17 novembre 2006- Olivia.

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17 novembre 2006, Paris.

Bonjour Castiel,

Je ne sais pas si tu connais la politesse, mais tu devrais prendre exemple sur moi. Tu en a grandement besoin.

As-tu passé de bonnes vacances ? Je ne l'espère GUÈRE.

Comment peut-on parler de suicide comme si rien n'était important ? Comment peut-on être aussi con ?! N'as-tu donc aucune conscience ?

As-tu si peur de raconter ta vie, et tes passions aussi ennuyeuses ? Nous allons sûrement parler pour rien jusqu'à la fin de l'année scolaire. J'en pleure d'avance d'user des feuilles et l'encre pour toi. Pour un rien.

Tu seras heureux d'apprendre que si ce n'est plus moi ton correspondant, tu auras une autre personne. Peut-être un professeur ! Ah ah, j'aimerai bien voire la tête de ce dernier en te lisant. Le pauvre.

C'est vrai, je reconnais mon tort. Mais je constate, dans ce cas, que ce que j'ai dit est vrai. Tu es pire qu'un idiot total. Un crétin. Et encore, je pèse mes mots.

Bonne continuation,

Olivia.

A travers, des lettres...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant