Les pas sont camouflés par le bruit des larmes éclatées. La pénombre nous éclaire du haut de son trône illusoire.
Les mensonges sont omniprésents face à la timidité de la vérité, la serrure est crochetée puisse notre bouche restée scellée. On ne fait que contempler ce qui est à notre portée tandis que l'on tente de s'approprier ce qui jamais ne nous a été destinée. On essaye de se réveiller mais ne nous sommes nous jamais couché? On essaye de créer cette lumière unique, cette sortie interdite, ce futur angélique. Le noir n'est qu'un mélange de couleurs n'étant pas faites pour s'assembler et l'on continue de le créer. Savons-nous vraiment ce que l'on cherche? On a grandit avec ce qui se détruit et dorénavant les langues se délient. Nous n'étions pas camouflés, vous avez choisis d'ignorer. Les secrets n'ont jamais été aussi menacés et l'on essaye de passer à côté. Les regrets ne seront suffisant face à ce qui ne sera jamais absent, les excuses jamais sincères face aux marques laissées par l'enfer. Aimes ton prochain tandis qu'il poursuit son chemin, tends la main tandis qu'on te laisse orphelin. Il est peut-être temps de s'en allez, il est peut-être temps de rendre les clés de cette maison tourmentée.
Il est peut-être temps d'accepter qu'espérer n'est pas ce qui va nous sauver.
VOUS LISEZ
Écrits bruyants
RandomÇa te prends le corps et torture l'esprit, ça veut pas sortir alors t'écris. Si t'es comme ça, c'est moi aussi. [Chaque partie est indépendante]
