CHAPITRE 31 : MAMA..

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Le commissaire : D'accord, veillez me suivre dans le bureaux s'il vous plait. me dit-il en me faisant le suivre.

          Il me fais rentrer dans la salle, et il s'asseois en face de moi. Il pose ses bras sur la table comme si c'était moi qui étais coupable. 

Le commissaire : je vous écoute madame.

moi : Mademoiselle. le corrigeais-je.. Donc je viens d"poser plainte contre Mike Jauregui, c'est lui qui avais kidnappé mon fils. L'affaires de la semaine dernière. 

le commissaire : Avez-vous des preuves ? me demande-t'il en prenant des notes sur un espèce de bloc-notes.

moi : Oui, j'ai sa carte d'identité, mon amie la eu quand la carte est tomber de sa poche, il était avec notre fils.

le commissaires : veuillez me la montrer s'il vous plait.

Je la sors de ma poche et le lui montre.  il me l'arrache à des mains  ce qui ne m'a pas plu du tout. Mais je ne dis rien pour pas m'attirer d'ennuis. rien que de savoir que mon connard de père est pu me faire ça, me stresse au point de trembler, celui qui m'intérroge me fais la remarque. Nous rester un peu près plus d'une demie heure à parler. Il pris alors ma plainte totalement comprise et me dit de patienter afin que les choses soit regler.

Je sors alors de son bureaux et vais appeler Camila dehors pour la prévenir que cela risque d'être assee long.

Moi : bébé, je suis toujours au commisariat. Je pense que je vais y rester encore un bout de temps.

Camila : tu veux que je vienne?

Moi : je ne veux pas te déranger t'en fais pas !

Camila : ok J'arrive ! Je t'aime.

Je n'eu même pas le temps de lui dire je t'aime en retour qu'elle raccrocha. Elle m'enerve quand elle agis ainsi !

Je fais les quatres cent pas dans le hall. Et si j'avais peur de se qui pouvais se passer par la suite. Et si j'était bien consciente que mon père pouvais être violent et le faire payer à ma mère par la suite ? Je ne veux même plus penser à se monstre assoiffé de douleur.

... : Mon coeur !

Je me retourne et elle es là. Mon coeur m'en fis mal rien que de savoir que c'est comme si mon regard avait recroiser le siens pour la toute première fois. Elle à sullivan dans les bras et elle s'avance à moi. Une fois qu'elle es en face de moi. Elle le remet par terre et voyant que je suis au bord des larmes. Elle n'attend pas une minutes de plus pour me serrer fort contre elle.

Camila : je suis là maintenant calme toi chérie. Tout va très bien se passer.

Moi : merci..... bébé ? Lui demandais-je au coin de son oreille.

Camila : oui mon amour ?

Moi : je ne pense pas que c'était une si bonne idée d'amener sulli ici, ce n'est pas un lieux adapter à son âge.. 

.... : justement si, c'est une bonne chose. On as besoin de lui pour cette affaire. Se sera notre petit témoin. S'exclama l'interrogeur en faisant un clin d'oeil à mon fils.

Sulli : oh ouais ! Ça va être comme à la télé ?!

L'homme : comme à la télé petit !

Sulli était heureux et sa m'amuser de voir a quel point à cette age la notre innocence prend le dessus.

L'homme : mesdames, nous allons directement allez chez votre géniteur afin de l'arreter. Il faudrais que vous veniez avec moi.

Camila et moi sommes sincro et nous dimes toute les deux en même temps " biensur ! "

Nous partimes toutes les deux avec deux commisaire. Laissant Sulli jouer au commissariat le temps qu'il s'occupe. Une fois un pied mis dans le véhicule, la peur ou je ne sais pas la rage monte en moi et Camila le comprend. Elle me fais des papouilles sur le bras afin que je reprenne mon calme. J'y parviens en un rien de temps, je ne saurais jamais comment elle a ce dont de me calmer et de soigner mes blessures.

Nous roulons pendant un quart d'heure et cette route me fis petit a petit revenir des souvenirs agréable en mêmoire.

Mais retour à la réalité quand nous sommes enfin arriver. Nous descendons tous de la voiture 8 places et frappa à cette fameuse porte. La ou ma vie c'était arreter.

C'est ce connard qui biensur ouvrit la porte. Excusez moi de mon langage mais c'est la stricte vérité.

Con*** : oui c'est pour quoi ?

Le commissaire : Monsieur Jauregui, je vous arreter pour kidnapping d'enfant.

Con*** : quoi ? Mais je n'ai rien fais !

Les deux commissaires ne se prenne pas la tête pour savoir si il doivent débattre avec lui. Non il me font plutot tellement l'honneur de me faire plaisir quand il passa enfin les menottes autour des poignet de mon foutue géniteur ! Cette enc*** me regarda avec tellement de haine en lui mais moi peut m'importer maintenant sa allez être mes paroles contre les siennes.

Mais si je vous disais que des que ma mere, mon adorable mere dans un très mauvais état fis surface derriere lui et que mes yeux pus enfin la revoir.  Le bohneur que je pus ressentir. Des la seconde ou Elle me croisa, elle se mirent en pleur m'entrainant avec elle dans ses bras. Lavoir près de moi me fis redevenir gamine...

Enfin tout cela regler. Une fois monter dans le camion. Mike avait été mis tout derriere, quant à nous nous rigolions et ma mere fin enfin la connaissance de ma formidable petite amie. J'était heureuse mon dieux !

Au commissariat, tout se passa si vite. Nous partimes alors tous dans le bureaux, la ou jetait quelque heure plus tôt puis l'homme m'interrogea ainsi que Camila. Nous parlions devons Mike et il se réjouissait de se venger des quil sortirais mais je n'ai pas peur de lui ! Le mieux dans tous cela cetait ses quelque paroles, cette ordure avais beau tuer ma mere du regard. Aujourd'hui pour lui tout était finit!

L'homme : Madame reconnais vous que votre mari à enlever votre petit fils ?

Ma mère : je confirme, et... j'aimerais porter plainte de maltraitance que cette ordure ma fait pendant tant d'années. La violence qu'il a eu a mon égard ainsi qu'à l'égard de mes trois enfants.

Forbiden love ( Camren )  { EN PAUSE  }Où les histoires vivent. Découvrez maintenant