Prologue

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Dans ce pays, règnent deux catégorie de personnes. Les riches, dominant et influents. Puis les pauvres, victime du système que les dirigeants du pays met en place. Le sytème où l'injustice et la persécution ne cesse d'empirer. Parmi les autorités qui existent, les plus hauts placés sont ce qu'ont appellent " le CCM ", quelque chose d'assez spéciale. Le problème étant pour les plus jeunes, cette organisation n'a aucune pitié et élimine toutes personnes qui leurs est imposées. Et la totalité des pauvres eux, sont tous dans le collimateur.

Cette journée là, dans une école situé au douzième arrondissement de la ville, les enfants sortirent tous content et hurlants de joie vu qu'ils étaient en vacances. Certains parents vinrent récupérer leurs enfants qui attendait devant ce grand portail. Tandis qu'un jeunes groupes de garçons rentrent seul. Un groupe d'enfants particulièrement pauvres et dépourvus d'ami. Sur leurs chemins, ils marchèrent tout en discutant, quand ils firent remarquer un autre groupe de garçons derrière eux. Plus âgés et d'une famille bien plus riches. Mais ces jeunes garçons ne cessaient de narguer, d'envoyer des moqueries ou de critiquer ceux d'en face de " pauvres" . Malgré le calme et la gentillesse qu'ils recueillaient, les jeunes enfants ne se sont pas laissés faire. Un d'entre eux c'est retourner, en leurs disants,

-Vous avez un problèmes ? D'un ton assez haut.

-Retourne toi clochard, ne nous adresse pas la parole, lança-t-il en riant

Sans hésiter une seconde, en posant sont sac, il avança à grand pas en bousculant si fort le jeune garçon qu'il tomba par terre. Il était sur le point de lui en mettre une quand ces amis l'ont très vite retenu. Ils n'ont jamais eux d'histoires jusqu'à là et ça, parce qu'ils ne répondaient jamais aux critiques. Cette fois-ci, c'était la goutte d'eau qui faisait déborder le vase.

-Arrête, ont aura des ennuies sinon, informa uns des leurs.

-J'en ai rien à faire.

-Aller rentrons, c'est rien.

Humilié une fois de plus, ils rentrèrent chez eux chacun arriva à sont domicile. Le plus calme d'entre eux, Ares, âgé de quatorze ans arriva au palier de sa porte. En entrant, ses petits frères et sœurs lui sauta dessus, heureux de le revoir. Ils étaient tellement persécutés que cela pouvait en venir au suicide ou au meurtre. Certains enfants allaient à l'école, mais ne revenaient pas chez eux le soir. Comme à sont habitude, il alla au près de sa mère, lui faisant sont petit bisous au front et sont gros câlins. Tandis qu'en allant vers sont père, il l'attrapa brusquement dans ces bras en le taquinant.

Ce soir là, ils passèrent à table en famille. Il racontait sa journée à ses parents, en finissant par le petit conflit qu'il ait eux lui et ces amis. Vivant dans la pauvreté, ceci ne l'est déranger pas pour autant. Ils gardaient le sourire et une bonne image d'eux malgré la persécution et les provocations qu'ils recevaient. Ares quant à lui, était le plus intelligent et le meilleure élève de sa classe. Puis doté d'une très bonne mentalité, c'est ce qui fera de lui un élément très spéciale de cette histoire...

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