Tu es montée au firmament rejoindre les étoiles. Ton absence me laisse comme un vide, un abime même. Tout ce qu'il me reste sont des souvenirs, rien que des effluves de ta présence. Je n'arrive plus sans toi. Même les choses les plus douces me paraissent aigres, que ce soit du coton ou l'image de la présence. Des larmes écarlates coulent sur mes joues, mes souvenirs refont surface, comme notre comptine datant de notre enfance. Malgré moi, je me mets à fredonner :
« Es-per-luette, esper-luette,
Je te plumerai la tête,
Et la tête, et la tête,
Esperluette, esperluette,
Et le corps, et le corps... »
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esperluette
RandomPetit texte que j'ai écrit dans une phase de déprimassion (oui c'est un mot que j'ai inventé)