darkmoon

Chapitre 1

<<J'ai enfrain les règles celles sur lesquelles notre monde est basé.
Comment revenir à la lumière quand je me suis enfoncée si profondément dans les ténèbres.
Le temps est assassin et l'amour est une rose remplie d'épines.
Le chemin promet d'être long car la tolérance ne fait pas partie du vocabulaire de ses monstres.
Mais nous sommes des centaines voir des milliers à nous cacher pour vivre avec celui qu'on aime.
À vivre et à mourir pour lui, sacrifier nos vies pour être heureux.
Quand cela cessera, combien de vies seront gâchées pour enfin ne plus se cacher.
La vie est injuste mais toi, tu vas pouvoir tout changer tu en a la force je l'ai vu, tu seras celle qui changera le monde ne l'oublie jamais.
Quand la lune sera noire, tu trouveras les réponses à tes questions mais ton cœur, tu devras écouter pour réussir ce que j'ai commencé.>>

<<Elle est morte>>dit le docteur.

Je la regarde en pleurant, jamais j'aurai imaginé la mort de ma mère. Ces derniers instants, elle les a utilisé pour me dire ces quelques mots, qui me font encore réfléchir. Je n'ai pas tout compris mais je sais qu'ils me seront utiles car bizarrement ses mots m'ont toujours servi, dans n'importe qu'elle situation. J'avais l'impression qu'elle savait lire le temps et le changer pour que les gens fassent le bon choix. Et le monde semblait être meilleur grâce à elle. Elle s'était laissée mourir par la maladie pourtant je sentais qu'elle avait comme fait exprès, elle n'était jamais tombé malade avant.  Comme si ce tout ça n'était pas un hasard. Elle était morte d'un cancer. Elle avait souffert de celle-ci et quelque part j'était soulagé qu'elle avait enfin rendu l'âme.

Mais ce qui m'intrigué, c'est que, d'après les médecins, elle aurait du s'en rendre compte il y a bien longtemps, cela les étonné qu'elle ne soit pas venue plus vite les voir. Ce qui me conforté dans mon idée étrange que tout ça n'était pas un pur hasard. 

De plus elle aurait pu demander à grand père, il avait, une sorte de pouvoir, de guérison. Il était tellement bon dans son métier, que je suis sûr qu'il aurait pu la soigner.

Je sortis de mes songes et versais quelques dernière larmes, en voyant le visage d'ange de ma mère enfin tranquille. Ses yeux bleu océan était maintenant fermé, ses long cheveux blonds comme posé sur lit, lui faisait une couronne autour de son crâne. Sa peau blanche l'était encore plus, elle semblait presque livide, ce qui me fit réaliser ce qui arrivait à ce moment là. Elle était morte, mon cœur se serrait à cette idée, ma tête ne voulait pas l'accepté. C'était mon amie, ma confidente, et par dessus tout ma mère. 

Le fils de mon beau frère, Louis, met une main sur mon épaule en signe de compassion. Sa pitié, me sors hors de moi, je n'ai pas besoin de lui et de son regard horripilant. Je lui lance un regard biais haineux, pour le faire comprendre qu'il n'a pas à faire ça, et qu'il n'est pas le bien venu ici. Sa tête se balance de gauche à droite, puis il s'éloigne sans mot et va s'asseoir sur la chaise au fond de la petite chambre d'hôpital. En temps normal, m'aurait  sauter dessus et on se serait battu à cause de ce regard. Mais aujourd'hui est un jour spéciale et d'un accord commun silencieux nous restons sage. Depuis tout petit nous nous détestons, profondément, il n'a jamais été un frère pour moi et je sais qu'il ne le sera jamais, son attitude est juste respectueuse au vu de la situation. Nos parents ne l'ont jamais su, ils étaient trop heureux tout les deux, pour qu'on leur montre quoique soit de notre haine l'un envers l'autre. 

je quitte pour la dernière foi, je l'espère ce maudit hôpital, mes larmes séché, suivis de l'idiot qui me sert de frère, même si il n'a pas prononcé un mot depuis sa mort il n'a pas versé de larmes pour la femme qui l'a élevé et qui l'a considéré comme son propre fils. Mais ça m'arrange plutôt qu'autre chose pour dire la vérité, qu'il soit aussi maladroit avec ses sentiments. je me rend enfin compte en rentrant dans cette voiture que je suis bel et bien seule maintenant, je n'ai plus de famille, par le sang je veux dire. Et même si mon beau père a toujours été là pour moi et que je le considère comme mon père, je sais que ce n'es pas lui qui obtiendra malheureusement. Je dois être forte à présent.