Elle plonga,
Soudainement attiré par ces vagues qui l'appellaient
La tête sous l'eau, les yeux grands ouverts
Se laissant emporter par le courant.
Ces cheuveux flottant au rythme du vent,
Elle se laissait coulait calmement
Les vagues l'ensevelissant rapidement
Elle mourait tranquillement,
Sans aucune pression la déstabilisant.
Elle se sentit enfin libéré
Aucune angoisse ne l'envahissait
Dans un dernier souffle elle sourit,
Sûrement pour la première fois de sa vie.
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Ce que les yeux ne voient pas
PoetryPerdu dans cette fôret j'essayais de trouver un moyen d'exister.