Vague souvenir

15 2 1
                                    


J'essais de me souvenir de ce petit endroit, en fermant mes yeux fort j'essais de me souvenir de cet endroit dont j'ai le vague
souvenir .J'essais de me souvenir d'une histoire dans cet endroit qui pourrait faire rire mes aimables lecteurs mais je me souviens plus vraiment. Je me souviens des anciens, Popeye, dukess, bouchon, nono, les jeudi martin, jimbo, oui je me souviens de leurs départs. Je me souviens de ce jour là comme si c'était hier, oui un jour comme tous les autres jours dans cet endroit paisible. Un drame allait s'abattre, la mort de la fille du bâtiment 5, le suicide du policier du bâtiment 6. Je me souviens qu'à 18H précise j'étais à ma fenêtre en attendant qu'elle descende jeter la poubelle pour la taquiner, jusqu'à obtenir un bisou de rien du tout de nos jours. Nous n'avions que 12 ans, nous étions comme de vrai mari et femme. On ne connaissait rien à l'amour, mais on s'aimait, avec des paroles, le sourire et de simples bisous. L'arrosé du matin était encore présent, je me souviens que l'endroit était calme comme un jeudi matin. J'étais dans les bras du morfie, soudainement une gros voix base dit : ''Pourquoi tu la prise ? ''. Je me réveil en sure saut et regarda part la fenêtre de là mai saline qui donner vu sur le parking des grands bâtiments. Je me souviens et me souviendrais encore de cette scène atroce, une fillette ce faisait tirer les cheveux par son beau père. La macrelle du bâtiment 3 était déjà réveiller et poussa un cri :''Non, arrêter monsieur, laisser là''. Je regarder la scène, et j'ai vu que c'étais la fille du bâtiment 5, défigurer la fille dont je taquiner sur le chemin de la poubelle. Je me précipitai à l'extérieur en criant: Jahny, skelet, skelet vite, vite venez''. Ce beau père fureur la ligota à l'arrière de sa voiture, et la tira kilomètre après kilomètre. Les jambes de la fille étaient fatiguées comme celle de Lance Armstrong à l'arriver. Elle tomba sur les genoux et ce fait tirer, comme un petit tirant une poubelle lourde. Sa chaire au sol, ne servis pas même pour empreinte. La voiture s'arrêta, enfin ce mauvais rêve finir. Non !!! Il la prit est la mise dans la voiture est s'en alla. J'étais aussi stressé qu'un barbu ce levant pour aller pisé dans l'avion, le doute me mal trainer. Vingt minutes passent, rien, rien du tout. Tout le monde est à l'extérieur de leurs toits ce posant des questions. "Elle est la'' s'écria ma tante Taité. Elle était la avec des larmes dans les yeux, des larmes qui lui faisait plus rien. Elle était là attacher à l'arbre d'amande, avec des marques de ceinture aussi marquant qu'un marqueur. Le vendeur de feu d'artifice de cet endroit sauta la barrière et défait ce nœud d'écoute double et la prit dans ses bras, la raccompagnai chez elle et attendit que la mère rentre du travail. Tout le monde était impatient de voir la réaction de la mère, oui j'étais impatient de voir la police débarquer, embarquer cet enfoiré de beau père qui serre à rien. Mais non, rien, rien du tout. A cause d'une bague que son frère aîné avant prit sans demander pour un soir. A cause d'avoir dit dont sait elle l'auteur. A cause d'un appel, à cause d'une mère qui n'a pas su dire non, à cause d'un beau père. Je pourrais en citer des milliers de " à cause " mais il y a ce "à cause" dont je ne peux pas m'empêcher de citer. A cause de cette incapacité de parler dont j'ai toujours ce souvenir qui apaise mon cœur. Si la propre mère ne dit rien donc je ne peux rien faire aussi, c'était ce que disait le voisinage. Comme si ce qui c'était passer hier était rien, rien du tout. Pas un seul pour appeler la gendarmerie, même pas un pour appeler le procureur, je ne sais pas moi, appelé les gens qui aide les enfants en maltraitance, non, pas un. Deux jours après cet événement je voir tout le monde ce dirige dans le même sens. Tout le monde ce dirige derrière le bâtiment 5. Des visages palmes, des cris bizarres. Au loin j'ai suivi que c'était d'elle qu'on parlait . Je me précipitai derrière ce bâtiment. Je me mêlai à la foule. Elle était allonger près de la balançoire de Marlonne. Ses bleus étaient encore visibles. Je n'ai compris pas tout de suite. Es qu'elle est évanouit ? , elle fait un petit psaume de rien du tous, Aller réveil toi, c'était les mots qui me rongé l'esprit. C'était trop tard. Elle nous regardait ce lamenté devant son corps. On arrêta le beau père et la mère. (15 ans pour le beau père et 5ans pour la mère. (à confirmer, doit demander)).

On connaissait pratiquement rien sur lui appart qu'il avait une Mustang noir et qu'il était policier. On ne faisait pas vraiment attention à lui. On ne l'avait jamais vraiment vu. J'essais d'imaginer comment il était, j'essais d'imaginer comment il était physiquement pour faire une description mais il y à qu'une seul image qui revient sans cesse, sa mort. Je ne me souvien plus vraiment de qui était la mais je me souvien de Mika qui débarquai comme si il était expert dans l'analyse de prélèvements sanguins du service médico-légal de la police de Saint-Martin. Un homme allongé par terre. Une arme à proximité de sa tête, qui était plus qu'un patté de chair. Du sang partout dans un salon. On leur d'être protège pas les plus grands, on assiste avec les plus petits. On leur d'être éloigner, on était attirer comme la gravité de la terre. On était la devant le corps du policier du bâtiment 6. Pourquoi il s'est tué, tout le monde voulais le savoir mais nul le su.
Ricardo TELISMA

Vous avez atteint le dernier des chapitres publiés.

⏰ Dernière mise à jour : Mar 12, 2017 ⏰

Ajoutez cette histoire à votre Bibliothèque pour être informé des nouveaux chapitres !

Un vague souvenir Où les histoires vivent. Découvrez maintenant