𝗠𝗢𝗢𝗡𝗟𝗜𝗚𝗛𝗧

𝑽𝒊𝒅𝒆

La pluie tombait à flots. Sous ce torrent d'eau, une jeune femme s'y trouvait, à travers la pluie, des larmes coulait sur ses joues. Personne ne le remarquait, même pas le personnes avec elle. Tous partait s'abriter, elle non. Elle continuer de éré sans but, ronger par son mal, toujours les larmes sur le visages. Que lui arrivait t'il? Elle venait de le perdre. Celui qu'elle aimait temps, venait de la laissé. Non il n'etais pas partis ailleurs, ou quelque chose de ce genre. Non il était partis. Pour toujours, et à jamais. Il avait été poignardé. Pourquoi? Parce que l'Homme est Jaloux de tout et n'importe quoi. L'un de ses amis, jaloux de sa popularité, de ce qu'il était, de son argent, de sa famille, l'avait tué sans état d'ames. Pour le simple plaisir. Et même si il était derrière les Barreaux, LUI ne reviendra jamais. Ce vide immense ne sera jamais comblé pour elle et ses proches, pour tous ceux qui l'aimais. Prendre une vie est plus qu'un crime, c'est plus qu'horrible de faire cela, surtout par jalousie. Prendre la vie de quelqu'un c'est renoncé à son humanité, et par conséquent, à sa propre vie.

Puis un mois plus tard, le vide grandissait. Encore et toujours, sans s'arrêter. Puis vint les funérailles, qui faisait grandir le vide encore plus. Costume noir, discours triste, larmes. Tous cela étais présent. La jeune fille toujours la ne disait rien. Elle ne parlait plus, ne mangeait presque plus, ne faisait plus rien. Rongée par la haine, et, par une tristesse inconsolable, elle écoutait. Elle cela la rangeait encore plus. Elle se sentait coupable. Coupable de quelques chose qu'elle n'avait pas fait. Les mois passèrent, puis les années, pour cette jeune fille, le vide la rangeait toujours, à force de plus rien faire, elle fût amenée à l'hôpital. Étant incapable de protester, elle ne dit rien. Restant la allongé, à rien faire. Puis un jour elle se leva, et partis. Elle avait laissé une lettre parlant de ce qu'elle ressentais et ce qu'elle comptais faire. Elle se rendit sur une falaise, au bord de la mère, et laissa à nouveau ses larmes coulée. Puis prononça quelques mots, que personne ne pouvait entendre, après tous ce temps à ne rien dire.

"J'arrive Papa."

Et elle sauta, et partis à son tour.