Mots Du Soir. Maux D'un Soir.

Le rêve d'un être ordinaire.

Il était là, elle était là, ils étaient là.
Tout deux assis sur les marchés du perron sans prononcer un seul mot, seul son audible était leurs souffle court.
Si court qu'on pensais à chacun de ceci qu'il serait le dernier.
Ils étaient court mais bruyants.
Le froid rendait ces derniers voyant. Une légère brume ce formais devant la bouche de nos deux inconnus.

Il ne la connais pas, elle ne le connais pas.
Mais pourtant c'est comme si elle avais grandi à ces côté, comme si il avais vieilli avec elle au jour le jour, muri avec elle et c'était métamorphosé en homme avec elle.

Son visage lui était familier, ces traits fin, son nez, la forme de ses lèvres, c'est comme si chacune des courbes de cette jeune femme lui était une évidence comme ci elle et lui n'était qu'un.

Ils ne parlaient pas, ne bougeait pas, ils fixaient tout deux le ciel noir, ils étaient plonger dans les ténèbres merveilleux de la nuit. Ce sentiment de légèreté, ce silence loin de toute l'agitation de leur petite et misérable existence, comme si ils n'avaient jamais existé comme si ils voyaient le monde et sa splendeur pour la première fois.

Comme ci comme ci.
Tout n'était pas sur, tout n'était que supposition sur supposition.

Il ne voulait pas qu'elle, parte, il ce sentait merveilleusement calme et apaiser à ces côté même si il ne la connaissais pas.

Il ne l'a pas regarder une seule et unique fois, pas une, mais, il sais que ces cheveux sont coupé court, au niveau de ces épaules que ces derniers sont noirs. Si noir qu'on ne les distinguais pas dans la nuit.

Il savais qu'elle était assise les genoux coller au torse. La tête posé sur ces genoux et les yeux marron, grand ouvert fixant cette biche et son faon au loin.

Il ne voulais pas bougé. Il voulais rester ici pour l'éternité dans le calme et la sérénité.

Mais d'un coup un bruit strident le sortie de sa rêverie annonçant la fin de son cours d'anglais et de son si magnifique rêve.