Chapitre 1: Le commencement

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Je pense que tout les survivants comprendront ce que je veux dire maintenant que la catastrophe à causé notre fin d'humanité qui régnait sur la terre jadis est arrivé.
Maintenant j'en suis à deux mois depuis le début et j'ai toujours aussi peur que le premier jour. J'ai peur de devenir comme les autres qui font parti de notre nouvelle population à présent. Celle qui hante nos cauchemars alors qu'avant on prenait à la rigolade ce sujet à n'importe quelle période de l'année et de la journée.
Oui, je parle bien de zombie ou de revenant dont tout le monde dit sans sérieux : " s'il y avait des zombies un jour, je leur fonderait leur cervelle pourrit d'un simple coup de batte de baseball comme dans les séries américaine que tout le monde raffole de savoir la suite après avoir regardé un seul épisode".
Seule dans la pénombre accompagnée de mon angoisse, je me remémore le passé et je survie à cet horrible monde alors qu'il y a deux mois je n'était qu'une lycéenne ordinaire avec ses petites habitudes à deux balles.
La raison de la cause bien sûr les réseaux sociaux mais c'est là que aussi vous me ditent :" non mais tout ce que tu dit c'est faut, c'est des histoire à dormir debout ". Non, un soir alors que j'étais allongé dans mon lit deux places tout chaud avec mes petites chaussettes de panda. Je pris mon téléphone et alla sur les réseaux voir les nouvelles de dernière minutes que j'avais loupé.
Au fil de quelques secondes, je remarqua une publication qui avait plus de milles commentaires et likes. Cette publication parlait de zombie et elle posait la question : " une apocalypse de zombie ce déroule en ce moment que feriez-vous ? " la plupart avait répondu : " depuis le temps que j'attends ça ? ".
Je trouvais cela trop absurde alors je décida d'ignorer et d'éteindre la lumière pour m'endormir quand je sentis un mauvais pressentiment.
Le lendemain je m'étais réveillé comme à chaque fois du pied fermer, je m'étais habillé, coiffé, prendre un petit déjeuner, brossé les dents et mis mon manteau et mes chaussures. Dans la foulé j'avais même pris mon bus tout allait normalement jusqu'en moitié de mâtiné. C'est là que tout à détaillé, je m'en rappelle encore parfaitement comme ci c'était hier. Je regardais par la fenêtre de la salle de cours malgré que je me fasse crier dessus par mon professeur de français. Il faisait un silence paisible quand j'entendis un hurlement d'un groupe d'étudiant installé au bord d'une table dans la cour du jardin de notre lycée : " ah non arrêté ça ! " suivit dans la seconde qui venait un gros craquement d'os et de déchirure de ligament alors que les autres amis de la personne qui se faisait attaquer ne disent plus un mot choqué par la tragédie.

Un monde bien différent des autresOù les histoires vivent. Découvrez maintenant