moi, juste moi libre de mes pensées...

Triste nouvelle et répétitions d'erreurs

La mort, dur rappel à la réalité, cruel retour à mes côtés. Pourquoi avoir priver de la vie ce petit ? Il était si mignon, aimé, adoré, alors pourquoi l'avoir tué ? Finir assassiné, écrasé, lui était-il destiné ? Tu es revenu si vite auprès de moi, j'en suis triste et il y a de quoi. Je passais de bonnes journées ensoleillées et pourtant tu as frappé. Jamais plus je ne reverrais ces petites oreilles pointues dépassant de l'herbe et pourchassant les souris des chants. Tu me manqueras petit chaton que j'ai vu naître et qui est mort là où son père rendu l'âme aussi avant lui. Sur cette route rouge de sangs de tous ces cadavres, de toutes les vies que tu prends abominablement. Est-ce si plaisant de le voir finir comme ses parents ? Sa maîtresse n'est toujours pas au courant, elle sera dévastée en l'apprenant, elle qui y tenait tant ! Les larmes couleront sur ses joues à y prendre goût, de son chaton qu'elle ne pu voir pendant un moment et qu'elle ne pourra plus approcher maintenant. La tristesse l'envahira et peut-être y succombera.

J'en ai marre de vous voir toute la journée chaque jour de l'année à me faire chier et me bloquer. En rien je suis obligée, jamais vous ne m'y contraindrez, je ne peux rester enfermée. Je ne supporte plus votre autorité, votre despotisme, votre anarchisme. Mais l'ai-je déjà supporté de devoir obéir sans discuter ? De devoir me ranger de votre côté non libre de mes pensées ? Vous pouvez toujours essayer, mais jamais vous ne réussirez à me dompter ! N'est-ce pas pour ça que je l'ai quittée, que j'ai fugué, tout abandonnée de celle que j'avais jadis aimée ? Cette mère envers qui j'étais si proche mais pour lequel aujourd'hui j'éprouve tant de reproches. Mon choix est fait et je ne la reverrais. Vous connaissez les raison de cela alors pourquoi reproduire cet effroi, si j'ai choisi votre parti, pourquoi à votre tour, me pourrir la vie ? Tiendrai-je réellement tout ce temps ? Vous ne m'en donné pas l'envie alors pourquoi je me battrai pour la vie, ma vie, qui n'est que gachis  ?