Un été presque parfait [En Correction]

Chapitre 1: Départ ✔

[Chapitre corrigé, signalez moi s'il y a encore des fautes svp, bonne lecture]

L'été est surement la période que j'ai le plus attendu cette année. Pour la première fois de ma vie, je vais partir avec seulement ma meilleure amie. Le soleil, la plage et des activités en colonie de vacances. Que demander de plus ?

Le sourire au lèvres, je passe la porte de ma maison que je me précipite dans ma chambre. Valise à la main, je me plante devant mon dressing. J'en sors tous mes short et t-shirts. Ma valise se remplie au fur et à mesure que j'y met tout ce dont je pourrais avoir besoin. L'excitation monte en moi à l'idée que demain sera le début de ces vacances que j'ai tant attendu.
Celà fait maintenant une heure que je prépare ma valise. Je la ferme enfin et m'afale sur mon lit, un sourire béat aux lèvre. Je reçois un message d'Ili, me signifiant qu'elle a hâte d'être à demain. Nous bavardons pendant quelque temps avant que je n'aille manger.

Ma mère a insister pour que l'on dîne ensemble ce soir. J'englouti les frites dans mon assiette alors que mes parents tente de me faire la conversation. Ils vont me manquer pendant ces vacances mais rien ne saurais me faire changer d'avis.
Je finis rapidement de manger et me dépêche d'aller me coucher.

À huit heure le lendemain, je me retrouve à dire au revoir à mes parents en compagnie de ma meilleure amie.

_ Au revoir maman je t'aime. Je chuchote en prenant ma mère dans mes bras.

Nous nous retournons et passons la douane alors que nos parents continuent de nous faire des signes. Je traîne ma valise de l'autre côté du portique, Ili à ma suite. Nous entrons dans l'avions plusieurs minutes plus tard.
Je pose ma tête contre le hublot et me demande comment sera la troisième personne de notre ranger.
Un brun qui semble avoir le même âge que nous s'assoit et nous souris.

_ Salut. Lui souris en retour Ili. Je m'appelle Ili et elle c'est Layla.

_ Matt, enchanté ! Il lui tend la main et Ili s'empresse de la saisir.

Je les laisse à leur conversation et met mes écouteur. Ili est toujours très sociable contrairement à moi, il m'arrive de l'envier pour ça parfois. Après quelques heures de vols, je sens le sommeil m'emporter.
Je me réveille en me sentant secoué. J'ouvre difficilement les yeux et constate par le hublot que l'avion a atterri.

_ Allé réveillé toi ! M'incite Ili avec un énorme sourire.

Dans l'avion, il ne restait que des adolescents, vrai semblablement ce qui allaient en colo'. Et de toute évidence je n'était pas la seule à venir de me réveiller. Nous entendîmes tous le moniteurs nous demander de rester assis quelques instant. Je ne savais même pas qu'un moniteur avait fait le voyage avec nous, mais ça me semble assez logique enfaite, vu le risque qu'on se perde dans un aussi grand aéroport que celui-ci.

Quand je vis que dehors il faisait nuit, je regardai mon téléphone qui affichait 11h37, je l'avais déjà adapté aux fuseaux horaires de Floride durant le voyage.

Ili et Matt ont l'air plus proches qu'au moment où je me suis endormie, ils ont sûrement parlé pendant tout le voyage. C'est sûr que ça rapproche.

Après dix minutes le moniteur vient enfin nous dire de descendre, ce qui me rend très heureuse, rien que l'idée de marcher sur le sol de Floride, que des centaines de personne rêve de voir c'est juste.... fantastique.
Nous sortons tous de l'avion, et allons chercher nos valises.

Je vois la mienne sur le tapis roulant et essaye de la prendre. Je crois que je devrais arrêter de prendre une tonne d'affaire à chaque fois que je pars en vacances... Je tire de toutes mes forces pour la faire descendre, et elle me fait malheureusement trébucher et bousculer une personne derrière moi.

Je me retourne et me retrouve face à un garçon bien plus grand. Me dépassant d'au moins une tête, je relève la tête pour le regarder en face. Mon regard percute ses yeux bleus étincelants. J'ouvre la bouche mais les mots me manque.
Quelle idiote je fais ! Je dois m'excuser mais je ne suis plus vraiment sure de savoir parler. Son regard m'a totalement captivé, arraché à la réalité.