Je sortie de ma chambre et je descendu les escaliers pour rejoindre la cave.
+j'espère qu'ils l'ont encore, j'aurais peut-être dû demander avant.
+ tu es revenues et tu es même pas venue me dire bonjour ?
La voix provenait d'un petit chat noir à deux queux, je m'approcha de lui et le pris dans les bras.
+Blacki, je suis sincèrement désolée de pas être venue te dire bonjour mais disons que je suis venue par obligation.
+ pourquoi ?
+je suis tombé malade et maman est venue m' emmener en urgence ici.
+ ça va mieux maintenant ?
+oui, dis-moi est-ce qu'ils ont toujours le pentacle de téléportation ?
+ oui mais ils l'ont changé de place.
+tu sais où il est ?
Il regarda le plafond et par réflexe je fis pareil.
+ juste au-dessus.
+mais c'est la salle où il y a les expériences raté de papa.
+ il a préféré le mettre pour que les autorités évite de le mettre en prison.
+pourquoi ?
+ parce que le roi blanc les utilisent pour envoyer ses espions mais heureusement aucun des deux camps n'en connaît l'existence.
+alors j'imagine que si je l'utilise, ils vont le détecter.
+ Ouai, c'est pour ça qu'il l'a mis avec ses expériences raté pour avoir une protection supplémentaire.
+il faut que je trouve un autre moyen de repartir
+ tu peux utiliser le portail de la ville.
+je sais pas et en plus je crois qu'il faut payer pour y accéder et j'ai pas un sous sur moi.
+ tu as cas demandé à ta mère de créer un portail.
+j'ai pas trop envie qu'elle soit au courant.
+ t'es difficile.
+je sais.
Dis-je en le posant à terre.
+ tu vas faire quoi, alors ?
+je vais en faire un, assez loin de la ville.
+ tu sais en faire ?
+bien sûr, que je sais en faire, je suis pas née de la dernière pluie, Blacki.
Je partie vers ma chambre, récupérer un sac pour transporter tout le nécessaire pour le portail, je pris quelques bougies que j'avais caché dans ma chambre, ainsi qu'un petit saphir qui traîné dans une étagère très mal rangé et puis je fila dans le laboratoire de mon père pour prendre des cendres juste avant de me faire repérer.
+ qu'est-ce que tu fais ?
Je me retourna face à mon père.
+je vais faire un portail pour rentrer chez moi, mais ne t'inquiète pas je sais que c'est interdit de posséder un portail c'est pour ça que je vais le faire assez loin.
+ je comprends mais fais attention à ne pas te tromper de type de cendre.
Je regarda le flacon où il y avait écrit "cendre de glace"
+pourquoi ? des cendres c'est des cendres, non ?
+ avec les cendres de glace tu risque de te retrouver dans un monde de glace.
+ah OK. Il faut que je prenne quoi ?
Je reposa le flacon à sa place.
+ prends de la cendre de mortel.
Je pris le flacon qui fut juste à côté.
+merci, papa.
+ j'espère que tu rentreras bien.
+ne t'en fais pas, papa.
Je sortie de la maison, courant vers l'extérieur de la ville, avant de me faire contrôler par des gardes.
+ qu'est-ce qui vous arrive mademoiselle ?
+je dois rentrer chez moi.
+ attendez, vous n'êtes pas la fille qui aurait réussi à s'échapper de l'une des prison du roi blanc ?
+pourquoi ?
J'essaya d'esquiver le sujet mais sans succès.
+ mais oui, maintenant que tu le dis.
+je crois que vous vous trompez de personnes.
L'un des deux gardes sortis une affiche de sa pochet et le déplit en le mettant juste à côté de mon visage.
+ mademoiselle Shirotsume c'est ça ?
+je vous l'ai dis vous vous trompez de personnes.
Je commença à paniquer intérieurement.
+je dois rentrer chez moi, laissé moi passer, s'il vous plaît.
+ dites nous qui vous êtes.
+je suis celle qui est c'est libéré de l'une des prisons du roi blanc, je peux passer maintenant, s'il vous plaît ? C'est important !
+ qui nous dis que vous n'êtes pas entrain d'usurper son identité ?
Je regarda au ciel mais il semblait que la ville était sous une genre de couche de verre, je ne pouvais pas partir par les airs.
+vous n'avez qu'à demander à...
Soudainement, les deux gardes se mirent à genoux et à saluer.
+ relevez-vous.
Ils se remirent à leur position initiale et je me retourna en faisant face à ma mère.
+maman ? C'est papa qui t'as dis que je partais ?
