Vivre ou survivre (dramione)

Chapitre 4

Draco avait enfin réussi à retirer les lianes qui entouraient le corps de Hermione, celle ci pleurait de tout son être.
Draco lui avait les mains ouvertes au sang. Sa peau blanche était recouverte de rouge. Malgré sa douleur il aida Hermione à se relever avant de rajouter:

-comment tu vas ?

La pauvre rouge et or souffrait terriblement elle tremblait et par moment manquait de crier et de tomber 

-je...re...garde...dos

Le serpent ne compris pas de suite. Elle mettait ses mains dans son dos, mais le fait de tourné ses épaules vers l'arrière manquait de la faire s'évanouir. Draco compris qu'elle voulait qu'il regarde son dos.

Sa cape de sorcière était complément déchiré  laissant voir quelque chose de terrifiant. Draco se demandait comment il allait l'aider.

Dans son dos se trouver les mêmes lianes joncher d'épines que celles qui avaient attrapé la jeune femme. Les lianes étaient profondément enfoncées dans la peau. Hermione souffrait. Elle tomba à genou. Il fallait que Draco enlève ces lianes.

Il l'allongea sur le ventre. Il prit l'extrémité de la liane entre ses deux doigts et tira tout doucement. A peine avait-il retirer quelques centimètres de la liane qu'il ne pouvait plus.
Il ne pouvait plus pas parce que son dos se remplissait de sang ou qu'une liane entrait dans son dos, il en pouvait plus parce qu'Hermione hurlait comme jamais il n'avait entendu personne. Elle criait, soufflait et suppliait Draco d'arrêter. Ce dernier se reprit en main et lui chuchota calmement:

-écoute Granger, je vais y arriver, tu ne sentiras plus rien d'accord ? Ferme les yeux. Penses au meilleur moment de ta vie et surtout rappelle toi que tu es une Gryffondor et ça c'est quelque chose de pure et qui est enfouie à l'intérieur de ton âme c'est ce qui va faire de toi une femme forte.

La gryffondor souffla elle ferma doucement les yeux et pensa. Draco pouvait lui retirer les lianes. Il l'a voyait souvent enfoncer ses ongles dans la terre humide de la foret. Il s'en voulait tellement, si il l'avait protégé ils seraient arrivés.
Il enleva le reste de liane et il eut enfin finit. Il prit sa baguette et lui jeta un sort de guérison et de cicatrisation. Son dos fut comme neuf.
Il l'a prit, ensuite, dans ses bras. Elle put dire:

-merci Draco...

Avant de s'évanouir ou de s'endormir.  Il sourit doucement, fier de lui.
Il marcha jusqu'à arriver devant un château majestueux. Poudlard.
Il porta Hermione malgré la douleur terrible que lui infligeait ses mains.
Il entra dans Poudlard. Il pu entendre les élèves des différentes maisons applaudir à tout rompre mais rien d'autre. Personne ne savait donc que les préfets en chefs avaient disparu ?!
Il pressa le pas et alla en direction de l'infirmerie. Celle ci s'exclama à la vu de la jeune femme ensanglanté:

-oh mon dieu ! Monsieur Malefoy ! Mais que c'est t'il passé ?
-la foret est remplit de dangers vous savez...

Lança t'il sans grande compassion. Il déposa son ennemie sur un lit et la medicomage se dépêcha d'aller chercher des remèdes pour soigné les plaies de Hermione. Le serpentard, quant à lui, en profita pour se diriger vers la sortie.

-hop hop hop ! Avez vous vu l'état de vos mains monsieur malefoy ! Restez ici je vous prie !

Cria l'infirmière.

-je peux me soigner tout seul.

Il avait dis ça d'un ton froid et agacé. Il sortit et partit vers leur salle commune. Avec bonheur, il découvrit que leurs bagages avaient bien été déposés dans leurs chambres. Il alla se rincer les mains ainsi que son visage.

Appuyé contre le rebord du lavabo et tête baissé il pensait à sa mère.
Hermione, avec ses cries de souffrance, lui avait terriblement fait penser à sa mère se faisant torturé par son père. C'est d'ailleurs pour la même raison qu'il a fait tout pour qu'Hermione sorte de la et arrête ses cries.

Prit d'une violente envie de tout casser, il serra les poings, la ou ses plaies étaient encore ouverte et partit vers sa chambre. Il prit dans son sac une bouteille de whisky pur feu. Il déboutonna sa chemise, laissant apparaître ses abdos parfaitement dessinés. Il commença à boire. Boire pour oublier était sa devise depuis la mort de sa mère.