Une morsure maudite

Prologue

Le jeune maudit courra le plus loin possible de cette maison qui étais sienne autre fois. Chasser pas sa propre famille adoptive le jeune garçon étais maintenant livrer à lui même, perdue dans ses pensées les plus sombre. Il n'avais pas compris, il ne savais pas qu'il étais dangereux, il ne savais pas qu'il allais souffrir quand la lune pointera le bout de son nez. Mais pour l'instant le Maudit étais pieds nus, corps nu, fuyant dans la pénombre de la forêt, là où son instinct le guidait. La forêt étais cerner de pins énorme ou les épines encore vertes ne touchais pas le sol, leurs troncs robustes ne bougeais pas un centimètre au souffle fort du vent. Mais pas le gamin, encore sous ses 6 ans, frissonnais par le froid hardent de la tempête. Quand le crépuscule fis enfin son apparition dans le ciel ce dernier stoppa sa course folle, une force le poussa à ce mettre a genoux. Son maigre dos craqua sous la pression invisible qui le hantais, il sentais ses propres os se briser pour en devenir autre chose. Ses mains qui serrais la terre froide n'étais que d'énorme pattes poilu acérer de griffes, ses jambes ne voulant plus le laisse marcher sur ses deux pieds devenaient ,sous le craquement sourd des os, de longes pattes arrière. Son corps étais que tâcher d'une épaisse fourrure noir ainsi que son visage, oh son pauvre visage, se déformant pour laisser place à un long museau noir aux crocs maintenant effiler comme des rasoirs. Ses oreilles étaient maintenant dresser sur sa tête et une longues queue balayait le sol faiblement. Il respirait fort et roque, essouffler comme si il avais couru un marathon pendant des mois et failli s'effondrer sous son propre poids.

Il ne comprenait  pas ce qui lui arrivait, il était maintenant transformer en quelques chose qui n'étais pas lui, en un monstre effroyable qui désirait que survivre. Aussitôt il perdit le contrôle absolu de son corps qui grondais, qui frissonnais par sa nouvelle nature, c'est en hurlant à la pleine lune qui se mis à nouveau à courir dans les bois devenus les observateurs et les seules amis de la bête. Malgré sa démarche maladroit le loup noir trouva son propre guide parmi les odeurs sales de la forêt, créant un néant dans sa tête, créant une boule dans sa gorge jusqu'à son estomac.

L'enfant de la lune n'avais plus le même objectif que quand il avais tout le contrôle de lui, maintenant il avait faim. Cherchant de son regard doré de l'eau, de la nourriture, il tomba soudainement sur un bruit qui lui dressa les oreilles bien hautes: des pas. Une part de lui criait de fuir, mais son autre lui voulais tout détruire. Un grognement sourd sorti de sa gorge et alla tête basse vers les bruits incessants d'un animal, il le sentais, il étais tout près. À nouveau sa tête étais remplis de confusion entre l'humain qu'il avais été et la bête qu'il étais maintenant devenu, le fait de tuer si sauvagement le cerf solitaire devant lui le dégoûtais énormément, mais sa bête lui, optait pour le contraire. Surgis de nul part le loup bondit sur l'animal maintenant alerter, plantant d'abord ses griffes dans la chairs de l'animal et ensuite ses croque dans la nuque pour l'achever. Là encore ces deux personnages n'étais pas en accord du fait qu'il avait tuer un cerf, mais sa gueule dégoulinait de salive, son ventre grogna malgré ses protestations. La bête qu'il étais en fis qu'une boucher de ce cerf succulent.

Maintenant Dieu sais ce qu'il en ai devenu de cette âme maudite, se monstre qui va désormais rôder les soirs de pleines lunes, incontrôlable, assoiffer de sang. Il avais tuer des humains cette soirée là, un couple qui profitais de cette chaleureuse nuit de pleine lune pour s'amuser. Il se rappelle avoir ignorer leurs supplices, leurs cris de terreur face à un enfant de 6 ans qui était métamorphoser en un loup presque grand qu'eux. Il les avaient froidement égorger, par l'effroyable cris que la femme avais pousser en l'apercevant, ainsi l'homme qui s'avait retourner trop tard pour lui faire face, aillant quand même terrifier l'animal au point où ils les a déchecter en milles morceaux. Les regrets remplis sa tête, il errait maintenant la forêt, sans maison pour s'abriter le jour, sans nourriture et ni eau.

Il avais malgré lui travailler dur de très longues années pour devenir l'homme robuste et têtu qu'il est aujourd'hui, et la bête dangereuse et puissante qu'est sa moitié les soirs de pleine lune. Il savais malgré lui n'être pas la seule bête dans ce village, il sentais des tas de bêtes comme lui du côté Ouest de la ville. Sa bête noir intérieur se proclamait d'aller voir, de n'être plus seul à découvrir ce qu'il était vraiment, mais il l'a tait assez vite, ne voulant causer encore plus de problèmes qu'il en avait maintenant. C'étais lui l'alpha de sa tête, de son petit monde et son double ne fera rien pour changer sa, il veux juste être maître de lui-même, avoir le contrôle. Il savais que malgré les chaudes journées il avait la capacité à se changer en loup quand bon lui semble, mais la peur de blesser le rongeais les entrailles comme des parasites.

Mais la encore dans cette nuit froide de pleine lune, sa bête noir pris subitement le contrôle de lui, de ses pensée et de ses actions. Allant trop loin vers l'Ouest il rencontra enfin ceux qu'ils redoutaient de voir; ses semblables. D'énormes loups de sa taille, de son agressivité. Mais sa puissance n'égalisait rien contre eux, la bête noir étais bien plus forte que lui, bien plus forte qu'eux. Prenant le contrôle de tout ses faits et gestes cette soirée la. Aillant froidement détruit, tuer dans la misère leur Alpha suprême aucun d'entre eux osaient approcher le Maudit, lui au crocs d'un blanc écarlates, lui aux pattes robustes et lui au cœur chaleureux d'un côté et glacial de l'autre. Son Alpha intérieur pris soudainement tout le contrôle de la meute, avais aider et appris le jours et détruit et tuer la nuit.

- Alpha Ryan vous venez ?, dit un voix roque mais effrayer.
L'alpha t'en qu'à lui rouvrit les yeux après un long retour dans son passé.
- oui j'arrive entend moi dehors Bêta..., il se leva regardant Lucas partir et soupira.
Il boutonna sa chemise et sorti à son tour de la belle petite maison de campagne, leur territoire. Ce qu'il ne savais pas, c'est que quelqu'un en dehors de cette forêt de glace peux lui donner enfin la paix qui désire t'en entre cette bête noir et lui; son âme-soeur.