Chapitre 31

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Le quart de final avais lieu cet après-midi. Une grosse affiche dans ce mondiale. France-Allemagne. Le match se tenais à treize heure au Maracaña.

Antoine et moi avions décidé, avec l'accord de Didier bien sur, de convié Jorge à prendre le petit déjeuné avec nous afin qu'Antoine s'excuse de son comportement.

Il arrivai. Tout le monde l'accueilli avec joie, tout le monde s'entendait très bien avec lui.

Jorge s'installait à une table avec Antoine et moi.

"Jorge, je suis tellement désolé.
-Je sais Antoine, ta femme ma tout raconté... quelques pars je te comprend parfaitement, j'aurais vue un homme aussi près de Beatriz, j'aurais réagi pareil.
-Et merci aussi pour ce que tu fais, pour mon avenir.
-Tu est très talentueux, le coach cherche un nouvel attaquant et je suis sûr que tu as un très grand potentiel, je sais que tu peu devenir un héro, pour tout un tas d'enfant.
-C'est ouf Antoine, imagine toi un peu, héro d'une nation, ce serait énorme.
-Un pars de l'histoire s'écrit en ce moment, d'ailleurs je vais y aller, Didier doit déjà nous attendre pour l'entraînement, il ne faut pas que je sois en retard."

Antoine déposa un baiser sur mon front avant de partir. Quand à moi je restais dans la cafétéria à discuter avec Jorge.

Pdv Antoine

Je me rendais à notre dernier rassemblement de la journée. Nous allions faire un petit entraînement simple, pour voir les finissions. Après la douche nous avions rendez-vous dans la salle de réunion pour parlé des compositions et de la tactiques de jeux.

L'entraînement se passa sans accros. Le stress était présent, mais la concentration aussi.

À la fin de l'entraînement nous partions dans les vestiaires pour prendre une douche et nous changé.

Pat' pris la parole.

"Les gars, il est peu être tôt pour faire un discours mais ce n'est pas grave. Je crois en nous et en notre équipe. Nos devons resté concentré, et gardé à l'œil, cette coupe. Nous devons nous battre pour nos supporters. Nous sommes des soldats et notre terrain de combat c'est ce terrain. Je veux des guerriers cet après-midi. Nous pouvons le faire."

Tous le monde applaudi et nous nous dirigions vers la salle de réunion. Nous étions plus soudé que jamais.

"Je vais annoncé les compositions d'équipes pour cet après-midi.
Au goal, notre capitaine Hugo.
Debuchy à droite. Rapha' et Mamadou (Sakho) au centre. Et à gauche on a Pat.
Ensuite au centre, Paulo, Yo' (Cabaye) et Blaise. Et en attaque, Matt (Valbuena) à droite, Grizi à gauche et Karim au centre. 4-3-3 Classique. Sur le banc : Ruffier, Landreau, Bacary (Sagna), Momo, Mavuba, Rémy (Cabella), Olive, Eliaquim, Laulau, Lucas (Digne), Loïc (Remy), et Moussa (Sissoko). Voila.
Je compte sur vous. Je sais qu'on peu faire de grande chose. Rendez vous à onze heures pour le repas, merci."

Tout le monde applaudi et nous quittions la salle.

Pdv Erika

Le match allait commencé. Nous prenions place dans les tribunes.

L'arbitre siffle le coup d'envoi. Le début de match est plutôt compliqué pour nos français. Les allemands font un pressing avec un block plutôt bas, ce qui nous oblige à redonné le ballon au gardien.

La première occasion est allemande, frappe d'Özil qui tombe sur Varane.

Pat' fait faute sur Muller qui se voit donc offrir un coup franc. Il tombe directement dans les bras de Lloris.

Il relance rapidement, et suite à une magnifique action collective, Karim frappe.... et tombe sur la droite de Neuer.

À la 13e minute, Antoine réussi à passé sur la gauche pour redonné le ballon à Benzema qui se fait arrêter par Hummels.

L'Allemagne se voit accordé un coup franc... qui fini dans les but grâce à une finissions de Hummels. Les allemands sont fou de joie, et nous sommes anéantis.

Au bout d'un quart d'heure de jeux c'est très dur, de plus nous réussissions à
équilibrer un peu le jeux.

Les actions s'enchaînent. La France ne remonte pas au scores. De chaque côté les défenseurs bloques toute les actions.

Antoine réussi à passé dans l'axe puis se décale sur la droite avant de centrer sur Valbuena. Il fait contrôle poitrine, et enchaîne la reprise. Neuer contre le ballon ce qui nous offre un corner.

Benzema récupère au second poteau, il est contré et la France se voit offrir un nouveau corner.

À la fin de la première mi temps Matuidi décale sur Evra qui centre sur Benzema qui reprend de la tête, il est finalement contré.

Notre équipe trouve de bonne relance ou de bonne récupération mais aucune n'est concluante. Antoine fait un bon match pour l'instant, je suis très fière de lui.

La deuxième mi-temps se déroula comme la première. Des actions de chaque côté mais aucune de concluante.

82e minute, Lloris nous sauve du 2-0 en arrêtant un superbe tir pied droit de Schürrle.

94e les bleus tentent le tout pour le tout ! Benzema décroche une lourde frappe en angle fermé gauche mais Neuer la repousse d'une puissante manchette.

C'est terminé. La France est éliminée. Je m'effondre. Les supporters allemands crient, font la fête... et nous, nous sommes la, décomposer.

Sur ce match nous aurions pu gagner. Nous étions présents, mais ils nous ont dépassés.

Les joueurs sont les plus mal. Effondrés, en larmes, tous essayent de trouver du réconfort au près de leur coéquipier mais tous ça et vain.

Je sortais du stade. Le cœur lourd. Peu de temps après, toute retrouvions nous maris décomposés.

Antoine arrivait, la tête basse. Je le pris dans mes bras. Je ne pus retenir les larmes qui menaçaient mes yeux depuis quelques minutes. Il pleura aussi, laissant son côté fragile se dévoiler.

"C'est injuste... soufflais je. Vous mettiez cette victoire.

-On se dépassera la prochaine fois ! Dit Didier en arrivant. Cette défaite est très dure, mais c'est le football. Nous allons continué à nous battre. Tous n'est pas fini pour cette équipe. Dans deux ans nous avons la coupe d'Europe à la maison. Mais maintenant, il faut que vous rentriez à l'hôtel. On se retrouve demain."

Son discours n'était pas très convaincant, ou du moins, moins que d'habitude.

Nous prenions la route de l'hôtel. Le cœurs très sombre. Se dire que tous est fini, c'est très étrange.

[Sachez que la photo en média me brise le cœur]

una evidencia//A.G♡E.COù les histoires vivent. Découvrez maintenant