Chaque nuit s'est le même rêve...
Je marche dans la rue, les yeux rivés vers le sol. Le trottoir devant moi disparaît, petit à petit. Je continue à marcher sur le reste de trottoir devant moi. Mais rapidement j'arrive au bout. Je relève la tête et vois qu'il n'y a pas que le troittoir qui disparait... tout le reste du paysage se démariétalise à son tour, je ne bouge pas et reste figé face à ce paysage vide. Vais-je disparaître moi aussi ? Me dématariéliser comme le reste de ce monde ? Je regarde autour de moi, du blanc a perte de vue... Alors s'est ça la fin ? Du blanc ?! Des courants d'air froid parcour mon corp... J'ai froid; il fait tellement froid ici. J'ai voulu me frotter les mains pour me réchauffer, mais rien. C'est comme si mon corp ne m'obéissait plus !! J'ai réessayé mais rien à faire, mes doigt ne bougeaient plus, mes bras ne bougeaient plus; mon corp entier ne bougeait plus !! Un sentiment de panique m'envahie. Cela ne dura pas... rapidement ce sentiment se transforma en étonnement quand une porte apparut devant moi. Elle était entièrement noir, seule la poignet était rouge, une sorte de pendentif y était acroché. De loin je ne le voyais pas très bien; mais je pouvais distinguer que le pendentif était divisé en deux partie. Une arrondie, et l'autre un peu plus carré. J'eu a peine fini de l'observer, que mes jambes se mirent à marcher en ça direction. Je ne lutta pas contre l'esprit qui avait pris possession d'elles. Au contraire moi aussi je voulais la voir de plus près. Après une dizaines de pas environs, nous arrivons devant cette porte si mystérieuse... de près je pouvait voir le fameux pendentif accroché à la poignet, s'était en fait un colier, a moitié noir et a moitié rouge. Ma main se posa sur la poignet, et la tourna. La porte s'ouvrie dans un horrible gricement, et laissa une lumière doré s'est échapper. Mais cela ne dura pas, rapidement des spirales noires se sont incrusté dans la lumière. Et des voix a chaque fois différente se mirent a crier "Viens". Je ne bougeais pas, mais l'autre présence voulais y entrer. Mais je refusais, et luttais pour éviter qu'elle jette mon corp (et mon esprit par le même ocasion) dans ce portail. Quand j'entendit cette voix, celle de...
D'un coup tout bascula, je lachais prise et mon corp se jetta dans le portail. D'abord je me senti bien, j'avais l'impression de flotter dans les airs, s'étais très agréable. Puis j'atéri sur une surface molle. J'ouvre les yeux, ciel bleu et sol blanc a perte de vue. S'en savoir pourquoi je me mit à marcher. Je me rappella que désormait se n'était plus moi qui controlait mon corp. Un grincement cinistre me sorti de mes pensées. Je réussi a tourner la tête pour voir ce qui passait : la porte avait disparut. Quelques secondes après l'autre présence avait repris le controle je me remit donc a marcher. Tout droit, la tête haute, toujour à la même cadence. Au bout de quelques longues minutes, je vis quelqu'un au loin. Serais-ce ? Sans vraiment comprendre pourquoi, mes jambes se mirent a courrir. Papa serais-ce toi ?
Plus je m'approchait de cette personne, plus je comprenais que cette personne n'était pas mon père. S'était un jeune garçon, s'est cheveux étais couvert de reflets argentées, ses yeux était cachées par de larges lunettes rouges sang, il était vétu de noir de la tête aux pied, il avait la peau très pale et pour finir un sourir moqueur ornait sa bouche... Je continuait de courir en ça direction, le vent chatouillait mes oreilles en carressent mes cheveux, cette sentation, je ne l'avais pas ressenti depuis que; je compris que j'avais repris possession de mon corp ! De l'adrélaline coulait dans veines, je resentais les battements de mon coeur qui tambourinait contre ma poitrine. J'avais un point de côte, mais j'étais si heureuse d'avoir enfin repris le contrôle de mon corp que je ne rensentais aucune douleur. Je finis ma course devant le jeune homme. De près je vis quelque détails qui m'avait échaper, sur sa chemise noir il y avait un badge surlequel il y avait inscrit "Corantin" j'en déduit que s'était son nom. En plus d'avoir un sourire moqueur et la peau aussi pale qu'une feuilles blanche, Corentin avait les joues couvertes de taches de rousseurs ainsi que des cils noir très fin soigneusement épiler. J'était a bout de souffle, a un point ou rester debout m'était littéralement impossible. J'étais donc a genoux devant Corantin, essayant de reprendre mon souffle. Je mit ma main sur ma poitrine (boum-boum boum-boum boum-boum) mon coeur battait fort, tellement fort que je me demendais si il n'aillait pas sortir de ma poitrine. Corentin se baissa a ma hauteur, de près il sentais le chewgum a la fraise, je vis qu'il mangeait qulque chose, surement un chewgum (ça expliquerait son odeur) il me dit d'un ton sec 《 Debout bébé, on a du chemin a faire .》Je pense que si je n'avais pas été a bout de soufle, je lui aurait surement mit une