+ Nan, tu viens juste de me le dire.
Les deux hommes semblait étonnés de la scène.
+ c'est votre fille, commandante ?
+commandante ?
+ oui, c'est ma fille.
Dit-elle en m'ignorant.
+ veuillez nous excuser pour notre ignorance.
Dirent-ils, j'étais sans voix de ce que je venais de voir.
+ ce n'est rien.
Les deux gardes se mirent sur le côté pour nous laisser passer, ma mère s'avança dans l'allée.
+ tu viens ?
+oui, j'arrive.
Je couru vers ma mère et lorsque nous étions assez loin de la ville, je m'arrête et je commençais à sortir mes affaires pour le portail.
+ pourquoi tu voulais sortir ?
+pour faire un portail assez loin de la ville.
+ pourquoi ne pas avoir utilisé ceux de la ville ?
+parce que je croyais qu'il fallait payer et aussi parce que j'avais peur.
Dis-je en disposant les éléments.
+ tu aurais eu peur de quoi ?
+je sais pas, bon, j'ai presque terminé.
+ qu'est-ce que tu vas faire ?
+retourner à l'école et rassembler une armée.
Un coup de vent balaya le pentacle que j'avais préparé.
+pourquoi tu fais ça ?
+ ce n'est pas leur combat, c'est le notre.
+c'est faux, c'est le leur aussi.
+ en quoi c'est leur combat ?
+ils ont le droit de combatre pour être libre et je sais que tu veux retourner au trône.
Elle se raidit aussitôt.
+ pourquoi tu dis ça ?
+je l'ai lu dans tes carnets.
Il ne dis rien et partie sans se retourner. Je repris la préparation du pentacle et une fois que tout fus près, je commença à incanté la formule et un portail apparu et j'entra dedans. J'atterrissa dans un centre ville, assez peuplé, les gens semblait intrigué par ma tenue, qui était différent de la leurs. Je me sentais perdue, totalement désorienté. Je commença à marcher dans les rues à la recherche d'un endroit où je pouvais me renseigner ou m'envoler sans faire peur à qui que se soit. Très vite, je trouva un office de tourisme. J'entra dans le bâtiment où il y avait que le personnel. Je m'avança au comptoir et une jeune femme charmante m'accueilli.
+ bonjour, mademoiselle, que puis-je faire pour vous ?
+euh... Bonjour je voudrais savoir c'est quoi le nom de cette ville parce que euh...C'est un genre de gage en faite.
+ on est à Strasbourg, mademoiselle.
+à Strasbourg, d'accord, merci beaucoup, bonne journée.
+ merci, bonne journée à vous aussi.
Je sortie de l'office de tourisme, je marcha dans les rues en cherchant une rue où je ne serai pas vu entrain de m'envoler. Lorsque je marché dans la rue, la plupart des gens me défigurée, alors que d'autres venait pour se prendre en photo avec moi, je me sentais mal à l'aise mais je n'osais pas refuser. Après quelques heures, je tomba sur une ruelle qui m'intrigua fortement, aux premiers abord la ruelle semblait tout à fait normal mais lorsque je traversa la ruelle, je me retrouva dans un endroit très particulier, il y avait plein de créatures inhumaine de toute sorte, des loups-garous, des nymphes et plein d'autre créatures fabuleuse. L'endroit m'incita à l'explorer. La rue renfermé une ville entièrement habité par les créatures fantastique. Il y avait des boutiques en tout genre de la simple quincaillerie et des boutiques de potions et d'armure extrêmement cher. Je commença regarder les vitrine attirante et extrêmement bien conçu, soudainement, une jeune femme d'une vingtaine d'années, avec un calepin et un stylo dans les mains m'acosta.
+ excusez moi, mademoiselle vous ai-je déjà vu quelque part ?
Je ne décrocha pas mon regard de la vitrine.
+je ne crois pas.
+ pourtant, j'ai l'impression du contraire.
+vous devez faire erreur.
Puis je tourna ma tête vers cette mystérieuse femme, elle défigura du regard aussitôt que j'avais tourné ma tête tout en superposant avec une affiche avec ma tête dessus.
+ vous êtes la fille qui est recherché n'est-ce pas ?
Je recommença à de nouveaux stressé intérieurement.
+je ne vois pas de quoi vous parlez vous devez faire erreur.
Je pris la fuite aussi vite que je pouvais.
(en cour...)
VOUS LISEZ
La sorcière vampire
VampirosUn siècle et toujours dans le corp d'une fille de quinze ans, elle rentre dans une école de sorciers. Est-ce qu'elle va réussir à s'intégrer ?