Drinny: amour éternel

Chapitre 9

PDV Drago

Mon premier réflexe est d'appeler Blaise pour lui en parler.

Il arrive avec Luna. Luna et trop heureuse de voir les jumeaux. Blaise me suit et je lui parle d'Hermione et Ginny.

-Tu sais Drago c'est normal de bien s'entendre avec les amis de ta meuf. C'est une fille exceptionnelle. Je crois que pour moi Luna était plus ma meilleure amie. Maintenant qu'elle sort avec Anthony, je ne suis même pas jaloux. Chacun a des doutes Drago mais les tiens ne sont pas fondés. Ça crève les yeux que vous vous aimez. Vous êtes un couple fantabulastique! Comme dirait Luna. C'est incroyable je n'ai jamais vu un couple s'aimer autant. Et l'amour est de plus en plus rare Drago. Alors peu importe l'avis de autres on s'en fou, depuis quand Drago Malefoy y fait attention ???? Vis ta vie et aime la comme tu l'aime.

Vraiment il n'y a que Blaise pour trouver les bons mots.
Hermione est juste une amie. Les sentiments ne sont pas là. Elle est tout simplement un être cher à Ginny et donc à moi mes notre relation s'arrête là.

Jamais je n'oublierai la promesse faite à notre mariage. C'est une femme incroyable et je serais prêt à mourir pour saver une personne de notre famille. Notre famille est la meilleure chose qui me soit arrivée. "L'amour rend fou" ce dicton marche pour moi. Et même si elle meurt d'un accident jamais je n'oublierai les promesses faites lors de notre mariage.

😍 JE L'AIME 😍

Je serai prêt à le crier sur tous les toits s'il le fallait.

C'est ma femme Quoi !!!!

C'est ma femme et alors?

Je l'aime qu'est-ce que ça vous fait?

Aimer et un sentiment incroyable et sans limites. Aimer comme si c'était la dernière fois... Aimer à en perdre la vie...

-Je l'aime!!!!!!!!!!

Tout les infirmières me regarde bizarrement puis font toutes d'une même voix "chut" et enfin reprennent leurs activités.

Je me souviens d'un poème moldus que j'avais appris quand j'étais plus jeune vers environ l'âge de huit ans. D'ailleurs mon père en voyant le poème avait fait un scandale dans mon école. J'étais mort de honte ce jour-là.

Ce poème parlait d'une déclaration d'amour. Je m'en vais le réciter à Ginny.

Oui dès l'instant que je vous vis
Beauté féroce, vous me plûtes
De l'amour qu'en vos yeux je pris
Sur-le-champ vous vous aperçûtes
Mais de quel air froid vous reçûtes
Tous les soins que pour vous je pris !
Combien de soupirs je rendis !
De quelle cruauté vous fûtes !
Et quel profond dédain vous eûtes
Pour les veux que je vous offris !
En vain, je priai, je gémis,
Dans votre dureté vous sûtes
Mépriser tout ce que je fis ;
Même un jour je vous écrivis
Un billet tendre que vous lûtes
Et je ne sais comment vous pûtes,
De sang-froid voir ce que je mis.
Ah ! Fallait-il que je vous visse
Fallait-il que vous me plussiez
Qu'ingénument je vous le disse
Qu'avec orgueil vous vous tussiez
Fallait-il que je vous aimasse
Que vous me désespérassiez
Et qu'enfin je m'opiniâtrasse
Et que je vous idolâtrasse
Pour que vous m'assassinassiez.

Ginny rie tellement que je dois prendre un oreiller pour la faire taire.