chapitre 3 : Remarque moi

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/!\ Je remet les chapitres de psychopathic love, il y'aura certainement une relecture !!

J'avais déjà publié cette histoire puis j'ai dépublié, et la je re publie 🤣😅 (il y'auras certainement des fautes puisque je n'ai pas encore commencé la correction ) ^^

Ce chapitre contenait une scène de torture un peu trash que j'ai retiré.

Merci, de votre compréhension 😘

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Je croise ses yeux émeraudes qui avaient perdus toute teinte de gaieté. Ses cheveux qui était en deux nattes était à présent ébouriffés et son nez saignait.

J'ai envie de tuer le connard qui lui as fait ça. Mais je prend sur moi, je serre des poings. Je ne dois pas tuer en dehors du bloody palace. Sinon, je risque des problèmes avec la police. Le bloody palace a été construite sous terre dans un endroit déserte. Pour y pénétrer, il fallait passer par un passage secret qui ressemblait à un mur de terre.

- Eh, le nouveaux, te mêle pas de ça OK ?

Sans faire un compte avec ce que me disait l'autre con, je saisis les bras de Lara pour la relever. Alors, c'est de lui que venait toute ces blessures ?

L'autre con hâta le pas vers nous. Il saisit la main de Lara.

- Tu vois pas que je discute avec ma copine ? Sale blaireau.

Je réponds d'une voix tout à fait calme.

- Je vois surtout que t'es un vrai connard !

Écoutez qui dit ça, le salopard de catégorie A. En fait, je ne suis pas mieux que ce mec, je suis même pire. J'ai un penchant pour la torture. D'ailleurs, une fois, j'ai battus à mort un gars. Je m'en voulais. Mais j'adorais tellement ça. Putain que je l'ai adoré entendre crier. Même si parfois je m'en voulais. J'essayais de me contrôler parfois mais c'était impossible. Le monstre en moi ne cessait de grandir, de prendre de la place dans mon corps pour n'en former qu'un avec mon esprit et mon âme. Et je sais que me rapprocher de Lara et la chose la plus stupide que je puisse faire mais... c'est plus fort que moi. Il fallait que je le fasse, que je la sauve...

- Eh, qui tu traite de connard, sale fils de p*** ?!

- Cesse de geindre, tu me donne mal à la tête. J'ai l'impression d'entendre une chèvre agonisante.

L'idiot de service avance vers Lara et s'empare de son coup. Elle étouffe, elle agonise...

- C'est qui se mec ? Tu couches avec lui aussi ou quoi ? Tu me trompes ? Sale p*** !

J'étais juste dégoûté de ce que voyais. D'accord, j'aimais torturer les gens, leur faire du mal, mais... comment peut-on traiter de la sorte sa petite amie ? Les gens que je torture n'avait aucun lien avec moi, ce qui faisait que je supportais ça ou plutôt que j'adorais ça. Mais jamais je n'oserais m'en prendre à Cathy ou Jess. Je ne le supporterais pas. Je ne comprends pas pourquoi Lara ne se défend pas.

Un jeune homme qui ne savait qu'insulter avec si peu de vocabulaire. Que faisait-elle avec un gars pareille ? Elle mérite mieux, mais largement mieux, qu'une personne qui la bat ou qu'une personne qui veut... La torturer...

Je guettais la réaction de Lara. Elle n'en avait aucune.

- Ce soir, quand tu rentreras à la maison, t'es morte, t'as compris ? Et t'as intérêt à venir. Et t'as intérêt à ne pas chialer. Tu m'étonnes que tout le monde à envie de te frapper, râla ce dernier en disparaissant.

Je regarde le con disparaître au loin. Une fois m'être assurer qu'il ne reviendrait plus, je demande à Lara si tout va bien.

Elle fronce des sourcils.

- Pourquoi t'es intervenu ? Demande t-elle d'une voix froide.

Je viens à son secours et elle m'agresse ? Je dois avouer que sur le coup, sa question m'a étonné.

Je hausse les épaules.

- Je voulais aider c'est tout.

Sa mâchoire se contracte en une grimace. Je ne sais pas si c'était la douleur ou autre chose.

- Ne te mêle plus de mes affaires OK ? Si je me fais tabasser, laisse-moi me faire tabasser. J'aime ce mec, alors tire-toi et laisse-moi tranquille.

Elle a un sacré problème cette fille. Ce n'est pourtant pas la première impression que j'ai eu d'elle. Elle avait l'air calme, gentille et posée. Comme on le dit ; il ne faut jamais se fier aux première apparences.

- T'es conne ou quoi ? Ce genre de mec traite les femmes comme des objets sexuels, ils n'ont aucune valeur.

- Et alors ? En quoi ça te regarde ? Je suis le genre de fille qui aime ce genre de mec. Ceux qui n'ont aucune valeur. C'est comme ça que j'ai été élevée, alors passe ton chemin et laisse moi vivre en paix avec celui que j'aime.

Je passais ma main brusquement dans mes cheveux. Qu'est-ce qui m'as pris de m'intéresser à une fille pareille ?

Mais c'est trop tard, le mal est fait. Elle me plaît et je ne peux le nier.

- T'es le genre de meuf qui ne se respecte pas ?

Elle se tût un moment.

- Exactement, murmure t-elle. T'as tout à fait raison, je ne me respecte pas et c'est tant mieux comme ça.

Elle me fixe, droit dans les yeux, le visage neutre. Est-elle choqué par ce que je venais de dire ?

⚠️ scène de torture !

Je prenais mon scalpel et fait une légère marque sur le dos de la jeune femme. J'ouvris le réfrigérateur, prit une petite bouteille d'alcool vendu en pharmacie et le versais sur la blessure fraîche. Elle gémit de douleur, me permettant de me délecter de chacun de ses cris, m'arrachant un plaisir intense.

J'avais besoin de défouler ma colère après ce que j'ai vécu aujourd'hui. L'ingratitude d'une personne dont tu as sauvé la vie. Rien de plus énervant et humiliant. Je défoule ma colère contre Lara sur ma victime et lui fait une marque sur le bras. C'est un tel plaisir de sentir l'odeur âcre du sang s'imprégner dans mes poumons en laissant une trace particulièrement envoûtant.

La souffrance est l'un des sentiments le plus magique qu'il n'est jamais eu.

Je prends une profonde respiration regardant la victime devant moi, se vider légèrement du liquide rouge de son corps si frêle.

Fin de la scène

Je profite de ce moment complètement à moi, jusqu'à ce que je repense à cette après midi. Cette Lara... elle mériterait bien pire que la mort pour se laisser traiter ainsi.

Je prends une profonde respiration et regarde tout autour de moi. Ce corps couvert de bleu et de sang.

Je me rends au pub. Un bar non loin du bloody palace.

Je m'accoude au comptoir et commande un verre de bière.

- Ça marche, dit le petit homme barbu qui travaille dans les lieux.

Je bois ma bière d'un très trait, paye et quitte les lieux.

L'eau de la douche ruisselle le long de mon corps. Je pouvais sentir la pulsion meurtrière qui grandissait en moi. Une voix qui chuchotait en moi. Plus, toujours plus de sang. Il m'en faut plus.

Je ferme les yeux et secoue la tête de droite à gauche afin de refouler ce sentiment. Je ramasse ma serviette et l'enroule autour de ma taille.

Je range mes affaires de cours dans mon sac et observe pendant un moment le cutter qui dormait au fond. Ce cutter ne me quittais jamais. Où que j'aille, il est tout le temps là avec moi.

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bisous <3

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