baffe; je déteste qu'on m'appelle bébé; je n'en suis pas un !! Corentin se relève et ce met a marcher vers le sud, les mains dans les poches. Je reprend une dernière fois mon souffle avent de me relever. Je le suivi, avec difficulté, faut dire que Corentin avence rapidement. Nous avons marcher jusqu'a un temple. Il ressemblait aux temple romains qu'on voit dans les livres d'histoire, colonnes sur les côter, toit triangulaire et marches pour accéder a l'entré. Nous gravonts les marche avant d'accéder a l'entrée, deux grande portes en or avec des gravures argenté. Les portes souvrirent a notre arriver. Et nous entrons dans ce temple, passant par des dizaines de salles plus luxieuse les une des autres, or, argent, marbre, chacunes de pièces en contenait, que ce soit sur le sol ou même au plafond. Il y en avait partout. Après avoir donc traversé plusieur pièce nous nous sommes retrouvé devant un grand jardin, au coeur de la maison. Corentin s'arrêta. Il se tourna vers moi 《Je m'arrête ici ma belle (en l'entendant m'appeller ainsi je me retiens de lui foutre une grosse baffe, de toute façon il est trop loin) .Toi tu vas bien gentiment continuer tout droit ! Quand tu l'as verra, pense à t'agenouiller, je n'ai pas envie que tu meure aujourd'hui... 》 il avait dit ça avec un sourire moqueur, Corentin me dégoutait avec sa façon de s'exprimer et son sourire... berk ! Il s'avença en direction de la sortie. Puis soudain s'arrêta net, avent de se retourner pour ajouter 《Au fait, bonne chance bébé !》 il sourit encore, il devait surement être fier de m'avoir draguer. Quel connard pensais-je. Il se retourna pour quitter définitivement la pièce, enfin ! Je fis se qu'il m'avait ordoner, je m'avencie dans ce jardin, il y avait avait quelque pommiers et sur le côter on pouvait distinguer un banc surlequel quelqu'un était assis. Je me suis donc résignié a avencez vers ce banc, la tête remplie de question. J'avençais doucement dans l'herbe quand je la vis ma première émotions fut l'étonnement.
L'étonnement de voire un ange assis là juste devant moi. S'était une jeune femme aux long cheveux doré, un diadème en diamant ornait son fron, sa peau était aussi pâle que la neige et de grands yeux verts émeraudes embélissait son visage, une longue robe en dentelle couvrait ses formes, et ces doigts longs et fins étaient couvèrent d'un vernit blanc. Quelques secondes après mon étonnement mon premier réflexe fut de m'agenouiller comme Corentin me l'avait demandé. Elle détourna son regard de la rose qu'elle tennait entre ses doigts pour me regarder, elle répondit à mon agenouillement par un hochement de tête. Elle se leva et me fit signe de faire de même. Je me relevis à mon tour, elle savença avec grâce jusqu'à moi. Elle se pencha sur moi (je ne bougeais pas, s'est comme si on m'avait ensorceler je ne pouvais, nis bouger, nis parler, nis même respirer ! S'est du moins l'impression que j'avais). Elle me prit le menton avec ses doigts fin, particulièrement froid. Elle se mit à pencher ma tête dans tout les sens, à gauche puis à droite en passent par le haut, puis en finissant par le bas; tout en marmonant des mots incompréhensibles. Puis s'écria 《 Oui tu ressemble bien à l'Éris qu'on m'avait décris. Tu t'appelle bien Éris s'est ça ?
-Oui, répondis-je embarassée qu'elle sache mon nom et moi pas le sien.
-Tu ne me demande pas le mien ?
-Euh... si, bien sûr. Comment vous appellez-vous ?
-Je m'appelle Angel et je suis la reine du royaume des anges, que vous humains appeller plus comunément "paradis" !
-Çà le paradis ?! Mais il n'y a même pas d'ange ! Énervé Angel me reprit le menton.
-Faux ! J'ai demender aux anges de se cacher quelques heures avant ta venue. Les anges doivent éviter tout contact avec les humains. Quoique tu n'est pas humaine. Elle lâcha mon menton et recula un peu. En tout cas j'en suis une (de longue ailes blanches s'élevaient de son dos. Elle s'éleva à quelques centimètres du sol). D'ange ! S'écria-t-elle, avant de redescendre. Et bientôt toi aussi tu nous rejoindras (son ton avait changé, sa voix se faisait plus grave).
-Moi ?
-Oui ! Un courant d'air froid envahi le jardin, s'est là que j'ai réalisé que toutes les plantes autour de nous étais fanées et que d'énormes nuages noirs commençais à charger le ciel. BIENTÔT (son tein rose pâle moirci, ses yeux rougirent, ses cheveux et ses ongle noircirent eux aussi) TU NOUS (de ces ongles noirs pointu à présent elle me pris le menton et me le pinça le plus fort possible) REJOINDRAS !!!!!!! 》 J'ai ouvert les yeux, ma chambre, mon lit.
Ce n'était qu'un rêve, le même rêve depuis 2 mois.
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Angel
ParanormalÉris et une adolescente tourmentée entre ses cauchemar et la réalitée qui est que sa mère veut absolument la transformer en ange comme elle, sans oublier qu'elle n'a jamais connu son père. Elle ne sait plus où donner de la tête, écouter sa mère qui...