Chapitre 13

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Le cour était à présent terminer et je prenais tout mon temps pour ramasser mes choses sur mon bureau. Les autres étudiants sont partis, ce n'ai pas comme si j'avais des amis qui allait m'attendre. Quand la classe fut vide à l'exception de Rémus et moi, celui-ci s'approchait de moi.

Rémus : Ça va M ?

Moi : Oui...juste que c'est un peu étrange...

Rémus : De quoi ?

Moi : Du fait de parler de vive voix avec toi au lieu de s'envoyer des messages...

Rémus : Pour moi aussi...mais il le fallait bien un jour ou l'autre...

Moi : Mais il faut aussi penser au conséquence de tour ceci...

Rémus : J'ai essayé de ne pas le ressentir quand j'ai su...mais j'en ai été incapable...j'espérais que si nous cessions nos messages ça partirait mais c'était tout le contraire...Je ne pensais que plus à toi...

Je laissais un petit rire s'échapper de mes lèvres.

Moi : Tu n'ai pas le seul qui a essayé...

Rémus : J'aime bien ton rire dommage qu'on ne l'entend pas souvent...

Moi : Il me faut être ainsi pour ma mission...

Rémus : Mais pourquoi ? Quelle mission doit t'opprimer ainsi ?

Moi : J'ai pas le droit d'en parler Rémus...

Rémus : Et si tu demandais à se que tu ne l'aille plus ou que cette personne te laisse vivre...

Moi : J'ai essayée...Je lui en n'ai parler mais il reste têtu sur ce sujet...J'ai mal d'être constamment dans l'ombre...de ne pas avoir le droit à une vie ordinaire de jeune fille...mais ma mission est très importante et je ne peux pas la laisser tomber...Cela sauverait bien des gens...dont mon petit frère...

Rémus : Je trouve ça quand même injuste que l'ont demande autant d'une jeune fille de 17 ans...

Moi : Je ne peux rien n'y faire R.L...c'est ainsi...et je ne peux pas me permettre de laisser des gens entrer dans ma vie...jamais je n'aurais du continuer à t'écrire...j'aurais dû m'abstenir et poursuivre se que je faisais...

Rémus : Ne dit pas ça M...tu mérite autant qu'une autre personne d'être aimée à ta juste valeur...d'être à la lumière du jour...Je suis heureux que nous avons poursuivit nos messages...À chaque fois que j'avais un message de toi, j'étais très heureux...Je ne veux pas perdre ce que nous avons tous les deux...

Moi : Rémus il faut penser que ce n'ai pas que nous...Il y a d'autres gens que cela concerne...Je ne peux pas me permettre d'être insouciante...Avant que l'ont se parle, j'arrivais à gérer tour ceci...de ne rien ressentir...Ça fait 4 ans que c'est ainsi et je m'y était habituée...mais seulement voilà que j'ai eu un défi, j'ai continuée à te parler...Je suis tombée amoureuse et je ne peux même pas profiter de ce sentiment car je dois accomplir ma tâche...

Je voyais son regard triste et ça me faisait un pincement au coeur. Je n'aimais pas le voir ainsi, voir pas du tout même. Sans que je ne réfléchisse, j'ai franchis la distance entre nous et je l'ai pris dans mes bras. Je me suis hisser sur le bout de mes orteils pour nicher mon visage dans son cou, mes mains autour de sa nuque. Rémus mit ses mains dans mon dos et son visage étsit enfouie dans ma chevelure châtaine rousse.

À ce moment-là précis, je me sentais bien et j'en n'oubliait que je ne devais pas me laisser aller. Ne pas me laisser submerger par mes émotions que j'avais cachée toutes ces années passées. Au bout de plusieurs longues minutes, je me reculais un peu. Mais avant que je n'aille le temps de mettre suffisamment de distance entre nous, Rémus me tirait vers lui et il plaquait ses lèvres contre les miennes. Mon coeur battait à cent à l'heure, mon souffle étsit coupée et je fermais les yeux pour savourer ce baiser. J'entre ouvris mes lèvres légèrement porte répondre à son baiser. Mes mains allaient se perdre dans ses cheveux et le baiser s'intensifiait. S'est à bout de souffle, que nos lèvres s'écartait. Mon regard océan se logeait dans ses beaux yeux vert. J'en oubliais le temps, le lieu et tout le reste. Mon corps étsit toujours collée contre le sien, nos front se touchaient et je n'osais pas bouger. En faite, je ne voulais pas, je voulais rester ainsi pour toujours et de ressentir ses papillons dans le creux de mon ventre et cette chaleur douce qui s'était logée dans mon coeur.

PDV RÉMUS

Tout le cour, je n'ai pas été des plus concentrée. J'avais attendu la fin de celle-ci pour parler de vive voix avec Myriam. À la fin du cour quand nous avons parlés, j'ai eu un pincement au coeur. Elle pensait qu'à moi en refusant que nous soyons ensemble. Elle pensait à sa mission qui allait selon elle sauver bien des vies dont celle de la seule famille qui lui reste toujours en vie. J'étais égoïste de vouloir l'avoir avec moi au lieu de la laisser faire cette mission bénéfique. Mais je ne pouvais pas me résoudre à la perdre à cause de cela. Elle m'a alors dit qu'elle n'aurait pas dû poursuivre les messages avec moi, qu'elle n'aurait alors donc pas mis sa mission en péril à cause de ses sentiments envers moi. Cela me fit mal, c'est comme si elle le regrettait. Elle du lire la tristesse dans mon regard car elle s'approchait de moi et elle me prit tout contre elle. Elle nichait son visage dans mon cou et mon visage se retrouvait dans ses cheveux. Son parfum était doux, elle sentait la rose. Cela devait venir de son shampoing qu'elle utilisait. Quand elle s'écartait un peu de moi, je ne voulais pas qu'elle s'éloigne, je voulais ressentir encore sa chaleur. Je l'attirait alors vers moi et je plaquais mes lèvres contre les siennes. Celle-ci étsit douce, fine et chaleureuse. Elle entre ouvrit ses lèvres pour répondre à mon baiser, se qui me rendit des plus heureux. J'en oubliais que nous étions dans ma salle de classe où il serait facile de nous voir. Quand nos lèvres se séparait, nous étions tous deux à bout de souffle. Je déposais mon front contre le sien et nous nous regardions dans les yeux. Ses magnifiques yeux bleus océans, brillant de milliard d'étoile.

SMS M.P & R.L {TERMINÉ}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant