut pas, il sait que ce n'est pas comme ca qui aidera Antoine. " Mehdi m'a parlé de tes parents biologiques, c'est a cause d'eux?" Antoine redresse la tête d'un coup, ses yeux reflettent a la fois sa vulnerabilité et sa colére, et Guillaume sait qu'il a touché une corde sensible. " je ne sais pas ce a quoi je m'attendais quand je leur ai donné rendez vous, ils m'ont remballé, je n'ai pas insisté. Puis deux semaines plus tard, j'ai recus un appel c'était eux, ils voulaient me voir le jour même, le rendez vous était dans un bar miteux de la banlieue de nante, quand je suis arrivé, ils étaient là, ils ne doivent pas avoir plus d'une quarentaine d'annéé et pourtant ils ont tout les deux la tête d'alcooliques drogués." un rire armer sééchappe de ses lèvres. " Ils m'ont demandaient de les aider , ils étaient dans la merde et avait besoin de plusieurs centaines d'euros . mais tu sais, c'est même pas le pire, le pire c'est qu'ils n'ont rien fait pour faire semblant de vouloir me connaître ou quoi que ce soit , non tous se qu'ils voulaient c'était des tunes. C'est con je sais, mais je me suis toujours imaginé que si mes parents m'avaient laissé devant cette église c'était parce qu'ils étaient trop jeunes , qu'ils n'étaient pas près pour être parents ou qu'ils n'avaient pas les moyens de s'occuper de moi, mais qu'ils m'aimaient, et que ca leur avaient arraché le cœur de m'abandonner. mais non rien de tous ca, tout le contraire. J'ai l'impression que ma vie n'est qu'un tissus de mensonges, je ne sais plus d'où je vient, pourquoi je me bat,alors que finalement c'est moi tout seul qui m'étais mis ca en tête . j'aurais aimé être se gamin adopté qui a ses 18 ans a une lettre de ses parents, j'aurais aimé savoir que quelque par j'avais une famille. C'est bête je sais ... mais ca fait tellement de mal grandir sans savoir d'où on vient puis finalement découvrir que ses parents sont des ratés, je suis peut être destiné a finir comme eux après tout...." Guillaume est estomaché par ces nouvelles, il est blessé que sont ami est une image aussi négative de lui, et il a mal qu'il lui ai caché tout ca en gardant tout pour lui. " Antoine... tu as une famille, ta famille c'est nous, c'est Noèmie, Mehdi, Elliott, on est ta famille et tu es la notre, tu n'es pas un raté, tu es quelqu'un de bien, comment tu as pu te mettre tous ca dans la tête ?" Guillaume s'était levé surplombant Antoine qui était toujours assis. ce dernier levant la tête pour fixer son ami, comme pour chercher a voir si il ne lui mentait pas, une fois qu'il parrut convaincu, il se leva, regarda quelque second Guillame dans les yeux comme pour lui demander son accord, une fois obtenu, il posa ses mains sur les joues de sont meilleur ami, et approcha ses lèvres. le contact était doux et éléctrique, des bouches il en avait embrassé de dizaine, mais celle la s'il ne se mentait pas a lui même il avait envi de l'embrasser depuis des années. Le baiser prit fin et si ca aurait pu être genant, ca ne l'ait pas "tu me disais quoi il y a quelque heure deja ? ... ah oui c'est vrai " retourne sucer des bite" c'est ca ? " ce moque Guillaume. "je t'aime" chuchote Antoine pour tout réponse. " moi aussi, et je ne veux plus que tu garde des trucs comme ca pour toi, regarde le resultat!" il montre son viasage encore couvert de larmes de sa main. C'est d'un hochement de tête qu'Antoine lui confirma de ne plus tout garder pour lui. Guillaume tendis sa main vers lui, lui demandant la sienne, Antoine glissa ses doigts entre ceux de son copain et c'est tout les deux qu'ils ont rejoint le reste du groupe.11h15 personne ne fit de remarque, de peur de les mettre mal à l'aise cependant les sourir satisfait avez pris place sur les visages de leurs amis. Guillaume, avait peur qu'Antoine soit timide ou même mal à l'aise avec la présence des autres mais c'est ce dernier qui l'attira pour l'installer entre ses jambes, afin qu'ils soient installé l'un contre l'autre dans le canapé. " Drole de nouvel an" chuchota Antoine a l'oreille de Guillaume qui lui répondit " on en aura d'autre, je te promet" , un baisé rapide dans le coup d'Antoine et Guillaume se reconcentra sur la discution du groupe qui débattait sur le thème du nouvel an de l'année prochaine.
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Une nuit pour s'aimer
RomanceGuillaume et Antoine se connaisent depuis leur onze ans, ils ont grandi ensemble, se connaissent par coeur. La frontière entre l'amitié et l'amoure est si fine que l'un comme l'autre la traversent petit à petit sans s'en rendre compte. Cependant qu...