Asphalte (en cour de réécriture)

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-Oui, pardon, bonjour...je suis l'auteur. (/°>°)/

Vous :*Huées  et insultes*

-Ah fort bien, je vois que vous m'avez reconnue. (o^>^)o
Juste un petit mot pour préciser quelques points.

Vous : *Insultes de plus en plus virulentes*

-Tout d'abord, je tiens à m'excuser d'avance si malgré mon travail de relecture intensive, vous parvenez, en tant que détenteur d'un baccalauréat Littéraire et du certificat Voltaire,à déceler dans le texte des fautes d'orthographe, et/ou de conjugaison. o(O^O")o

Pour cela, pardon d'avance.
N'hésitez pas à me les signaler dans les commentaires. (o^>^)o

Vous :*Insultes répertoriées 18+*

-Enfin, pour conclure cette parenthèse (qui n'en est pas une d'ailleurs) je tiens à rappeler que vous êtes évidemment libres d'apprécier ou pas cette histoire.
Aussi, si vous aimez, tant mieux,sinon, libre à vous de quitter cet espace sans insulter personne dans les commentaires et de vous rediriger vers quelques fanfictions érotiques du "Seigneur des anneaux."(car vous avez bon goût).

Sur ce, bonne lecture. \(°^°)/

L'auteur.

C'était un jour comme les autres...Je crois...
je me rendais au Lycée et comme j'arrivais, il approchait les huit heures.
Cet établissement était de petite structure, tout à fait normal pour un bâtiment situé dans un petit village perdu comme le mien.

Je m'en souviens comme si c'était hier. Ce jour normal de Mai...ou de Septembre...Je ne sais plus. 

Je ne sais plus, mais je m'en souvient. C'est exactement ce qui qualifie mon état.

Cet état bizarre, un mélange d'anxiété, d'incertitude et de soupçon.
Une sensation étrange d'être à la fois éblouis et plongé dans un noir de poix...Je sais tout, mais ne comprends rien. J'ai cet impression que plus les jours passent et que moins je comprends...donc j'écris, de peur d'être en train d'oublier.

Je me relis. C'est incompréhensible.

Cela me fait rire, mais comme je n'en n'ai pas (plus?) l'habitude cela me donne des crampes aux joues et aux lèvres...
Je devrais peut-être prendre le temps de sourire​ au moins une fois par jour. Ou alors faire des répétitions. Comme avec des séries d'abdo ou de pompes pour se maintenir en forme. Je m'égare. Il faut que je note ce dont je me souviens clairement et simplement...

Qui sait, cela me permettra peut-être de comprendre ce qui se passe.Peut-être...Le rat, Sigisimon, cette tâche brune à forme humaine, l'ascenseur jaune, la maison. Je me relis de nouveau et ressent subitement une nouvelle douleur à la lèvre.

J'en profite pour corriger quelques fôtte.
Voilà qui est fait.

Il faut écrire pour se souvenir du mieux possible. Écrivons donc !

Mais quoi ?

A réfléchir sur cette dernière question, j'ai eu mal à la tête. Je me suis donc accordé une pause.
Maintenant, me revoilà.

Je décide d'arrêter de me lamenter sur mon sort et d'écrire une bonne fois pour toute, faisant fi des maux de tête fi de l'incompréhension dans laquelle je suis actuellement plongée et fi, enfin de tout ce que j'ignore ici bas.

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AsphalteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant