Prologue : Premier jour

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Je viens d'arrivé à la polyvalente, ça parait un peu, car il n'y a personne qui me salut dans les couloir. Sauf la superbe Mérida Villeneuve, la jeune femme aux cheveux noir et au yeux de jais. Elle a un magnifique visage, digne de celui d'un ange. Mieux encore, à celui d'une déesse de l'antiquité.

Bien sûr, elle est toujours accompagné de ces sœurs de cœur. Maïté Lavallière, la belle brunette au regard noisette et Mahira Audet, la jolie blonde bouclée au yeux d'azur. Quoiqu'un peu trapu, elle restait magnifique. Les filles faisaient partis des personnalités les plus populaires de la polyvalente. Elles  laissaient peu de chance aux autres filles,  qui paraissaient fades vis-à-vis de leurs beautés.

Bien sûr, tout le monde était au courant que Maïté sortait avec Lucas Thompson, le grand gaillard au cheveux blond et au yeux bleus, qui est capitaine du comité de sport de notre école. Mahira et Mérida ce laissaient quant à elles désirer. Normal, avec une telle cote de popularité.

Il faut savoir que nous somme confinés à la ville par des palissades de pierres entourant le lycée privés. Nous possédons notre propre héliport, notre propre campus où nous avons notre centre d'achat, qui est géré par le directeur du lycée, mais où travaille les jeunes lycéens et lycéennes. 

Aussi, les dortoirs pour tout ce beau monde sont disposé en quatre parties de l'autre coté du centre commercial, soit qu'ils sont disposée en "L". Il y en a un pour les gars, un pour les filles, un autre pour le personnel et, finalement, un pour les jeunes gens qui sont en couple et qui désirent habités avec leurs douce moitié.

Si on devais me comparer à Lucas, on ne verrait qu'un jeune maigrichon aux yeux et aux cheveux bruns. Aussi, avec ma mâchoire carré, on dirait bob l'éponge. J'ai un peu d'abdo, mais rien comparé à lui. En plus j'ai les cotes qui saillent de chaque coté de mon torse. Je n'ai encore qu'une moustache de pré-adolescent. Le reste... on n'en parlera pas.

J'ai pris les cahiers pour mon premier cour du semestre, alors qu'on était à la moitié de celui-ci, mais les brutes de 3ième année n'était pas du mime avis. Ils ont pris mon cartable d'anglais, sont parties en hâte vers les toilettes, en sont ressorties quelques instant plus tard. Mais sans mon cahier...

-Je déteste les initiations! crie-je dans les couloirs vides.

-Ce n'était pas une initiation, ils sont juste con, répondit une voie provenant des mêmes toilettes.

En me retournant, quel n'est pas ma surprise de voir Lucas en sortir, mon cartable dérobé en main. Et puis quoi encore? Le directeur en sort aussi, accompagné du concierge. À mon air étonné, ils partent tous les deux d'un rire tonitruant considérant leur embonpoint très prononcés.

-Nous savions qu'ils préparaient un mauvais coup, mais nous ne savions pas sur qui, répondit le directeur amusée.

-Ça fait trois ans qu'ils en font, ajouta le concierge. Ça fait une victime de plus.

-Tien, va à ton cour, me dit mon collègue de classe. Sinon madame Brown ne sera pas contente.

-Me... mer...merci, ai-je begueillé avant de partir vers mon premier cour.

Et, bien sûr, Mme Brown n'aime pas les retards, encore moins quand nous avons des excuse, alors j'ai dût me taper une heure de colle pendant le midi. Heureusement, Mérida était là et nous avons un peu parler.

Il ne c'est rien passé de spécial pendant le reste de ma journée. Les cours, quoi.



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