-Chapitre 1-

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Pour une fois que tout allait bien dans ma vie....Il faut toujours que tout ce passe mal....On avait enfin un refuge, on était en sécurité dans ce monde de fou... Il a fallu que ce malade nous atttaque, il a tué de sang froid Hershel.... Et maintenant c'est la panique, les rodeurs on prit possession de la prison... Tous le monde essaye de s'échapper, mais nous sommes tous séparés et je me retrouve seule...

J'ai fuis en courant la prison, mais avant ça, j'ai aidé mon groupe à abattre nos assaillants avec mon arc. Je ne pouvais pas les laisser en vie, à cause d'eux, je ne sais pas où est mon père, s'il est mort et je me pose cette même question pour mon copain.....
J'espère qu'ils vont bien, eux et le reste du groupe...
Je continue ma route, seule, cherchant un endroit où dormir, de quoi manger et de quoi boire. A bout de force, j'aperçois une grande maison au loin, en plein milieu de la forêt. Je tape contre la porte pour attirer les rodeurs, mais il y en a aucun. J'entre avec mon arc, prête à tirer, une épaisse couche de poussière recouvre le sol et les meubles. Après avoir inspecté les lieux, je commence à fouiller, je trouve des sacs, ils vont m'être utiles.
Je descends dans la cuisine et fouille celle ci , c'est la caverne d'Ali baba ! Je remplis un premier sac de nombreuses conserves et prend un second pour l'eau, les sacs sont plein à craquer. Je les montent dans la chambre où j'ai pris position. Je me fabrique un système pour bloquer la porte, je me sens plus en sécurité maintenant.
Je fouille dans le sac et sort un pot de pâte a tartiner, je prend une des cuillères que j'ai embarqué et ouvre la fenêtre. Je montre sur le toit et m'assois au rebord de celui ci. On dirait un plan a trois pour la Saint Valentin: moi, le pot de nutella et la petite cuillère. A cette pensé j'explose de rire tel une folle.

Je suis vite de retour à la réalité et je pense à mon père, je devrais plutôt dire mon "père" mais il s'est très bien occupé de moi . Je l'aime de tout mon coeur malgré l'enfance pas vraiment facile que j'ai eus. Entre mon père qui essayait de me mettre dans les meilleures conditions pour vivre et mon oncle qui ce droguait a tous va...Ouais, on peut dire que c'était pas facile. Quand on y pense je suis plus que reconnaissante en vers mon père. Oui, Daryl Dixon, malgré ses airs de brut à un grand coeur.
Lorsque je suis née, il m'a trouvé je ne sais où, mes parents biologiques mon abandonnés lâchement et cet homme m'a sauvé... Il m'a appris à manier l'arc, même si sont domaine de prédilection a lui était l'arbalète. Si j'arrive à survivre dans cette apocalypse c'est grâce à lui, il m'a tout appris, je sais qu'il est encore vivant, je vais le retrouver.
Je pense aussi à Carl, mon petit ami bien plus grand que moi, je ne l'ai même pas vu pendant l'attaque, c'est un des seuls pour lequel je doute.... Je sais qu'ils vont tous s'en sortir et je les ai tous vu partir ou se cacher alors je ne doute pas d'eux.
En se qui concerne Carl, on avait tous les deux onze ans lors du début de l'apocalypse. On était dans le même camps de survivant et depuis tout petit on est toujours fourré enssemble, c'est tous naturellement qu'à nous treize ans on s'est mis en couple et maintenant on en à seize et rien à changé.
Nos pères étaient très étonnés mais heureux, ils s'apprécient tellement...
Tous le groupe me manque, Glenn, Maggie, Mignonne, Carole, Sasha, Bon, Tyreese, Beth, Judith, Rick, Carl et bien sûr mon père Daryl...

C'est munis de mon esprit dépressif et de mon pot de Nutella que je rentre me coucher, demain je part, je vais suivre les rails, je pense qu'on y a tous pensé et que je croiserais mon groupe....

-ellipses de la nuit-

J'ai dormi comme un bébé, je suis restée deux jours de plus dans la maison j'en avais bien besoin, je reprend mon pot de Nutella et en mange en tant que petit déjeuner. Je bois un peu tous en restant raisonnable, l eau ça ne cours pas les rues...
Je me lève et enfile les deux sacs, je prend mon arc en main, j'ouvre la porte et descend avec prudence, une fois en forêt, je baisse mon arc mais le garde toujours en main on ne sais jamais. Au bout de quelques heures de marche , je tombe sur les rails, la joie s'empare de moi et j'accélère. Je croise un panneau marqué "Refuge pour tous, ceux qui y arrive survivre, Terminus", je ne le sens pas ce "Terminus" mais je sais qu'ils vont tous y aller donc j'y vais.
La fatigue commence à arriver lorsque si j'arrive au niveau d'un mur, je me met à pleurer de joie.

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Mélys Dixon ( Jennifer Lawrence):

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Mélys Dixon | TWD (Pause Jusqu'au 10/06/17)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant