PDV ExterneTout se déroule en France dans une petite ville du sud. Plus précisément dans un lycée après la fin des cours, dans la salle de classe 205. Dans cette salle, un groupe d'élève entourait une jeune fille qui semblait mal à l'aise. Il n’y avait rien d'amical dans les échanges entre eux et la jeune fille qui essayait de dessiner tranquillement à son bureau. N’en pouvant plus de subir les remontrances des autres. La dénommée Umei essaya de partir, mais le groupe l'empêcha de bouger et la bloqua brusquement à sa table.
Tout ce qu'elle voulait c'est qu’on la laisse tranquillement dessiner. Elle n’avait rien de fait de mal pour s’attirer la colère des autres élèves. Bien qu'elle soit maintenant habituée à subir ce traitement de la part de ses " camarades de classe", elle ne le supportait pas bien pour autant.
- S'il vous plait … J'aimerais vraiment rentrer chez moi vous savez .... dit-elle en sachant que cette phrase serait cependant inutile.
- Tu penses vraiment qu’on va te laisser partir hein ? dit la grande brune avec un regard dégoûté.
- Donc nous disions avant que tu nous interrompes… continua un des garçons du groupe. Montre-nous ton carnet, petite merde ! finit-il en essayant d’arracher le calepin de la victime.
La jeune fille ne voulait pas lâcher son carnet à dessin. Il était précieux à ses yeux. Elle essaya de le garder près d'elle, mais une fille lui prit violemment et l’ouvrit dans un petit ricanement. Umei essaya de se lever pour les empêcher de regarder trop longtemps, mais se fit retenir sur place par l’un des garçons qui se faisait un plaisir de lui serrer les épaules comme des étaux par la même occasion.Les autres membres du groupe se dirigèrent tous vers celle qui tenait le carnet pour regarder à l’intérieur.
- Hey, mais tu dessines tout le temps la même personne ....dit celle qui tenait le carnet en le feuilletant.
- Ça serait ton petit copain ? ricanna l’un des garçons.
- Qui voudrait elle ? pouffa la brune.
Les élèves se mit à arracher les feuilles en ignorant les cries de la jeune victime. Quand ils eurent fini, ils la mirent dans un coin pour la frapper. Ils arrêtèrent une quinzaine de minute plus tard lorsqu’ils en eurent assez. Ils la laissent terriblement amochée dans un coin de la classe.
PDV Umei
J'essayai de bouger, mais chacun de mes muscles étaient douloureux. J'arrivai au final à me déplacer et allai récupérer mon carnet traînant plus loin sur le sol. Je me penchai par la suite pour ramasser quelques dessins qu’ils avaient arraché sans vergogne de mon carnet.
Je pris l’un d’entre eux qui était roulé en boule et le dépliai délicatement, révélant le dessin d'un jeune homme blond aux yeux bleus. Cet homme, c’est link de la célèbre licence du jeux The Legend of Zelda. Je serrai le dessin contre moi.
Je n'en pouvais plus. Depuis l'âge de 7 ans je me faisais harceler l'école. Mes parents et moi même avaient tout essayé, mais rien à faire. Même si je changeais d’école, un nouveau groupe d’élèves venaient toujours me harceler et ça recommençait à chaque fois peu importe où j’allais.
En même temps, il y a plusieurs raisons.
J'arrivai à prendre ma sacoche et mes affaire et montai sur le toit de l'école. Je regardai le soleil se coucher au loin et posai mon sac au sol. Je repris mon carnet et regardai les dessins abîmés. Je pris par la suite mon mp3 vu que mon téléphone avait aussi pris les coup de " mes camarade de classe".
Je mis mes écouteurs avec de petit logo de Triforce et lançai la première musique du cd des 25 ans de Legend of Zelda. La musique me détendait. Je regardai au loin. Je me suis toujours sentie étrangère à ce monde. Premièrement, je suis une enfant adoptée, donc j'ai toujours du mal depuis que je suis au courant. Deuxièmement, j'ai des oreilles pointues. Oui, elles sont pointues un peu comme celles d’un elfe, mais sans être aussi long. Troisièmement, je suis une geek/fan girl hardcore de la licence Zelda. J'ai tous les jeux et les consoles qui va avec The Legend of Zelda. De nombreux de mes vêtement ont une référence au jeux et toutes leur musique se retrouve sur mon mp3.
Dernièrement, je suis totalement introvertie et je passe mon temps à dessiner. Ma mère a essayé à plusieurs reprises de me faire sortir de mon carnet, mais je peux pas. J'ai constamment besoin de dessiner ce que je vois dans ma tête. Je soupire et prit ma tête dans mes mains. Je me mis à pleurer.
Je n’en pouvais plus ! Sur mon corps, on voyait clairement les dégâts de la vie sur moi. Fractures diverses et variées par mes camarades ainsi que des bleus et des ecchymoses. Il avait aussi les cicatrices et les coupures récentes que je me faisais. Mes cheveux châtains étaient coupées court pour que personne ne puisse me les attraper si je fuyais. Je portais des vêtements larges qui cachaient ma maigreur aux yeux de tous. Mes oreilles généralement cachées par des serres tête et des bonnets.
Je regardai encore une fois l'horizon. Je pris finalement ma décision. J'arrachai une page à un de mes cahier de cours, pris mon stylo et écris une lettre. Je laissai le mot sur mon sac. Je pris mon carnet à dessin et ma boite de crayon de dessin. Je mis mon téléphone dans ma poche après avoir lancé ma playlists "Ost twilight princess ". Je passe de l'autre côté de la barrière qui limite le toit du vide. Je regardai au loin. Je pris une grande respiration.
- Après tout mourir sur une musique de zelda n’est pas si mal après tout c’est ce que j’aime le plus....murmurais-je pour me donner un peu de courage.
Je me levai les yeux pour voir le ciel une dernière fois, puis laissai mon corps tomber en arrière. Je voyais ma chute comme si c'était au ralenti.
-Désolée ...mais ...je ne suis pas assez courageuse, soufflais-je au gens que je laissais derrière moi.
Puis ce fut le noir .
Hehehe nouvelles histoires ! ....non sa ressemble pas a mon paradis. J'ai lu d'excellentes reader x link récemment. Donc sa ma donné des idées ! En espérant que sa vous plaise !
Ah et tres important Correction et relecture par Didiaval
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mon vrai moi ( zelda )
FanfictionUmei a toujours su qu'elle était différente. Elle voit des choses invisibles aux yeux de la plupart des gens... et aussi elle ne ressemble à personne. Elle n'en pouvait plus de cette vie où elle était exclue des autres et où on la considérait comme...