Ma vie de cheval

Chapitre un

Moi, je suis une jument très choyée. Mais je n'est pas toujours été la jument que je suis aujourd'hui. Voici mon histoire, qui commence quand je n'étais qu'une petite pouliche:

Comme tous les autres nouveaux née, j'adorais jouer dans l'herbe fraîche. C'est la que j'ai fais la connaissance de Chocolat, mon future époux. Il était le fils du chef du troupeau, qui était encore sauvage a l'époque. Voici comment nous nous sommes rencontrés:

Je courais librement sur la grande plaine où nous nous sommes installés pour quelque jours. Chocolat, lui aussi, courais et c'est à ce moment là qu'on fait connaissance pour la première fois, en se foncent dedans. Nous nous sommes regardés un moment et on a commencé à se parler. Depuis ce jour là, nous sommes devenus des meilleurs amis.

Tous sa est bien romantique, mais revenons sur mon enfance. Ma mère m'a nommé Revanche, en raison de mon regard de feu. J'aimais beaucoup ma mère, car elle était drôle et elle ne pouvait jamais me dire non. Même que, parfois, on faisait la course et je gagnais toujours car elle me laissais beaucoup trop de chance: un jour, j'ai dis au père de Chocolat que j'étais la plus rapide du troupeau, et même du monde entier. Parfois, je regrette un peu de l'avoir quittée, mais je suis heureuse où je suis.

Par contre, ma vie n'a pas été aussi paisible très longtemps. Dès l'âge de 2 ans, j'ai du quitter le bon lait de ma mère et manger seul. De plus, je ne pouvais plus dormir entre ces quartes jambes en raison que j'avais beaucoup grandie. La vie était dure et des chasseurs sont venu s'installer sur les terres où nous vivons. Une chance que Chocolat était là pour moi: un jour, je me suis presque fait tuer par un chasseur. Dès le lendemain, Chocolat et moi sommes aller dire au chef du troupeau que nous ne pouvions plus rester sur ces belles grandes plaines. Bien sur, il a dit non. Heureusement que Chocolat était là car s'est lui qui a réussi à convaincre son père en lui disent que si il refusait, lui et moi allons partir avec le reste du troupeau demain à l'aube.

Après un long message de la pars du père de Chocolat, nous sommes près pour partir. Ma mère ne voulais pas partir car elle avais elle aussi grandie sur ces grandes plaines ensoleillées. Une chance que j'ai réussie à la convaincre car elle aurait sûrement terminer dans une des assiettes de ces vaurien. De plus, l'aube était arriver: on devait partir pour une nouvelle aventure!