Le mari,a sa femme fait des funérailles grandioses.Puis le temps passa l'homme se remaria.De ce jour commença le calvaire de la petite Aiwa,Pas de privation et d,affronte qu'elle ne subisse;elle souriait tous le temps.Et son sourire irritait la mâratre qui l'accablait de quolibets.
Elle était belle,la petite Aiwa,plus belle que toutes les jeunes filles du village.Et cela encore irritait la marâtre qui enviait cette beauté resplendissante et captivante.
Plus elle multipliait les affronts,les humiliations,les privations ,les corvées plus Aiwa souriait,embellisait,chantait et elle chantait à ravir,cette orpheline.Elle était battue à cause de sa bonne humeur,à cause de sa gentillesse.Elle était battue parce que courageuse la première à se lever la dernière à se coucher.Elle se levait avant les coqs et se coucher ,lorsque les chiens eux même s'était endormis.Le marâtre ne savait plus que faire pour vaincre cette jeune fille.Elle cherchait ce qu'il fallait faire,le matin,lorsqu'elle se levait ,a midi, lorsqu'elle mangeait , le soir, lorsqu'elle somnolait.Et ces pensées par ses yeux , jetaient de lueurs fauves.Elle cherchait le moyen de ne plus faire sourire la jeune fille ,de freiner la splendeur de sa beauté.
Elle cherchait ce moyen avec tant d'impatience tant d'ardeur,qu'un matin sortant de sa case , dit à l'orpheline :
Tiens va me laver ce pagne noir jusqu'à qu' il devienne blanc comme le kaolin .La sourire remplaçait pour elle les plaintes,les larmes,les murmures. La marâtre vus l'enfant qui riait toujours encore eut l'envie de l'étrangler.
Aprés Aiwa prit le linge et partit.
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le pagne noir
Приключенияc'était une fille qui avait perdu sa mére le jour même où elle venait au monde