Saint-Louis ," Ndar " en wolof est l'une des plus grandes villes du Sénégal et , historiquement l'une des plus importantes , comme en témoigne son inscription sur la liste du patrimoine mondial de L'UNESCO. Elle est souvent appelée " Saint-Louis-du-Sénégal " .
Forte de tous ces atouts , Saint-Louis est ainsi devenue depuis une vingtaine d'années une destination touristique à part entière au Sénégal.
Située à l'extrême nord du littoral Sénégalais , c'est la ville la plus fraîche du pays ; un climat presque idéal.Originaire de cette ville , Amira Sy communément appelée Princesse comme l'indique son nom , fait partie de ces Saint-Louisiennes , célèbres pour leur beauté envoûtante , qui ont séduit des hommes d'où qu'ils venaient ! De nature très chaleureuses et accueillantes : La fameuse Téranga est érigée ici en art de vivre... Ici à Saint-Louis .
Le Parc national du Delta du Saloum En avez vous déjà entendu parler ?
Le Sine Saloum est une région naturelle qui se trouve au Nord de la Gambie et au Sud de la Petite-Côte au Sénégal. C'est dans cette région que se trouve ce dénommé Parc.C'est un delta formé par la confluence de deux fleuves , le Sine et le Saloum.
C'est également un bras de mer laissant entrer l'eau salée de plus en plus profondément dans les terres car le débit des deux fleuves est assez lent.En bref c'est l'une des plus belles régions du Sénégal. Marigots , forêts , mangroves , lagunes , cordons sableux forment une variété riche de paysages sans compter la faune et les oiseaux du Parc national , les petits villages de pêcheurs et l'accueil des habitants.
Parmi un de ses Royaumes Sérères plus précisément le Saloum et non le Sine vient un jeune homme du nom de Aladji Gallass Vivant depuis maintenant 28 ans à Kahone , ce jeune homme fait partie des hommes les plus désirables où plutôt le seul et l'unique homme désiré par la gente féminine de toute la région. Commerçants , artisans , agriculteurs , éleveurs les plus riches et connus de la région , les plus enviés et respectés de tous un chacun n'ont manqué la moindre occasion de manifester leur souhait d'avoir un gendre comme tel.
En plus d'être un intellectuel fortuné qu'envierait-il à ses prochains ?Chanceux il était...
Étant bientôt au début de sa trentaine , ses parents commençaient déjà à s'inquiéter. Pourtant ce ne sont pas de belles femmes qui manquaient.
Peut-être pouvait-on lui imposer un choix émit par ses géniteurs mais qu'en était-il de son bonheur à lui , ses sentiments occasionnant tout ce qui était attrait à sa vie de jeune homme marié ?La femme de sa vie c'était à lui de la choisir , c'était à lui de s'imposer un choix , tenir sa bien aimée par la main et la ramener dans son village natale pour ainsi la présenter comme étant sa future épouse. Car oui, sa future femme ne viendrait pas de ce village. De toutes les couleurs il en avait vu. Toutes profiteuses...
Une année passa puis deux , Pâ Samory , père de Gallass , commença à se remettre en question. Ou plutôt remettre les choix de son fils en question. On ne pouvait empêcher les langues de raviver car oui la famille Ndiaye devenait sujet de discussion de tout un chacun , sous l'arbre à palabres tandis que les vieux du village s'adonnaient à combattre au jeu de Dames autre part la " malédiction des Ndiaye " comme l'appelait certains était le principal thème des mamans qui en arrière , dès les premiers chants du coq allaient toquer à la porte du vieux Mâkhou , tradipraticien et marabout du village afin de sceller injustement le destin de leur fille au charmant bel homme Gallass. Mais s'était sans compter sur la ténacité et la vigilance de Gallass. Prêt jusqu'au os, prêt spirituellement...
Cet " autre part " n'était qu'autre le marché du village. C'est ayant l'impression que son fils était une marchandise que Mâ Anta faisait ses achats ignorant royalement les remarques déplacées des unes et des autres.
Elle était compréhensive face à l'entêtement de son fils mais ne pouvait s'empêcher de croire qu'à 30 ans son fils ne pouvait être marié alors que ses frères et soeurs ont passé ce capte.
Elle vivait au jour le jour en se nourrissant d'espoir , espérant recevoir de son fils une bonne nouvelle qui n'est qu'autre le mariage même si elle ne pouvait s'empêcher d'être fière de lui.