Moi James Carter, était debout comme toutes la foule de personnes. Tout le monde l'attendais, moi je ne voulais pas qu'elle arrive car quand elle arriverais je l'aurais perdue pour de bon. Dans la première lignée de banc, sa mère avait déjà laisser couler une dizaine de larmes sans même encore avoir vue la mariée. Mark était droit comme un i, son costume avait été tailler pour cet événement si spécial, son mariage. Il souriait et se balancer d'une jambe à l'autre anxieux, je tenais dans mes mains leurs unions, ce qui les souderaient à jamais, leurs bagues de mariage car comble de la plaisanterie, j'étais son témoin. Je soupira, pourquoi j'étais la? J'enviais Mark, je l'enviais plus que personne d'autre au monde car il aller avoir la chance de ce marié à la femme la plus parfaite au monde, Mandy Williams. Le piano retentit au fond de la salle et mon cœur ce serra à chaque nouvelle note, ma gorge se noua et les grandes portes s'ouvrèrent. Tout les regards se posèrent sur elle, sur sa robe, sur son élégance. Le mien était posés partout à la fois, ses cheveux noirs étaient remontés en un magnifique chignons, malgré que je sache plus que quiconque dans cette salle qu'elle déteste avoir les cheveux attachés. Son sourire, ses lèvres, ses grands yeux marrons était toutes les choses pourquoi j'étais tomber immédiatement amoureux de Mandy. Sa robe était tombé sur ses courbes voluptueuse puis elle se gonflait au niveau de ses hanches, elle était simple mais elle révélait toute sa beauté. A son bras son père, Georges était aussi ému que sa femme. Et pendant une seconde je rêvassa, je m'imagina moi à la place de Mark, Georges m'apporterais sa fille et je lui dirait que j'en prendrais le plus grand soin, Mandy sourirait et ses belles fossettes apparaitrait. Je sourirais comme un con car, putain, je l'aimais plus que je m'aimais moi. Je hurlerais oui avant même que l'on me pose la question puis je l'emmènerais danser, chanter, je la ferais rire et lui glisserais quelque mots doux dont elle ne connaitrait pas l'existence. Mais tout sa je ne le ferais pas, car ce n'est plus question de nous deux mais de eux deux. Georges s'arrêta devant les marches embrassa sa seule et unique fille sur le front, lui glissa quelques mots à l'oreille qui la fût rire. Mandy était posté devant les marches, elle regarda Mark et la pendant ce court instant je me détestais de ne pas avoir eu le courage de lui dire qu'elle aurait dut me choisir moi à lui. Elle tourna la tête vers moi, toujours souriante. Je descendit les marches et prit sa main, elle était douce et elle ne portait pas encore de bague, je voulais l'enlever la maintenant, mais je ne pouvais pas ruiner son bonheur au profit du mien. On monta quelque marches, avant que je la rende à son futur mari .
-"Si tu veut annuler, j'ai laisser la voiture garé devant", lui lançais-je avec ironie.
Elle ria et m'embrassa la joue.
-"Merci James."
Et je passa sa main à Mark. J'aurais voulut qu'elle me réponde, alors fuyons maintenant, et la nous aurions courut comme dans cette série qu'elle adore tant, Grey's Anatomy je crois. Nous nous serions remariés comme eux et puis qui sais, nous aurions put avoir un enfant. Toutes ces idées me font tournés la tête. Le maire commença son discours, il parla, parla et j'arrêtai d'écouter pour me perdre dans mes souvenirs.
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-"James!", hurlai ma mère.
J'étais dans ma chambre d'étudiant, si je savais que c'était à ce moment précis que j'allais la rencontrer, j'aurais refait toutes notre histoire. Je descendit pas à pas les escaliers mornes de notre maison. Le bois devenait vieux et il craquait de plus en plus sous mon poids, je n'étais pas gros, au contraire, mais il fallait que je remplace le parquet et sa nous demanderais encore de l'argent.
-"Oui?", ma mère finissait d'essuyer la vaisselle avec un vieux torchon.
-"Nous avons des nouveaux voisins James, va leurs apporter les cookies sur la table tu veut bien?", elle me désigna la table à manger ou des cookies au chocolat était posés.
Je soupira et j'enfilai mes chaussures, ma mère voulait toujours avoir une bonne image au près des voisins, j'attrapai l'assiette et sortit. La maison d'en face était plus grande que la notre, plus belle, plus tout. J'imaginais déjà un couple riche avec un mari homme d'affaire et une femme avocate. Je sonna et la caméra tourna en ma direction. Le grand portail blanc s'ouvrit, la maison était exactement comme je l'avais imaginé, elle était toute refaite cela fessait plusieurs mois que des ouvriers s'affaissait au travail de la façade et de la toiture. Et, bien sûr, tout était réussi, la façade blanche était neuf, le toit avait quelques panneaux solaires et l'allée menait tout droit a l'entrée majestueuse. Une femme m'ouvrit après quelques secondes, elle était radieuse.
-"Bonjour, ma mère à vue que vous étiez nos nouveaux voisins donc voici quelques cookies qu'elle a fait." Je lui tendit l'assiette qu'elle accepta par un grand sourire.
-"Oh merci beaucoup! Venez, entrez je vais vous offrir quelque chose à boire, voisin!" Elle ria, cette femme dégageais une aura, une aura simple et divine à la fois.
-"Je ne veut pas vous dérangez," Je n'avais pas envie de rentrer.
-"Mais non ne dites pas n'importe quoi! Allez,entrez." Son sourire était la seule chose pour laquelle je m'étais forçais d'entrer.
Elle posa l'assiette de cookie sur l'ilot centrale, une penderie était à l'entrée et j'hésitai une seconde à enlever mes chaussures pour ne pas salir le sol si impeccable. Le salon était moderne et comme l'extérieur, les murs était blanc et le sol était revêtu d'un carrelage en imitation parquet, le canapé était immense et la télé l'était encore plus.
-"Je vous sers quoi..?"Elle resta la bouche ouverte attendant que je lui dise mon prénom.
-"James, un verre d'eau fera l'affaire, merci." Je souriais pour donner une bonne impression sinon ma mère m'aurait tuée.
-"Ok, James, moi ces Paola."Elle posa le verre d'eau sur la table que je m'empressai de boire.
-"Quelle âge avez vous James?" Ses sourcils se plissaient interrogateur.
-"J'ai dix-sept ans." Elle laissa sa bouche entrouverte.
-"Comme ma fille!" Elle sauta sur elle même.
-"Mandy!", cria Paola.
Le parquet du haut émettait quelques sons et des petits pas descendirent les escaliers marches par marches. Puis ces la que je l'ai vue, ces la que j'ai rencontré Mandy.

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Happiness of the evening
Любовные романыJ'avais souvent laissez-passer mon bonheur pour celui des autres, car moi contrairement à elle, je ne méritais pas d'être heureux. Et aujourd'hui en était encore la preuve car j'assistais à son mariage. J'aurais tout donné pour elle, tout, j'avais v...