Chapitre 1 tiiiiin

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Nous étions dans le noir avec une simple bougies pour éclairer. Les ombres dansaient autour de nous créant des formes. Nous étions sur un lit, un lit d'hôpital. Nous étions rentré dans un hôpital inhabité depuis plusieurs années à vu d'oeil, nous ne connaissons rien de cet endroit. Nous devions fuir à ces soi-disant force de l'ordre et le seul chemin possible était évidemment celui le plus effrayant. Quoiqu'il en soit nous serons en sécurité au moins pour la nuit car nous les avions vu prendre un autre chemin. C'était à la fois un soulagement de leur échapper mais aussi c'était angoissant de devoir rester ici pour la nuit. Cette endroit était effrayant, les murs délabré donnait l'impression qu'il crié de souffrance et le sol rempli de trou et d'objets cassé laissaient penser qu'un massacre avait eu lieu autrefois. Et encore c'était bien pire dans le noir total avec pour seul lumière une bougie créant des monstres effrayant avec ses ombres danseuses. Qui sait ce qu'on peut imaginer comme massacre dans un tel endroit?

La vie de mon amie était bien plus importante que la mienne à mes yeux, même si l'humaine que je suis à bien peur de mourir. Celle-ci me dévisageât devinant que j'avais de grand mots à prononcer.
-Qu'est ce que tu as encore ?
-Tient, prend ça et promet de la garder aussi longtemps que tu pourras.
Je lui tendi une montre à gousset, pas si montre que ça d'ailleurs car elle ne fonctionne plus. Cette montre à gousset contenait une carte précieuse, la seule qui existe en ce monde. Celle-ci est bien le trésor que tente de récupérer ce gouvernement qui a donné ordre aux soit disant force de l'ordre de nous poursuivre... Tch... quel trahison ignoble de leur part.
Mirana regarda la montre à gousset douteuse et émerveillé. Cette situation me stresse, je lui pris brutalement les mains cachant la montre à gousset affin qu'elle me regarde. J'insistais:
-Promet de ne jamais t'en séparé et de la donné à qui lui reviendra.
-D'accord, je te promet... Mais pourquoi ça ? On est sensé le faire ensemble !
Je la regarde avec tristesse j'avais peur de la perdre et elle avait peur de me perdre. A nous deux nous avions vu nos famille disparaître et nous sommes devenus notre famille.
-Si jamais... soufflais-je.
-Il n'y a pas de si ! Je pourrais très bien le faire moi aussi! Écoute nous avons un avantage sur ces gardes, il faut donc trouver un plan pour continuer à les semer. Il viendront ici demain à coup sûr donc il faudra qu'on parte avons eux sans les croiser.
-Mais...
-Y a pas de mais! Pour l'instant on est toute les deux en vie alors ne te concentre pas sur ça !
-OK. T'as raison !
Je ne sais pas trop quelle idée je dois me faire de ce monde, je ne sais pas ce qui m'attend dans l'autre monde d'ailleurs. Mais je lui fais entièrement confiance. La vie est trop compliqué pour s'autoriser à ignorer ses amis les plus fidèle. Je sortie la carte du pays, on se pencha dessus pour chercher les sortie les plus discrète.
-Nous sommes ici je crois. Me dit Mirana en indiquant un point de la carte.
C'était assez compliqué de voir avec une simple bougies pour éclairer.
-Peut-être qu'il y a des sous-sol ici? Si c'est le cas on pourrait les utiliser pour s'échapper.
-Tu as raison il faudrait fouiller cet hôpital, mais nous n'iront pas loin avec cette lumière.
Je regarde la bougie en réfléchissant, en cette nuit la lumière était notre seul handicap.
-Peut-être qu'on peut trouver des lampes torches ici?
Sur un accord commun nous avons pris la bougie et commencions d'abord à rechercher une lampe dans cette pièce. Tiroirs, table de chevet, il n'y avait presque rien dans cette chambre d'hôpital. Comme si nous pensions à la même chose Mirana poussa un soupir et se tourna vers moi.
-On perd notre temps, on trouvera rien ici il faut chercher dans d'autre pièce.
Je regardais la porte avec terreur, puis me résignais à l'ouvrir. Nous n'avions pas vraiment le choix.
-Reste avec moi il faut pas qu'on se sépare.
-Tu crois quoi ? Que je m'enfuirais dès que tu auras le dos tourné ? Moi aussi je veux pas qu'on se perde.
Dans le silence seul nos pas et nos respiration bercé nos peur.
Dans ce genre de lieu c'est plutôt l'imagination qui fait peur; on crée de notre respiration celle d'un monstre a nos oreilles ou de nos pas ceux d'un tuer en série qui nous suit. Mais la peur est bien trop forte. Même avec ces pensées je ne peux m'empêcher d'avoir peur.
Alors c'est dans cette peur qu'on avança toute deux, côte à côte. Nous fouillons dans toute les salles où nous pouvons aller car certaines était condamné par je suppose des meubles. En tout cas tous ces objets fracasser au sol nous faisait avancer doucement de plus nous n'y voyons rien et il nous arrivait souvent de trébucher. Un peu plus loin nous trouvons enfin une lampe torches mais pas dans une chambre plutôt dans une sorte de cantine il y avait plein de table et chaise et un accès à la cuisine. La lampe se trouvait par terre au pied d'un ascenseur. A vrai dire on avaient pas fait exprès de la trouver, j'ai juste trébuché dessus et allumé par dessus le coup.
Mirana pris la lampe et balaya la cantine du regard. Soudain une sorte d'éclair apparue; une plaque en or était incrusté dans le mur commun à la cantine et la cuisine. On s'y approcha afin de lire ce qui y était inscrit:
-Hôpital psychiatrique Rose Clatson, Snt Genèsse, 1953.
-1953? Ça date, on est en 2146! M'exclamais-je
-Hôpital psychiatrique... ça fout la frousse... depuis quand cet endroit à était abandonné ?
-Je sent qu'on va se plaire ici... Bon c'est pas tout mais il faut qu'on cherche une sortie pour demain!
-Hors de question je veux partir mtn ! Je ne pourrai, de toute façon, pas m'endormir ici... en plus ça nous fera un avantage; pas besoin de chercher un sous sol ou autre.
-Tu as raison moi non plus je n'arrivais pas à dormir ici, mais on ne peut pas partir comme ça... Et si ont croisaient les gardes ? En plus on est toute les deux crevés.
-Ça ne risque pas ont est arrivé il y a une heure et quart, ici où il n'y a qu'une cachette et eux sont partis vers les villages inférieur là où plusieurs villageois nous auraient cachés volontiers.
-D'accord allons chercher nos affaires!
-Si ont ne se perds pas...

Nous nous sommes alors mise à la recherche de la chambre où nous avions trouvé refuge.
-Ah la voilà ! Fis-je soulagé de bientôt partir.
-Tu crois ?
Mirana me suivit dans la chambre. Je fut alors pétrifiée de terreur. Nos sacs n'étaient plus là.

L'histoire [En Pause]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant