Chapitre 1 : La rencontre

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North Blue, la mer la plus glacé de tout Grand Line. Sur l' Île des Cerisiers, dans la maison du maire Dalton. J' attend en faisant les cents pas dans le couloir. La porte s'ouvrit sur un homme grand aux habits verts et jaunes.

« Te voilà ... Tu es là depuis longtemps ? Demanda le maire visiblement énervé.

- Euh ... non. Je viens juste d arriver ... Je vais avoir des problèmes ? Questionnais je.

- Non ne t inquiète pas pour ça. J'ai réussis a résoudre ton problème mais tu as risqué gros sur ce coup là. Non je veux juste entendre ta version des faits pour savoir ce que je vais faire de toi ... Rassura le plus vieux.

- Bah... Comment dire ? J'avais faim, j'ai vu un truc très appétissant donc je l'ai mangé mais je savais pas ce que c'était moi. Comment j aurais pu savoir ? Avouais je.

- Et toi, tu manges des trucs dont tu ignores la provenance. Imagine si c'était pas bon pour toi, qu'est ce que tu aurais fais ?

- Bah j'aurais craché. Même si j'ai faillit tellement que le goût était dégouttant mais c'est passé avec un peu d'eau mais je promet que je recommencerais pas.

- Mais dis moi, tu te sens différemment depuis que tu l'as mangé ? Pas de maux de tête ou d'étourdissements ?

- Nan. Pourquoi ? Je devrais ? Sinon vous savez ce que j ai mangé car tous le monde me pose des questions.

- D'abord répond a ma question. Tu aimes nager ?

- Quoi ? Nager ? J'en ai une sainte horreur !

- Ouf ... Maintenant que ... »

Alors que le maire me parlais, je commençais a me sentir étrangement bizarre, pas comme si j'étais malade mais d'une manière qui ne me dérangeais pas. JE sentais cette force qui venais de je ne sais pas où, je sentais aussi la chaleur qui montais de mon ventre en laissant derrière elle d'étranges picotements assez désagréables. Mais la seule véritable douleur que je ressentais étais celle dans mes bras et mes jambes, c'est comme si on me tirait chaque membres pour les agrandir puis plus rien. Une fois la douleur arrêtée, je regardais autour de moi pour voir si quelque chose avait changé. Je trouvais que j'avais une vue un peu plus basse que précédemment. Mon regard croisa celui du maire qui avait l'air à la fois effrayé et impressionné. Je voulais parler mais aucun mot ne sortit de ma bouche, seulement des grognements. Je sentis une main se poser sur ma tête et une voix rassurante, celle du maire qui me disait que tout allait bien se passer et que tous redeviendrais normal dans quelques instants. Alors que je ne comprenais pas ce qu'il voulait dire, la douleur se fit de nouveau sentir, une violence soudaine, dans tous mon corps cette fois si. Je m'écroule sur le sol et finit par dormir suite au précédent choc.

Un délicieuse odeur de tourte vient me chatouiller les narines, j'ouvre tous doucement les yeux que je ferme par la présence trop lumineuse du Soleil dans ma chambre. J'essaie de me lever mais la douleur est toujours présente dans mes muscles. Seulement des bribes me revient en mémoire, le maire et la douleur sont les deux seules choses sur ce qui c est passé lorsque j étais conscient. J' entends des voix dehors et donc je décide quand même de sortir du lit pour aller voir ce qu'y ci passe. Plus je me rapprochais de la porte de ma chambre, plus j'entendais distinctement les voix. Il y avait trois personnes, une femme sure vu le parfum qui embaumait les alentours et deux hommes, le maire et un inconnu, mais en tous cas je savais de quoi ils parlaient ensemble, de moi. Je sortis donc de ma chambre , en pyjama, pour rejoindre le salon quand je vis ma mère dans la cuisine, je décide d'aller lui dire bonjour. Alors que je me rapproche d'elle, je sens encore l odeur de tourte dans le four. D'excellente humeur comme d'habitude avec son petit tablier orange, ma mère ne se rend compte de rien lorsque je m approche d elle puisqu'elle doit être a fond sur ce qu'elle fait. Je me mis derrière elle et décide de lui faire peur. Je mis mes mains sur ses épaules et elle se mit a crier lors d un sursaut époustouflant. Elle se retourna à une vitesse encore jamais observé chez elle. Elle était en nage, normal pour quelqu'un qui fait la cuisine avec sa plus grosse veste.

Les pieds dans le platOù les histoires vivent. Découvrez maintenant