VIII. Airplane (2EME FLASHBACK)

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Hey, j'espère que vous allez bien, il est un peu tard, c'est vrai mais jamais pour un chapitre d'une fanfiction Terraink (surtout quand il s'agit de la mienne, nan chui pas narcissique LOL), je tiens quand même à vous préciser que je travaille dur pour vous puisuqe je viens de finr d'écrire le brouillon alors que j'aurais voulu continuer un dessin... mais je vous aime et j'aime ce que je fais alors il n'y a aucun problème, bon aller. BONNE LECTURE <3

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dans la nuit du vendredi 21 février au samedi 22 février                                                                                     (02h17)

PDV THOMAS :

Ça y est, nous sommes enfin dans l'avion et nous venons de décoller. Le vol jusqu'au Canada, dur plus de 10 heures nous avons donc réserver un avion qui était dotée de mini cabines au lieu de dormir sur des sièges traditionnelles. Les cabines font 1 mètre 20  de largeur, 3 mètres de longueur et la hauteur d'un avion traditionnelle et il y a un hublot au fond de la cabine. Les cabines doivent être occupées par deux personnes pour que l'avion puisse emmener suffisamment de passagers et à mon plus grand plaisir et ainsi qu'à ma plus grande peur, je partage ma mini chambre avec Damien.L'avion avait maintenant décollé depuis déjà deux minutes et tout nos potes étaient retournés dans leur cabines respectives, prétextant être assommée par la fatigue, accumulée à cause du manque de sommeil. Je me retrouvais donc seule avec Damien dans un espace réduit. Damien était partit chercher des couvertures auprès des hôtesses, mentant en disant qu'il était frileux et qu'il avait peur d'avoir froid pendant la nuit alors que c'est juste parce qu'il a peur que son sommeil soit troublé en dormant sur le fin matelas mis à disposition dans l'avion. De mon côté, c'était la panique nous n'avions jamais dormi aussi proche l'un de l'autre et en étant sobre. Comment est-ce que je devais me comporter ?! Est-ce que je devais lui avouer mes sentiments maintenant ?! J'étais beaucoup trop paniqué, je n'arrivais plus à penser clairement, les idées s'entrechoquaient et se mélangeait dans ma tête mais jamais sans que je ne puisse en tirer quelque chose de claire. Je décida donc de laisser libre cours à mon instinct de survie et instinctivement je pris mon portable et appela Cyril.

(discussion téléphonique)

CYRIL : Hum... Thomas ? Pourquoi tu m'appelles à cet heure là... je dormais moi

THOMAS : PUTAIN CYRIL AIDE MOI S'IL TE PLAIT, JE SUIS PANIQUE, JE SAIS PAS QUOI FAIRE !

CYRIL : Oh... euh, très bien, écoute moi attentivement... restes calme.

THOMAS : C'est tout ce que tu as à me dire, tu n'as rien trouvé d'autre à me dire pour m'aider ?!

CYRIL : Ce que je veux dire par là Thomas, c'est que tu dois rester toi même, que tu n'as pas à t'inquiéter sur comment tu dois te comporter puisque tu as juste à rester toi-même. Tu veux que Damien t'aimes pour ce que tu es nan ? Alors restes tranquille, laisse couler et quand au plus profond de toi tu te sentiras prêt à lui dire tu pourras te lancer. Je sais que ça fait super peur même bien plus que ce que je te dit mais tu ne peux pas vivre comme ça pour toujours, tu ne peux pas t'épanouir avec quelque chose d'aussi pesant. Je pense que c'est le bon moment pour que tu lui dises; vous êtes seules et on a encore toute la semaine coupé du monde et si vraiment il te fait du mal ou te refoule comme une merde, j'arrives et je lui casse la gueule !

THOMAS : Merci énormément Cyril.

Au même moment j'entendis que quelqu'un essayait de rentrer dan la chambre. Je raccrocha et jeta mon portable aussi rapidement que possible de l'autre côté de la mini pièce que j'occupais. Mon portable eut à peine le temps de rejoindre ma valise, dans un bruit sourd, que la porte s'ouvrait, laissant apparaître Damien, des couvertures aux bras. Il les jeta sur le lits avant de bien refermer la porte derrière lui. Il finit alors par s'affaler sur le matelas que je partageais avec lui, non sans lâcher un long soupir, qui en disait long sur son état actuel. J'eus un léger rire à la vue de sa réaction enfantine, il se mit donc à me fixer.

DAMIEN : Quoi ? Laisse moi tranquille.

Il se tourna, dos à moi de sorte à ce que je ne puisse pas voir son visage, il est vraiment trop mignon quand il boude, ce sont tous ces petits moments avec lui qui me rappelle pourquoi je l'aime... ils pourraient certainement paraître insignifiant aux yeux des autres mais pas aux miens. <3

THOMAS : Oh... mon petit Dami le Boss est en train de bouder ?

DAMIEN : T'es sur de vouloir jouer à la provoque avec moi ?

Au moment où il avait prononcé ces derniers mots, il s'était enfin retourné vers moi à mon plus grand bonheur. J'eus même le droit à un de ces magnifiques moments où je suis complètement absorbé dans son fantastique regard azur, dans ces moments, j'ai l'impression que plus rien n'existe autour de nous.

DAMIEN : Thomas...

Je lui fis signe de se taire, nous nous approchons l'un de l'autre. Je sens mon pouls s'accélérer au fur et à mesure, un grand silence inonde à présent la si petite pièce. Les secondes me paraissent être des éternités tandis que Damien et moi nous rapprochons toujours l'un de l'autre. Nos lèvres ne sont plus qu'à quelques millimètres les unes des autres. Leur distance en devient un supplice, je ne peux m'empêcher de les fixer avec un désir ardent. Stop, c'était enfin là, pour mon plus grand plaisir, nos lèvres s'étaient unies.

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Bon moi je vous laisse je suis crevé j'attend vos avis. J'vous aimes <3

NOTRE HISTOIRE...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant