Ndeye fatou : la douleur dans l'âme

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Mon nom est Ndeye fatou ! Je vous donnerais des détails sur moi tout au long de la chronique , je tiens à dire que ce sont des faits réels racontés dans les moindres détails..

Mon histoire n'est pas des plus simples , j'en ai traverser des choses pour en arriver là où j'en suis actuellement vous comprendrez plus tard pourquoi je vous dis ça.. Mon histoire n'est pas ornée de paillettes et de bling bling genre une fille bourrée de fric , qui s'habille avec des vêtements qui coûtent la peau des fesses , un gars qui fait tomber toutes les filles avec des abdos de rêves , un sourire qui tue tout ça c'est trop le cliché de la perfection ! La souffrance je la connais depuis mon plus bas âge , j'ai pas grandi avec ma mère et pourtant elle est bel et bien en vie mais j'ai jamais su pourquoi elle m'a abandonner à mon triste sort du coup j'ai dû "vivre" avec mon père qui lui était été assez aisé étant expert comptable a l'époque sa situation financière était plus que stable ! J'ai mis le vivre entre guillemets car on vivait pas réellement chez lui , mais dans la maison familiale de ma grand-mère une sorcière qui a su séparer mes parents en un temps trois mouvements ! La maison de mon père sis à la Sicap (un quartier assez aisé de la capitale dakaroise) , nous demeurions à "Niarry Tally" un quartier populaire ! Vous vous demandez pourquoi j'arrête pas de dire nous ? Eh bien je vivais avec mes trois demi-frères et sœurs (un garçon : Malik et deux sœurs Fatou(la plus grande) et Maguette (ma petite sœur chérie ,mon bijou mon trésor je l'aime énormément ma petite sœur) .. Et voilà , on vivait le calvaire fin je dis on mais c'était juste moi en grande partie vu que j'étais là sans ma mère et personne pour me défendre des coups que je recevais quand j'avais de mauvaises notes , personne pour me gâter ou me chouchouter , personne pour m'apprendre les règles de la vie ou me fixer mes limites en gros j'étais froide rebelle et distante en vers tout le monde car je manquais juste d'éducation ! J'ai vécu ce calvaire jusqu'en 1993 l'année où je devais passé mon bac , entre temps le frère de ma mère était revenu d'Espagne avec une très bonne situation financière très alléchante il avait acheté une maison à la Sicap et j'allais enfin vivre avec ma mère ! C'est pas comme si je n'avais jamais vécu avec elle , j'allais chez elle à chaque vacances d'été ! Ma mère était le rêve des hommes , très fine avec un minois impeccable , des formes à damné un saint et pour couronné le tout elle était très claire de peau à cet époque les produits éclaircissants n'existaient quasiment pas et elle était claire grâce à ses origines arabes donc elle ne passait JAMAIS inaperçue en plus de sa gentillesse légendaire donc je m'en fais pas trop , le seul hic c'est que je lui en voulait à mort de pas m'avoir garder avec elle durant toutes ses années ! On allait habité avec ma grande sœur Fatou et mon frère Mactar (mes demi-frères de même mère , j'étais la cadette de ma maman)eux aussi vivaient avec leur père a Thiès ! On devait tous faire la terminale cette année , je devais changer d'école vu mon déménagement ! Ma vie allait changer ça j'en était plus que sûre mais pas à ce point ..

   À suivre ..

Ndeye fatou : la douleur dans l'âme Où les histoires vivent. Découvrez maintenant