Nouveau travail

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15 Novembre 1991
J'ai enfin terminé mes études et j'ai eu un travail assez rapidement a l'hasil de Gotham city, il s'appel Arkham. Mon patron dr. Jonathan Crane est assez jeune, a les yeux marron, les cheveux presque noirs, des lunettes noir, s'habille en costume noir, enfaite tout chez lui est noir, sauf son petit calepin qu'il tient tout le temps avec lui. Il est blancs et a pleins de petit gribouillis dessus, cela lui donne un côté pas très organisé. Il m'a donné mon premier patient, je suis toute excitée ! J'ai une blouse blanche, et une carte où c'est écrit que je suis "médecins en spécialité psychiatrique" je trouve que ça va bien avec mes lunettes et mes cheveux attachés en chignon bas.

29 Novembre 1991
Deux semaines que j'ai le patient numéro 12234, il est pyromane et a, je dirais, la quarantaine, les cheveux grisés, un visage assez rond et qui pourrais faire fuir la plupart des personnes le voyant, mais pas moi. Son histoire, je la trouve fascinante. Il a brûlé toute sa famille sous une colère énorme. Il s'était disputé avec sa femme avant un repas de famille forcément il n'était pas très emballé pour y aller par la suite. Sa femme avait quand même insisté. Il y emmena donc ses trois enfants et rejoignit sa femme dans la voiture. Arrivé chez ses beaux-parents son épouse expliqua leur petit différend. Alors un débat repris et forcément colérique comme il était, a brûlé tout le monde. J'adore sa façon de me parler, il est tout calme avec moi. Mais alors que le Dr. Crane sors de sa cellule et que j'y rentre par la suite, il crie "Scarecrow" et a peur de lui. Quand j'arrive à le calmer après de nombreuses heures de tendresse ou je le rassure, il me dit que c'est un épouvantail. Il voie un épouvantail ! Il transpire, a les yeux tous rouges et explosés il est assis sur sa chaise ne bouge pas et pourtant gigote en même temps.

2 Décembre 1991
Le numéro 12234 s'est ouvert les bras ce matin, dans son lit. C'est le Dr. Crane qui l'a trouvé. C'était l'heure de ma séance avec lui normalement, il était 7h34. Je réclame un nouveau patient à mon patron. Ça me fait de la peine d'avoir perdu mon patient mais mon supérieur m'a dis "Ne vous attachez pas mademoiselle Quinzel, vous ne tiendrais pas sinon. Ayez un coeur de pierre et n'oubliez pas que vous êtes là pour les aider pas pour les aimer." Il a une voix calme et paisible ça me rassure mais en même temps il me regarde fixement dans les yeux et je suis toute gênée.

Dr Quinzel : le journal d'un médecin Où les histoires vivent. Découvrez maintenant