Douleur.

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Le printemps, saison de fleuraison au couleurs jovial et attrayantes, est ma saison préféré. Cet air printanier empli mes poumons de senteurs fruités.
Le paysage magnifique au couche de soleil, est à un seul endroit qui est difficile d'accès. Je commença mon périple pour conquérir le ciel. Il me fallut parcourir des kilomètres afin de parvenir jusqu'à cette colline ou tout semblait plus petit et plus grand à la fois. Une brise marinière, m'accueilli au sommet de la "pyramide". Celle ci n'était habite que par un seul arbre, vieux d'une centaines d'années, mais aussi majestueux que le soleil lui même. Ce centenaire, est un cerisier aux pétales rosâtres et aux fruits sucrées.
Le soleil commençait à toucher l'horizon. Je m'asseyais délicatement sur le parterre de fleurs m'adossant à mon compagnon. Le léger vent emporta des feuilles ainsi que des pétales. Ces dernières virevoltaient autour de moi. Le crépuscule apparut se reflétant sur l'eau de mer. Toutes ces couleurs mélangés créèrent un tableau d'une splendeur à en couper le souffle. Profitant des derniers rayons je m'assoupie berce par cette douce chaleur.

J'ouvris lentement mes paupières asséchées. Mes yeux s'étant adapté à l'obscurité, s'émerveillèrent devant cet océan de lumières. Je me retrouvai sous une pluie d'étoiles, illuminant le ciel. A la vu de ces couleurs, un sentiment de nostalgie m'envahit. Un silence mélancolique comblait l'espace, me torturant inlassablement. Mon esprit douloureux pleura face à cette ambiance  reposante. Durant ces rares moments ou je peux lâcher prise, je profite, de tout.

C'est comme si j'était confronté à la dure beauté de la vie ...
Je ne pouvais résister, la solitude qui s'emparait de moi était insoutenable ... La peur d'être seule remonta à la surface.
Repensant à des choses inutiles mais douloureuses, je m'allongea.
Le cœur est une chose dont il faut prendre soin, quelque chose qui mérite d'être câline, pourtant la plupart du temps il est maltraité, martyrisé , piétiné. Les ignorants de cette douleur continu dans cesse de causer le mal. Mais je suis sûre que si nous pouvions échanger les rôles ils regretterons la douleurs qu'il nous infligent.

Ils utilisent différents moyens pour nous détruire aussi bien intérieurement qu'extérieurement. L'intimidation, le mensonge, la trahison. Toutes ces idioties sont lourdes, très lourdes à supporter, seule. Seule, car t'es amis prennent peur face à tes problèmes. Ils t'abandonnent comme des lâches, ne pensant qu'à leur bonheur. Ils fuient ce qui leur semble trop compliqué, ils font comme si tout allait bien même si ils savent que rien ne va plus.
Je remercie profondément le ciel de m'avoir donne ma sœur, qui et la ordonne la plus chère à mes yeux. Elle sait m'écouter quand ça ne va pas, elle sait aussi me consoler, me conseiller. Et même si ses conseils ne sont pas véridiques, ils sont emplie de sincérité et de réconfort, je ne peux que la remercier. Elle et toutes les chose qui ont fait que je l'ai rencontrer. Je me demande ce que je ferait si elle venait à disparaître...
La brise légère me ramène à la surface.
Je me noie souvent dans mes soucis du quotidiens, qui ne sont que plus puérils les uns que les autres. Mais tout de même très importants à mes yeux.
Je suis face à un dilemme: écouter mon cœur ou ma raison ?
Qui dois je écouter ? 
L'une me murmure d'oublier ce qui c'est passe et qu'il est la cause de ma torture et l'autre me hurle que le seul remède c'est de retourner auprès de lui.
Je m'endors une nouvelle fois sous le ciel étoile.

La chaleur bienveillante du crépuscule m'extirpe de mon sommeille profond.
Comme le dis le proverbe " la nuit porte conseille".

  Les années ont passés et je suis de retour dans cet enfer. Cependant j'ai l'impression que la situation est moins dur a supporter  qu'auparavant... Peut être est ce parce que je ne suis plus aussi seule qu'avant. Je n'oublie pas toutes les personnes que j'ai rencontré et qui m'ont aidées. Mais je ne peux pas vivre sans eux ... Leur présence m'est vital, comment suis je censé m'en sortir sans leur précieux conseils ? Je suis de nouveau face à ce soleil, cette mélancolie. Le crépuscule sait me mettre à nu. C'est ce pourquoi j'aime ce coucher de soleil, car bien qu'il soit éphémère il revient toujours.

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⏰ Dernière mise à jour : Mar 28, 2017 ⏰

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Au crépuscule (OS)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant