Arranged marriage [B.Beckham]

Chapitre 1

Encore une journée fournit en touriste, mais je garde en vue mon objectif. Je me lève du banc en bois appartenant au musée d'histoire naturelle.

Je me trouvais dans la zone des herbes médicales et mon objectif était à quelques mètres de moi.

Trop concentré, je ne fis pas attention et je percutai un homme d'affaire, il portait une chemise bleu ciel avec un pantalon beige qui je l'avoue mettait son corps en valeur.

Attendez, que vient faire un homme d'affaire ici?

« Excusez-moi ? »

Il fit une pause alors que nous yeux se rencontraient. Il me dévisageait.

« Un problème ? »

Ma voix le déstabilisait car il reprit ses esprits il balbutiait et déviait son regard. Mais il ne trouvait aucun mot donc comme-ci de rien n'était, il tournait ses talons et avancer vers la sortie.

Je soufflais et d'un geste rapide, je frottais ma jupe qui était un peu froissé, je replaçais mes mèches et ma frange le plus présentable possible, d'ailleurs il serait tant que je fasse quelque chose pour celle-ci car je commençais a apercevoir des mèches blonde dans ma vision. J'ai presque faillit oublier la raison de ma venue. Mon cœur se mit à battre la chamade

'Non Charlie, tu ne fais rien de mal, tu reprends ce que l'on t'a pris'

Je repris mes esprits, il y a des gardes au entrées -2- je fis quelque pas et aperçut ce que je voulais : des géraniums. Certes elles ne sont pas en voie d'extinction mais ce sont la miennes. Le verre qui les protégeait me semblait assez épais. Je regardais les agents de sécurité et l'un d'entre eux me fixait, les sourcils froncés et mes bras croisés contre son torse. 25 mètres environ nous séparent ; ce qui me fait environ 1 minute pour déguerpir d'ici si le gorille court vite.

Je resserrais mon poing droit recourt d'un tissu pour éviter de me blesser (même si ce n'est pas un bouclier non plus). Je sors de mon sac en bandoulière mon foulard ainsi que la pierre pour briser la vitre. Je ne suis pas stupide, je tiens à mes doigts et ma main ! J'enroule le foulard autour de ma tête et j'entends des talkies walkies s'activer, ils m'ont vu. Les 60 secondes sont enclenchées.

Je rassemblais toute mes forces et tapais dans la vitre mais elle ne se brisa pas, je réessayais donc, 10 secondes de moins.

Les touristes se mirent a crié et à se mettre à terre. Les pas du gorille retentissaient dans la salle. Sans perdre de temps, je refrappas dans la vitre qui cette fois se brisait en de nombreux morceaux. Avec l'élan que j'avais mon poing rencontrait le présentoir et mes phalanges se craquait avec le choque. Le cœur démarrant a l'adrénaline, je lâchais la pierre et attrapais la pleine poigne et la sortie de son endroit.

Le gorille courrait relativement vite car 10 mètres nous séparaient maintenant. Je mis les herbes dans le sac e je me mis à courir vers la fenêtre la plus proche.

Avec l'appui que je pris contre le banc fait pour se reposer, je me dirigeais vers une fenêtre

« Arrêtez-vous » cria le copain du gorille.

Mon corps heurta la vitre et elle se brisa à son tour. Je fis une chute que quelques mètres avant que mon dos heurta les tuiles sur lesquels je fis des tonneaux. Par chance un parterre plat m'arrêtait. Je me trouvais en étoile sur le sol, l'adrénaline toujours en moi. Les têtes des deux gardes me paraissaient vraiment petites.

« Merde, j'aurai du aller aux toilettes avant de faire ça »

Un sourire se plaquait contre mes lèvres couvertes de sang.

Avec une impulsion je me trouvais sur les pieds. Je regardais rapidement ou je me situais. Je décidais de continuer mon chemin sur les toiles. Je fis attention à tuiles mouillées avec lesquels je pourrais glisser rapidement quand je passais entre les toits. Je regardais le musée qui me paraissait suffisamment loin pour que je puisse descendre en sécurité.

Je m'asseyais sur un toit ou de nombreuse cheminé venait m'entouré, j'étais donc hors de vue de quiconque. En regardant la rue je reconnue cet endroit, j'étais proche de chez mon ami. Je sortie les herbes que j'avais volé, elles étaient abimés à cause de ma chute, mais elles étaient toujours utilisable, je les mis dans un étui pour éviter les rendre inutile. Entre deux maisons, se trouvait un gouttière, mon moyen de descendre.

L'adrénaline était partie donc les douleurs commençait à apparaitre, je fis abstraction, tout était bientôt fini. Je descendais peu rassurer mais prudente.

Alors qu'il me restait moins d'un mettre a descendre, mon pied glissait et ma main se griffait a une vis qui dépassait. La chute m'a achevé. Mon souffle se coupait au contact du sol. Je fermais les yeux pour encaisser la douleur.

Un métal froid se posait contre mon front et une voix me glaçait le sang.

« T'es coincé. Un geste brusque et tu es morte. »

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VOILÀ!
C'est repartit! Une nouvelle Histoire avec Brooklyn Beckham! J'espère que vous appréciez et que si certaines veulent m'aider pour la traduction je suis preneuse!
Je mettrais la suite à 20 votes je sais que vous en êtes capable!
À bientôt! ^^

-Emma qui pète la forme!