Chapitre 49.

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Eh bien! Le chapitre tant attendu, j'espère qu'il vous plaira et qu'il sera à la hauteur de vos attentes. N'hésitez pas à  commenter.

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Il fronça légèrement les sourcils, visiblement surpris par ma question. Il rapprocha son siège du bureau, s'accouda avant de me jauger du regard.

- Tu as la possibilité de me poser n'importe laquelle des questions et c'est celle-là que tu choisis ?

- Euh... oui.

- Tu ne vas pas me faire croire que tu n'as pas faire de recherche dessus sur internet ?

- Quelques une en effet, mais c'est ta version que je veux. Lui avouai-je.

- Et que veux-tu savoir concrètement ? Me demanda-t-il en se réadossant à son siège.

- Tout. Répondis-je. Je veux tout savoir, du premier jour de votre rencontre jusqu'à la dernière fois où vous étiez en contact.

Il ricana en se passant la main dans les cheveux, se leva de son siège et alla se placer face à la baie vitrée, me donnant ainsi son profil gauche.

- Si tu n'étais pas ma fausse petite amie, je jurai que tu es jalouse. Me dit-il en esquissant un sourire en coin.

Je roulai des yeux devant l'absurdité de ses mots. Moi, jalouse ? Ça ne risquait pas d'arriver ! Je suis juste curieuse.

Je ne retorquai rien et il replongea son regard sur la vue que lui offrait la baie vitrée. Il la fixait tellement intensément que l'on croyait que tout y était inscrit.

- J'avais vingt-quatre ans quand j'ai rencontré Victoria, elle en avait juste vingt un. Nous étions tous deux jeunes, je venais de faire mon entrée dans le monde des affaires et elle, excellait déjà dans le monde du mannequinat. C'est au Salon de L'Automobile de Francfort en Allemagne que nous nous sommes rencontrés, je m'étais préparé pour cet événement toute une année...

- Autant que ça, pourquoi donc ? Ne pus-je m'empêcher de demander.

Il me jeta un regard par-dessus son épaule puis continua.

- Le Salon de Francfort est le plus grand au monde, il réunit les plus grandes marques, concepteurs, designers automobiles du monde... c'était une occasion en or pour vendre mes croquis et mes idées. Les voitures ont toujours été une passion pour moi, tout comme j'ai toujours été très doué en dessin...

- Alors pourquoi ne pas avoir plutôt fait une formation en designers automobile ? Demandai-je curieuse.

- Je ne voulais pas simplement m'arrêter à dessiner des voitures, je voulais participer à la construction des voitures que je dessine, suivre tout le processus de fabrication jusqu'à la fin.

- C'est toi qui a dessiné ta Lamborghini ?

Il expira bruyamment, se retourna puis me regarda en haussant un sourcil.

- Tu veux que je te parle de la mère de Patricia ou de ma carrière professionnelle ? Me demanda-t-il visiblement agacé de mes questions hors sujet.

Je n'y répondis rien et il se tourna pour refaire face à la baie vitrée, sortit ses mains de ses poches pour croiser ses bras contre son torse.

Ce soir, je taperai de l'onglet de recherche sur internet « la carrière professionnelle de James Parker ». C'est bien à cela que ça sert !

- Bien ! Je disais donc que j'avais rencontré Victoria au Salon de L'Automobile de Francfort, je l'avais bousculé sans faire exprès, je m'étais excusé et nous nous étions séparé... mais nous sommes revus un peu plus tard à plusieurs reprises, on flashait sur les mêmes voitures. Reprit-il. C'est elle qui a entamé la conversation au bout de deux rencontres accidentelles, elle m'a fait une fiche technique détaillée de l'une des voitures et j'ai été époustouflé. Dit-il en étirant un faible sourire comme-ci s'il revoyait la scène.

Juste Une Dernière FoisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant