1° : fin ou commencement ?

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J'étais assise sur ce vieux pont rouillé, plus utiliser depuis des années, j'étais sûre que personne ne passerai et ne me verrai, mes pieds se balancer dans le vide et je comptais l'heure de mon saut. Le vent tapait beaucoup plus fort que d'habitude et si jamais je décoller les mains du bord j'étais sûre qu'il me pousserai lui même et que je tomberais. Mais je rester accrocher voulant sauter de mon plein gré.
À 10 je saute répétais je pour la énième fois.

1
Tout les cris fusèrent dans la maison, le bruit de vaisselle se cassant sur le sol,les pleure de mon petit frère,
Je cru devenir sourde quand plus aucun bruit ne se fit dans la maison mais pourtant ce n'était que le début du cauchemars.

2
Dans ma chambre, il avait franchis la porte quand me mère n'étais pas là, et il se trouvait maintenant dans ma chambre un sourire diabolique au visage. Cet homme me faisait froid dans le dos jamais personne ne m'avais fait aussi peur que lui. À part mes pleure tout était trop calme dans le quartier comme ci tout était prévu, que c'était aujourd'hui mon dernier jour et cette fois personne pourrais venir m'aider. Il ne saisait de me rabâcher les mêmes paroles "tout est de ta faute, si tu avais fermé ta gueule on n'en serai pas là" mais comment voulais vous qu'une gamine de 14 ans se la ferme quand elle voit son beau-père dans les bras d'une autre dans sa maison. Et c'est pour ça qu'il est là, un bruit sourd résonna et ma tête partis seule sur le côté, et je compris il venait encore de me gifler mais cette fois qui sera là pour l'arrêté ? Personne

3
Un an que ma mère fait comme si elle ne voyait rien, les marques sur mes bras, les yeux noirs, les traces rouges autour du coup, ne voit elle vraiment pas tout ce que cet homme me fait quand elle n'est pas là ? Ou alors à t-elle peur elle aussi d'avoir les mêmes si elle dit quoi que ce soit

4
Gouttes après gouttes.
Le sang qui sors de mes bras ne veux pas couler plus vite, pourtant je fais tout pour, j'appuie plus fort encore sur la lame et je me mord la joue, la douleur est si profonde que j'ai l'impression que mon bras me brûle, je retiens mes larmes, pas celle de douleur, celle de dégout envers moi-même. Et ces la que j'entends des pas monté, et je ne réfléchis pas, trop longtemps que ça dure je rapproche la lame de mon poignet et j'appuie fortement et trace un trait. Le sang coule plus vite et bientôt l'eau de mon bain rougis alors je fais pareille de l'autre côté voyant mon sang remplir peu à peu la baignoire dans laquelle je me trouve, et puis plus les pas se rapproche plus ma respiration est lente, bientôt mes yeux se ferment et la dernière chose que j'entends c'est la porte s'ouvrir, il a gagné, j'ai perdu mais maintenant je ne risque plus rien.

5
Les médecins me prenaient pour une folle, ma mère me traiter de menteuse, lui me souriais de victoire, je n'étais pas morte et cela faisait deux semaines que j'étais à l'hôpital après ma deuxième tentative, mais rien ni faisait la première fois ma mère rentrais dans la salle de bain cette fois c'est lui qui m'a emmener.
Ils ne me croyaient pas puisqu'il avait interdit au médecin de regarder mon corps prétendant que j'étais trop jeune pour me faire occulté comme ça. Alors qu'on savait tout deux que ce n'étais que par défaut que les médecins voient ce qu'il me fait.

6
Je ne tentais plus rien, je le laissais faire puisque de toute manière il arrivait toujours à ses fins quoi que je dise quoi que je fasse, tout était contre moi, personne ne me croyais quand je disais qu'il me frappais, pourtant les preuves ne manquait pas, ma mère ne m'adressais plus la parole me répétant que je ne faisais que mentir pour casser son couple, j'avais beau lui mettre mes bras sous le nez, mes jambes, mon corps entier elle ne me croyais pas. Alors je laissais tomber et je me laisser faire sans rien dire et sans jamais pleurer

7
Elle m'avait mise dehors aujourd'hui, avec un sac, et un peu d'argent, ou allais je dormir ? Je n'en savais foutre rien mais j'étais loin de lui et c'est tout ce que je voulais

8
Deux jours étaient passer, j'avais dormis chez une amie mais aujourd'hui j'avais décidé de me reprendre en main, et que cette fois personne ne serai là

9
Pas d'appel, pas de message, comme ci je n'étais pas sa fille, comme si elle ne m'avais pas donner la vie, comme ci je n'avais jamais existé

10
L'heure pour sauter était arrivé

Je pris appuie sur mes bras en regardant le vide et souris, personne ne m'arrêterais cette fois, et je serai enfin libre après deux ans de torture, je balançais encore mes jambes s'entend l'air passer entre elles, je relevais la tête et admirais le ciel pour la dernière fois. C'est dans les moments comme ça que les plus petites chose donne le sourire.
Sentir le vents fouettée mon corps, observé ce ciel noir incrusté de diamant blanc rayonnant toujours plus les un les autres, n'entendre aucun bruit que celui des cliquetis de la rouille sous la force du vents.
Et puis je rabaisser ma tête, balança mes pieds et je sauta pour de bon cette fois.
Mais ce que j'imaginais fus différent, une prise serré mon bras et je ne tombais plus.
Ma tête se releva elle même et quand je vis cette inconnu tenir ma vie par mon bras je ne lui demanda que de me lâcher sous quoi il répondu

"_ je ne sais pas ce qui te pousse à faire ça mais ce n'est pas et ce n'est jamais la solution"

Il m'a relever, et je me suis rassise de la même façon et c'est là que mes larmes au couler, ce qui depuis tellement longtemps ne m'étais jamais arrivé. Cet inconnu n'a pas bougé, n'a rien dit il s'est contenté de me laisser aller. Je ne sais pas ce qui faisait la mais encore une fois on venait de me sauver la vie.
Est ce un message me prouvant que je dois continuer à vivre ?

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⏰ Dernière mise à jour : Jan 26, 2019 ⏰

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L'envie suicidaireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant