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-Dépêches-toi Ares. Le temps presse ! Dit le grand homme.

A sa main, il tenait une sorte de petite télécommande. Il n'avait qu'à appuyer sur deux des quatre bouton puis le tour était jouer, deux personne devait être électrocuté.

Mais Ares lui, supplia à répétions de tous les relâcher. Seulement, juste deux personnes pouvaient être préservées, et que si aucune réponse n'était dite, l'homme choisira lui-même qui éliminé. L'homme s'approcha un peu plus de la plateforme, devant ces visages triste, en sanglots.

-Bon Ares, je vais t'aider un peu,
dit-il en pointant sa télécommande.

D'une simple manœuvre, un des quatre reçu une puissante électrocution dans tout le corps.

-Et d'une ! Cria-t-il.

Devant les yeux de tous, la cadette innocente de la famille mourut. Le corps enfumé par la puissante charge. Ils éclatèrent tous en sanglots, toute demande de faveurs était impossible. Le père s'acharna sur l'homme mais cela ne faisait qu'empirer les choses, lui traitant de toute sortes, crachant toutes ses insultes.

-Laisse-les tranquille enfoirer ! Ares choisis moi, prend ta mère et ton petit frère mais pitié choisis moi ! Cria-t-il.

Malgré le sacrifice de son père, Ares ne pouvait partir dans ces états-là. Perdu dans ses pensées, la tristesse lui rongeait tellement que son visage était brillant de toutes ces larmes. Et son manque d'oxygène l'empêchait de dire quoi que ce soit. Ainsi, l'homme perdait vraiment patience.

-Dis donc, ton père est insolent comme ça à la maison ? Lança-t-il.

-Aller tue moi qu'est-ce que t'attend !

-Bon, ton tour va arriver. Attends quelques minutes.

L'homme n'attendait plus. Il se rapprocha une nouvelle fois de ces innocents les yeux droit rivés vers eux près à leurs ôtées la vie. Pointant sa télécommande une deuxième fois, à nouveau la sonnette retentit. Cette fois-ci, le deuxième enfant mourut.

-Je t'en supplie arrêté !
Cria Ares ayant la gorge noué.

Une troisième fois, la sonnette retentit. Ares avait devant lui un spectacle macabre et horrifique. Le visage de sa mère agonisant lui rendait mourant. Il baissa la tête, cela était trop dur à voir. Tellement la colère l'emportait, il se frappa la tête très fort au sol.

-Enfin, on arrive au dessert ! S'écria l'homme.

Le père n'avait plus aucun mot à placer. La tête baissée en larmes. Il regarda l'homme en exprimant sa colère. Il se rapproche à petit pas, juste en face du pauvre homme ronger par le désespoir.

-Toi, je vais t'offrir une mort lente. Vu que tu es un dur, tu t'y feras.

De son étui, il sortit un grand couteau tranchant. Quand Ares leva sa tête, son père fut poignarder aux beau milieu de ces abdomens.

-Enfin, te voilà la bouche fermer. Bien, Ares tu m'attends ici je reviens.

En s'en allant, l'homme se retourna et appuya sur le bouton de sa télécommande. Et à nouveau, la sonnette retentit, le derniers corps électrocutés.

Après quelque temps, le silence et le raisonnement de la pièce revinrent à nouveau et l'homme aussi. Il marcha lentement vers Ares, qui lui resta aussi silencieux, la tête baissée appuyer sur le sol froid et grisâtre. Il tenait à la main une mallette. Il l'a posa près du jeune garçon, en le regardant d'un air triste.

-Bon, c'est à ton tour.

Roi Où les histoires vivent. Découvrez maintenant