Amaru Hayama est une jeune fille de 13 ans comme les autres,d'origine japonaise très observatrice,perspicase et fan de basket.
Cet année elle entre dans le prestigieux collège de Teiko dans le but de montrer que les filles peuvent faire aussi du bas...
Cela faisait quelques jours que Tetsu était sur banc d'essais, et aujourd'hui c'est son premier match, une sorte de test.
- Hé, Amaru ! Haizaki dit qu'il ne peut pas venir, il est malade.
- Sérieux ? J'en ai marre de ses mensonges ! Mais vu qu'on n'a pas le choix, il va falloir le remplacer... Bon, Tetsu, tu vas le remplacer, prépare-toi à entrer sur le parquet !
- Que... Moi ? Là, maintenant ?
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- T'inquiète pas, tu vas assurer !
PdvKuroko :
- Allez Tetsu, détends-toi un peu !
Le match commença et Murasakibara gagna l'entre-deux, ça m'a procuré un sentiment de soulagement.
- Reste calme, Tetsuya, on va démarrer en douceur, me conseilla Akashi.
Malgré son merveilleux conseil, mes pieds s'emmêlèrent tous seuls, et je m'écrasai lourdement contre le parquet ciré.
- Excuse-moi, je me suis emmêlé les pinceaux, mais ça va aller, fis-je en me relevant tant bien que mal, je ne m'étais pas fait mal mais les autres me regardaient comme si j'étais un zombie, là, devant eux...
- Euh... Je n'en suis pas aussi sûr que toi...
Amaru me fit sortir du parquet et sortit un mouchoir, qu'elle tamponna contre ma narine ; je devais sûrement saigner.
- Bon, on va faire autrement, tu peux y aller, Nijimura !
- Ok !
Je m'assis à côté d'Amaru à regrets, observant mon remplaçant jouer, une mine déçue plâtrée sur le visage.
- Ne t'inquiète pas, c'est normal que la première fois, tu sois stressé, mais en un rien de temps tu sera habitué à ça, me rassura Amaru d'un air empathique.
- Je l'espère bien...
- Tu ne saignes plus ? Ça va mieux ?
-Euh...oui, fis-je incertainement.
- Tu vas bientôt remplacer Nijimura, alors prépare-toi à retourner sur le parquet, et fais de ton mieux !
Une fois Nijimura revenu, je retournai sur le parquet, avec une détermination moins flanchante ; je voulais réussir à faire mes preuves, coûte que coûte.
La balle ne tarda pas à arriver jusque au creux de mes mains, et je la renvoyai à Murasakibara, mais elle était tellement mauvaise qu'il n'a pas pu l'attraper, et que le ballon est sorti du terrain...
- C'était quoi, ça ? T'appelle ça une passe ? Tu te fous de ma gueule? Me lança blasément celui qui aurait dû recevoir ma passe.
