Ha ! je suis vraiment pathétique. Pathétique et stupide. Le cocktail. Je suis conne d'avoir commencé à te parler. Je suis conne d'être tombée amoureuse. Je suis conne de prolonger et prolonger encore nos conversations et je suis conne de continuer à espérer.
Mais j'arrive pas à m'en empêcher, et c'est ça le problème, au fond. Je me dis tous les jours que peut-être, aujourd'hui, tu m'auras écrit. Sauf que ça me tue, putain. Ça me détruit, parce que chaque fois que je vois que j'ai une notification, j'ai cette boule dans le ventre, cette excitation et cette appréhension au cœur qui me hurlent que peut-être, peut-être, c'est toi qui m'a écrit. Sauf qu'évidemment, les seuls messages que je voudrais avoir n'apparaissent jamais.
Quelle connerie de m'être attachée à toi, vraiment. Je me demande comment j'ai pu être assez conne pour laisser des sentiments apparaître. Moi je comprends pas pourquoi on dit que l'espoir fait vivre. J'ai jamais eu aussi envie de mourir que depuis qu'il me torture.
Darling, dis-moi, tu veux pas quitter ma tête, allez, pour cinq minutes ? S'il te plaît. Juste pour cinq putain de minutes. Ta présence constante en moi... elle ne fait que me rappeler qu'en vrai t'es pas là. Le plus étrange, c'est que j'ai l'impression que tu ne sais même pas que je souffre de ton absence. Et franchement, d'un côté, je crois que j'ai même pas envie que tu le saches.
Je suis sûre que tu n'as jamais réalisé à quel point tu comptais pour moi. Peut-être que t'es comme moi, que t'as aucune confiance en toi et que tu ne crois pas possible le fait qu'on t'aime. Peut-être que tu n'as jamais même imaginé la possibilité que je puisse ressentir plus que de l'amitié pour toi. Ou peut-être que tu t'en es rendu compte.. et que tu t'en fous. Mais ça ne colle tellement pas à ce que tu es... je n'y crois pas. Tu ne le sais pas, et puis c'est tout.
Je voudrais y croire, en tout cas.
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HARD TO LOVE BUT LOVING SO HARD
DiversosT'as apparu dans ma vie comme une étoile filante dans le ciel, et t'étais déjà parti que je réalisais enfin ce que toi comme l'étoile vous étiez : trop rapides, trop éclatants, trop beaux pour être approchés. Brûlants d'un feu qui me consume aujourd...