C'était un lundi comme les autres, madame de Millot, ma voisine descendais les escaliers en bois de l'appartement afin d'aller chercher son pain chez la boulangère d'en face que je trouvais guère bon, du à sa croûte trop farineuse et molle. Enfin il fallait que je me lève de mon lit. Il était 9h36 et j'étais en retard à mon travail, je pris alors ma chemise et pantalon que j'avais mis le jour dernier chez Matthieu et je courus les clés à la main et mon sac à dos à moitié ouvert sur les épaules. Une fois devant la porte de l'atelier, j'imaginais déjà la tête de mon patron et le tas de dossier à remplir pour me punir de mes fautes habituels. Cependant la porte était fermée et après de multiples questions je compris enfin que j'avais oublié le décalage horaire d'hier. J'attendais alors l'heure prochaine assis sur le trottoir luisant et brûlant sous la chaleur du soleil. Je regardais les passants courant tous dans la même direction accompagné de leur sac de travail à la main ou sur le dos, essuyant les gouttes de sueurs sur leur front ou en s'arrosant de leurs bouteilles d'eau, à la recherche d'un zeste de fraîcheur.
Je remarquais une femme non loin de la rue du restaurant de Pierre, vêtue d'une robe de soie bleu combinée d'un noeud blanc déposé sur son chapeau de paille. Élégamment en accord avec le ciel d'un début d'été amené par le char du soleil, elle se démarquait des autres, uniforme et parsemé de noir. Malheureusement je ne voyais pas son visage, elle était de dos, je voyais seulement ces cheveux long dont les boucles s'amusait avec le vent qui se levait. Puis elle disparue absorbé par la foule prédominante.
Quelques minutes plus tard le vide régnait dans tout le quartier, aucune parole ne se fit entendre. On entendait juste le chant des oiseaux et le vent glissant sur les feuilles des arbres qui entourait la place (nom de place). Enfin Mathilde mon assistante arrivait, toujours accompagnée de son tablier à la main et de ses pinceaux près a être utilisés. Elle était heureuse de me voir et me raconta son week-end en famille, le dîner qui était fort bon, les ragots de famille, le temps magnifique et la baignade à la mer. Elle parlait tellement que je ne me rendait même plus compte de ce qu'elle disait, son histoire perdait tout sens dans ma tête, alors je me suis décidais de ne plus l'écouter et ainsi profiter du silence et des quelques rayons qui traversait les nuages pour réchauffer les diffères recoins de mon visage. Mathilde remarquait que j'étais ailleurs, elle était confuse mais elle avait l'habitude. Une fois ramené à la raison nous entrions dans l'atelier. L'atelier était une vieille maison que l'on avait récupéré et aménagé, les murs était tous différents une fois en bois, une fois en pierre, toutes les saveurs et les goûts était mélangeaient créant une atmosphère assez éclectique. J'avais installé mes affaires et mon travail au fond de l'atelier près de la petite véranda qui donnait vue sur le port. Tout les soirs avant de partir je m'y installais afin de regarder les bateaux partir sous le coucher du soleil, j'avais toujours voulus voyager, découvrir les mystères de ce monde si vaste, si merveilleux remplis d'aléas. Seulement la vie fut que nous étions s privée de nos droits et de note liberté.
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Le Combat de l'Art
RandomAlors tout simplement je ne sais pas comment va être mon histoire , je vais laisser place à mon imagination qui participera à l'évolution de ce texte.